Le Courrier Cinématographique (Aug 1913)

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A0, À LE COURRIER CINÉMATOGRAPHIQUE = E CNAI CNY CNT CNYAI CAVAAD CNY I CNYAI NVIDIA CHRONIQUE die AMÉRICGCZ2IIN ‘# LE COURRIER CINÉMATOGRAPHIQUE ’’ est représenté aux États-Unis d'Amérique par LA COMPAGNIE UNIVERSELLE LE PUBI-ICITÉ . 45 West 34 th. street New-York U.-5.-4, Nos lecteurs américains sont priés de S'y adresser directement pour toutes transactions commerciales ou communications. UNITED STATES REPRÉSENTATIVES UNIVERSAL PUBLICITA COMPANY 45 West 34 th. Street New-York U.-S,-A, From whom Sample copies, advertissing rates and all further particulars can be obtained. De notre correspondant particulier. La troupe Meliès est revenue à New-York après avoir accompli un voyage artistique dans l’Orient. Une partie de la Compagnie a regagné Santa Paula où se trouvent les ateliers, alors qu’une autre partie a été licenciée. La Compesnie sera réorganisée complètement et il paraît que . Paul Meliès, le fils de M. Gaston Meliès, en assumera la direction. L 2 * + . M. Ford Sterling, le principal artiste de la Keystone Company, s’est très grièvement brûlé aux mains en voulant éteindre les flammes qui menaçaient de détruire un taxi dans lequel il devait tourner une scène. Li] * M. Arthur Mackeley, le directeur de l’'Essanay Company, est parti pour l’Ecosse. M. Cabanet, le directeur adjoint de la Biograph, a résilié ses fonctions et a quitté la Compagnie avec 80 personnes pour aller tourner à son propre compte. . M. Joseph de Grasse, ancien directeur de la West Coast LE FILS DE LAGARDÈRE -. AUBERR TE Pathé Company, est engagé par la Melvilles Lubin com pany. à e M. Lamar Johnstone, qui travaillait naguère pour Ê compte de l’Eclair, est entré dans la Majestic Company Los Angelos. + * ître en o € lancée par la Motion Picture d'accord avec la 6 du Film Cerperation, d’nt le siège central a été dép use Wall Street 60, à New-York, au Masonic Temple 23 Street, 6e avenue, 14° étage. La # + cenSi dans les pays d'Europe et surtout de l'Europe sent trale, on envisage parfois l’éventualité d’un change dent de programme bi-mensuel, les Américains n’ente vellepas déroger à leurs habitudes et tiennent au ren ol pic ment quotidien du spectacle, C’est que chez nous le P éritif va au Cinéma comme il irait au café prendre son + n'Y ou son five o’clock tea. Un spectacle « à répétition aurait donc aucune chance de succès. : Li * + : ra” L’inauguration d’un nouvel établissement cinémalofiu phique a eu lieu ces jours-ci à Salt Lake City, au rtain d’une affluence énorme de la population. C’est, ce oi ment le plus luxueux des Etats-Unis. Il paraît qu il 4 uv la bagatelle de 150.000 dollars; 3.000 personnes Y Ptions être reçues et placées dans les meilleures COn ine de D’énormes ventilateurs ayant absorbé une quiz ion se mille dollars y entretiennent la fraîcheur. La Direc propose de le doter d’un orgue de 8.000 dollars. à Ÿ BCAPAICNLAICIAI CR PA IC PA TICA VAI CAD CRIE 1 CHRONIQUE ORIENTAT, De notre Correspondant particulier. A anté Les fortes chaleurs qui sévissent en cette re ar” époque de l’année ne sont pas sans avoir, COM marché tout ailleurs du reste, une répercussion sur l4 régulière des exploitations cinématographiques: : on le Smyrne compte de nombreux cinémas. Elle €”, ; sait déjà, la ville orientale où converge tout ce qe ï port à notre industrie, et elle marque avec EU évolu” surprenante les diverses phases de sa rapl e dd tion. ed Mentionnons principalement la fermeture annuel} is Théâtre de Smyrne, luxueuse salle très confortab} et tions où la chaleur suffocante ne permet pas de pie pro” pendant l'été. Il rouvrira ses portes en septem chain. rs de ses Le cinéma «Gay» a également interrompu le cou irc jent représentations. Il résulte de certains bruits qui Cl, gatre avec persistance que ce local sera transformé €, “ffect pour la reprise de la saison, et sera exclusivemen à cet usage. J s'impos Cette transformation, si vraiment elle a lieu; Suite du BOSSU