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Le Courrier Cinématographique (Nov 1912)

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6 LE COURRIER CINÉMATOGRAPHIQUE toutes les oscillations initiales d'autant plus ambplifiées que là distance au miroir est plus grande. : Dès 1908, M. Marage. présentait à l'Académie des sciences un dispositif comprenant un miroir fixé à une membrane de caoutchouc et qui lui avait permis de photographier les vibrations de la voix. C’est un appareil analogue qui constitue l’enregistreur du nouveau phonographe. La membrane est constituée par une plaque de lièove d’un demi-millimètre environ d'épaisseur, qui transmet, par l'intermédiaire d'une petite colonne de liège collée en son milieu, ses oscillations à un minuscule miroir que l’on voit au centre de la photographie. On projette (fig. 1) la lumière d’une lampe électrique à arc L sur le miroir à travers une ouverture très petite O donnant dans son prolongement l'image d’un point lumineux. Du miroir, cette image est renvoyée sur une pellicule sensible mobile, un film de cinéma, par exemple, où elle impressionne un tracé correspondant à une véritable photographie de la parole et de ses vibrations. En réalité, on emploie non un point, mais une fente lumineuse, et son image vient balayer sur le film une surface dont on utilise seulement la partie supérieure, remplaçant la dentelure inférieure par une ligne droite. On y arrive facilement en employant sur le film une cache perpendiculaire à la fente qui élisurface dont on utilise seulement la partie supérieure par une ligne droite. On y arrive facilement en employant sur le film une cache perpendiculaire à la fente qui élimine les oscillations inférieures de celles-ci. Après le développement de la pellicule, on obtient ainsi un négatif analogue à celui de la figure, qui représente le négatif de la voyelle u. Avec ce négatif, on pourra tirer autant d’autres films positifs que l’on voudra, et qui tous pourront être utilisés comme on va le voir. Pour la reproduction de la parole, on découpe le film de façon à enlever la surface dont nous parlions plus haut, surface limitée en haut par la courbe, en bas var une droite. La figure 2? représente le film découpé de la voyelle e. Si nous le faisons passer (fig. 3) avec une vitesse de 1 m. 50 à 2 mètres par seconde devant une fente très mince pratiquée dans une chambre recevant de l’air comprimé à pression constante, celui-ci, en s’échappant, produira une série de vibrations très rapides. Le tracé découvre. en effet, à chaque instant une longueur différente de la fente. et il en résulte une série de compressions de l'air tout à fait analogues à celles qui sont venues frapper le diaphragme de l’enregistreur. Le film est monté sur des rouleaux et-est entraîné par un moteur, électrique. Si la hauteur de la partie découpée est en moyenne de 1 centimètre, on pourra employer, avec une fente de 2 dixièmes de millimètre de large, une pression d’air de quelques millimètres seulement. En observant ces différentes conditions, on obtiendra une reproduction absolument distincte de la parole, respectant complètement le timbre de la voix. Dès 1993, un de nos compatriotes prenait un brevet pour la reproduction du son au moyen des bandes profilées ; des dernières recherches est né le nouveau phonographe. Quand il aura franchi la période d'expériences, quand des perfectionnements ultérieurs l’auront rendu tout à fait pratique, on peut se demander s’il ne détrônera pas son aîné, par suite de la qualité des sons obtenus, et de la facilité de reproduire à autant d'exemplaires que l’on veut le film initial une fois pour toutes enregistré. ANDRÉ.-F, VOLLANT; (Le Journal.) Ingénieur E. P. C. a. 32,82 ,94 34 ,24 84% de de de de ,d4a 834 RSI IN TES EN DRS DES TRS TE TEV LES LES LES LES LES AMIS TÉL. 266-64 Toutes les Comimunications de DERNIÈRE HEURE ” doivent être adressées à L'IMPRIMERIE DS COsaRien, ERA m2 re rm Le dé NPD SD SDS ) l À y) Il AR — RE 2e REZ LI + Er Len — 7 ARSRS = D} 7, = S = > LAS =; LES DS ss = MRC ELCÈE CE eZ = AVIS IMPORTANT à Nos Annoneiet Le Courrier prend une extension chaque jour plus considérable ; Le chiffre de son tirage croit dans les mêmes proportions ; Le nombre de ses pages augmente également et vient compliquer les opérations de l’imprunerie. Dans ces conditions, nous nous trouvons dans l'obligation de prier nos clients de vouloir bien tenir compte des exigences nouvelles de nos services et de nous remettr'e, LE MARDI APRÈS MIDI, au plus tard, les annonces devant paraitre sous forme de placards et LE MERCREDI, au plus tard, les réclames en texte à publier dans le corps du journal. Ce délai est indispensable pour livrer à nos lecteurs un journal impeccable. EL Pour les annonces artistiques ou en couleurs, s'entendre avec la Direction. ny À ‘ ARS AGEÈEZ SE = ve GÈE< D EE DEEE SEASSES +SS