Le Courrier Cinématographique (Nov 1912)

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_ Deuxième Année. No 48. Le Numéro : 25 centimes. 22. Novembre 1912. Le Courrier Cinématoéraphique EE —— ” ORGANE HEBDOMADAIRE INDÉPENDANT DE LA CINÉMATOGRAPHIE DES ARTS. SCIENCES ET INDUSTRIES QUI S’Ÿ RATTACHENT RE -ABONNEMENTS : Directeur : CH. LE FRAPER LA PUBLICITÉ FRANCE Paris. . + 10 fr. Rédaction et Administration : est reçue Départements 15 » | 28, Boulevard Saint-Denis, PARIS ÉTRANGER. . . . . . 90 » TÉLÉPHONE : aux Bureaux du Journal 456-33 Choses et Autres . La semaine à été calme. Aucun événement sensaOünel n'est venu troubler la quiétude des cinématoS'aphisles français dont la vie commerciale est encore, Proprement parler, en meilleur élat que n'imPorte où. ; Li Y à bien chez nous une petite question. d'accapafre mais on n’en parle guère. Quelques initiés Ja 1 quelquefois, surtout pour en rire, ou en pré de de la coalition subitement dressée de nos collègues .tPendan(s, elle s’est brisée avant d’avoir pu mani D son existence. L'indépendance des Sociétés — Édilion les plus puissantes et les micux colées à servi upon trépoids pour maintenir Péquilibre. Le bloc de définit: masons,.françaises ou élrangéres le consolit Ê one ement par une concurrence méthodique, & ie Sacre le triomphe du marché libre. Tous les efforts Mu q STOUDE d’accapareurs restent vains. Ans! que nn avons prédit dès le premier moment, ils son! “iMhilés par une force supérieure qu'ils ne vaincront Jimais, Déjà On .chuchote, dans les milieux bien informés, ) DANS des principales Sociétés françiuses, inféodée É il ICI à ce petit groupe, se proposerail (& sen qe dù alle de reprendre une liberté qu elle n'aurait ja Men Fa pour rester populaire. C'est. le commence” Sur BAune débâcle inévitable, mais n’anticipons Fe amener sue. Laissons les événements s’enchainet 2 Enématce di échéance un sun a bille ne. HE attendent et q À avec satisfaction. aires ation des. programmes multiples hebdoma © 4 également avorté. Quelques essais bien timides ont été tentés avec un tel insuccès que leurs plus chauds partisans n’ont pas Jugé opportun d’insister et nous restons à Paris sur nos positions. Il. est vrai qu'il fallait bien méconnaître l’économie de notre industrie pour essayer d'instaurer une méthode d'exploitation aussi profondément préjudiciable à tous, On a posé la question; l'opinion publique à répondu par une réprobalion générale qui démontre encore ‘une fois que l’on a Loujours tort de prendre ses désirs pour des réalités et de vouloir faire payer à autrui les fautes qu’on a eu la sottise de commettre: Les directeurs de cinémas continueront donc à changer leur programme toutes les semaines. Et ce n’est pas toujours facile. Ils éprouvent certains Jours. de sérieusés difficultés à s’en tirer par suite de l'invasion des films à long métrage. Les grands films sont devenus très à la mode. On en a tiré de très beaux, mais on en a tiré trop. Le marché est sursaturé de grandes pièces dont l'abondance désorganise les spectacles. À cause de cela, la tâche des Directeurs et des Loueurs se hérisse de difficultés matérielles à Lel point que nos collègues vitupèrent contre les metteurs en scène trop prolifiques. Si au lieu de se concurrencer avec lant d'âpreté, MM. les Editeurs s’entendaient, ils pourraient peut-être adopter un tour et sortir leurs vues sensationnelles les unes après les autres. Elles viendraient ainsi successivement corser les spectacles au lieu de les alourdir. Toutes les préoccupations d'ordre varié n'arrêtent pas les protestations contre les affiches étrangères dépourvues de titres. Fidèle écho des desideratade nos amis, nous soumettons encore une fois leurs revendications à qui de droit en souhaitant la prompte solution d’un problème qui complique inutilement l'exploitation. Charles Le Fraper: de de à de de de , de de 24 à à. dæ ,d2 de TRS DES CES LEE LES TRE TE LAS CES DEN CRN LES DEN CES LAS