Le Courrier Cinématographique (Mar 1913)

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34 LE COURRIER CINEMATOGRAPHIQUE ee nt 11 est bientôt découvert; les hommes de Sterling se mettent à sa poursuite. La fusillade crépite. Des cavaliérs sont heureusement attirés par le bruit, Sterling finit par être cerné par le fiancé de Kate et projeté dans J'abîme. Après tant d'émouvantes péripéties, les deux jeunes . gens sont enfin unis et oublient dans le bonheur les épouvantables journées qu’ils passèrent. + N. F. G: POURSUITE MORTELLE. Ragon et Frank sont amoureux de la fille de l'ingénieur Devis. Ils travaillent tous deux sous les ordres de ce dernier. Ragon, trop audacieux vis-à-vis de la jeune fille, et surpris, par le père, est renvoyé immédiatement. Le lendemain il revient pour chercher ses appointements et ne trouve que son rival Frank en train de relever les déssins que l’ingénieur Devis lui a confiés. Frank va, chercher son patron auquel Ragon désire parler. Ce dernier en profite pour prendre les plans et disparaître. À son retour Frank se rend compte de son imprudence et devine aussitôt ce qui s'est passé. Il se met à la poursuite de Ragon. Il le rattrape dans Ja rue, une lutte s'ensuit. Ragon parvient à se dégager et prend de l'avance. La poursuite se continue en auto. Frank essaye en vain de reprendre. les documents, Ragon parvient à le jeter à bas du véhicule sur lequel il s’est hissé. Frank se relève vivement sans trop de contusions, et reprend sa poursuite : il rattrape Ragon dans un moulin. Se voyant cerné, Ragon prend un parti désespéré, il s'accroche à une aïle du moulin ; il est ainsi ramené à terre et s'échappe à nouveau. I1 s'enfuit dans la campagne, traverse un pont audessus de la voie ferrée et se laisse choir sur un train qui passe à toute vapeur. Frank l’a aperçu, il le pour suit sur une locomotive et arrive bientôt au Havre. . Ragon se cache dans une caisse à l'insu de ceux qui ont mission de la charger sur le navire en partance. La caisse dans laquelle il se trouve, hissée maladroitement sur le vapeur, tombe à la mer. Frank comprend alors que son rival ne lui échappera plus. Il s'équipe en scaphandrier, fait conduire un bateau au lieu où est tombée la caisse, descend au fond _ de la mer et peut enfin, dans le domaine des flots, re trouver les précieux documents, qu’une imprudence avait failli lui faire perdre. Frank rapporte les documents à son chef et il est facile de deviner que peu après il devient l'heureux mari de sa fille. ; + NORDISK C° QUAND LE BESOIN EST A L'EXCÈS LE SECOURS EST LE PLUS PRÈS: Drame. Le petite Margot est seule dans la grande ville où elle s’est rendue pour chercher fortune. Il n'y a que quelques heures qu’elle est arrivée, et déjà elle est sur le point de regretter son voyage. Elle ne connaît personne, personne ne la connaît. Epuisée de fatigue elle erre par les rues. Plusieurs hommes l’accostent, mais heureusement le jeune artiste peintre sculpteur, Armand Carderousse, s’en aperçoit en rentrant du cabaret et arrive juste à temps pour la sauver d’un importun. Il offre alors l'hospitalité à Margot, lui proposant de prendre un peu de repos dans son atelier. célébré et quelques années s’écoulent, heureuses. leur amour est né un beau petit garçon. Cependan temps sont défavorables, personne n’a les moyé : d'acheter des peintures. Ne pouvant payer leur 10Y*® Armand et Margot sont obligés de déménager et à s'établir dans un quartier pauvre ; mais ils Sont fe pés d’un grand chagrin : ils perdent leur petit garç0 # avec le petit garçon, et ce tableau est exécuté ave d'art, qu'un ami d’Armand se charge de le faire voir au Salon, où il fait sensation. Le professeur bourg, véritable mécène, en offre une somme 1 à tante. Encouragé par cette bonne fortune, AFP loue un nouvel atelier où il se met immédiatemer | travailler à une grande statue de sa femme. AU | de quelques mois de travail, il réussit à créer Mais vrage qu'il appelle lui-même son chef-d'œuvre: la statue achevée, il lui manque les moyens 2e es rés pour la faire couler en bronze. Cette idée le 10 À mente nuit et jour; il est sur le point d'en perdre raison, et Margot s'en désespère. N'y tenant pl $ prend un jour la résolution de s'adresser au prof Bernbourg pour qui elle à copié, il y a quelque certains travaux. Elle s’y rend en effet, mais le Le fesseur, la laissant un moment seule dans le salon, idée monstrueuse lui vient subitement, et s'aperc que le coffre-fort du professeur est ouvert, elle $ mande si elle ne doit pas y prendre la somme néc pour le coulage de la statue de son mari. « Le P e seur est riche, se dit-elle, il ne se doutera de rél Lentement elle s'approche du coffre-fort, mais au ment où elle étend la main pour prendre l'argen ant! aperçoit son propre portrait avec son petit en elle Terrifiée à l’idée du crime qu'elle allait commetires ei s’agenouille en sanglotant devant le tableau. C est que le professeur la retrouve. Il écoute ses exp prend son pardessus et la reconduit auprès mari. Ils arrivent juste au moment où le pauvr teur, fou de désespoir, se prépare à briser sa Le professeur est enthousiaste de l'ouvrage € de les secourir. Quand il est parti, Armand, moment de profonde gratitude, embrasse sa ch tite femme, sachant que c’est à elle surtout qu son succès. nn NET die da dr Eee UAVAVAVAUVAUVAVAVAVAVAVEU LISEZ | FN UE FAÎTES LIRE = 00 | — PROPAGEZ h FACTADS PRE PANNE DER MO PN SRRAT LME PS PER CE Re ER “Le Courrier Cinématographique AAMNAAMMAMNMAMAAY we Après quelques moments .d'hésitation, Margot acceplè en le remerciant. Armand, qui a passé la nuit fe son fauteuil, s'éveille le matin de bonne heure ét, sal$ de la beauté de la jeune dormeuse, il prend son cragor et un carton pour faire son portrait ; mais au miss du travail, -elle s'éveille et regarde autour d'elle ne surprise. Quand elle s'est habillée elle veut partir, mal il la supplie de rester jusqu’à ce qu’il ait achevé s0 portrait, et elle cède à ses instances. Un mois après, lé mariage d'Armand et Margot s + les d'aller Avant sa mort, Armand a fait le portrait de sa MR r'ece” Bernmpor n où” essai temps. r0 evante. de ess pe profes +, elle , : ation He son e seu ue: sta et t prom s dans as 1 doit 9, Qui se fait l'Echo fidèle et désin= téressé de vos revendications =.