Le Courrier Cinématographique (Aug 1913)

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LE COURRIER CINÉMATOGRAPHIQUE 91 SADRNNUSGNNENNNNUNENEUNNUMENUNMMEE + MM. jes Loueurs, Avant d'acheter vos films, Consultez la Notice de Renseignements confidentiels sur les films, publiée par Le Courrier VOUS ÉVITEREZ D'ENCOMBRER VOTRE STOCK d’un lot coûteux de non-valeurs impassables AB _ MM. les Exploitants, Avant de composer votre programme, Inspirez-vous vous y trouverez LA NOMENCLATURE EXACTE ET SINCÈRE DES MEILLEURS FILMS Vos spectacles plairont au public, Ils auront du succès, Vos recettes deviendront considérables. Elles vous donneront de gros bénéfices. Q*""EEREEREERENRENNNENRERRENSSENERSENREC ONU NEN CSSS NOUONEN EME NN NNNNNNNNNENMENNNEE Pannnnnnnnannssmannenenannnseuse ns ALELCECCECC CT CUP PCT PPT CCECLECLLI LILI LILI LI presque. Elle ne sera que par trop, salutaire à tous les. exploitants, et en premier lieu à l'établissement lui-même. Les quais, qui constituent l’unique place de rendez-vous et de promenade de la société smyrnéenne et du public en général, comptent une rangée de six à sept cinémas, tous à proximité l’un de l’autre. On s’imagine sans peine la concurrence acharnée qu'ils se livrent, et cette lutte ne saurait trouver une atténuation possible dans la gravité de ses conséquences qu’en enrayant la poussée des salles de spectacle. Le cinéma « Pallas », qui avait relâché pour une quinzaine de jours, a rouvert samedi dernier et a inauguré son spectacle en plein air. Le succès obtenu est de bon aloi. Le film La Bohémienne de chez Messter faisait'les honneurs du programme comme scène sensationnelle. Il est vrai que de tels sujets sont déjà démodés. Le publicoriental ne trouve plus de jouissances que dans les films qui se rapprochent le plus de la vérité et du réalisme. S'ils sont bien développés et d’une exécution capables de produire une forte impression, leur succès. est assuré. Malheureusement, cet établissement à introduit une innovation préjudiciable au caractère sérieux et personnel du cinéma, qui jusqu'ici s'était trouvé radicalement préservé de telles atteintes. Tout billet d'entrée donne droit à une consommation gratuite sans que loutefois les prix pratiqués sortent des limites habituelles. Par de concessions pareilles, on gâte le public, d’une part, et d'autre part on déprécie à ses yeux la valeur essentielle du spectacle cinématographique. S'il est supportable pour un exploitant de recourir à de pareils moyens pendant l'été et dans un cinéma de plein air qui s’entrelient à peu! de frais pour maintenir sa clientèle, moyens sur l'utilité et l'efficacité desquels tous les professionnels ne sont point d'accord, il n’en est pas moins vrai que les conséquences en seront fatales en hiver et que l'exploitant reconnaîtra un peu tard l’inopportunité des concessions que sa clientèle ne lui demandait point. Je suis de l’avis que de ‘tels procédés soient totalement écartés pour maintenir dans toute sa force la haute valeur commerciale du cinéma qui constitue l'attraction moderne la plus remarquable de l’époque. Le Cinéma Pathé triomphe dans son théâtre de plein air si merveilleusement installé et embelli. L’élite de la Société de notre ville s’y rencontre tous les soirs, et c’est justice, car l’on y passe deux heures agréables, caressés par la brise fraîche de la nuit, et suivant un programme impeccable et du meilleur choix. Les derniers programmes nous ont offert le régal artistique des scènes telles que : Loin du Bonheur, Jeunne la Maudite, etc., qui sont de vrais succès, les chefs-d’œuvre , comiques de MAX LiNDER, de PRINCE, etc., sont particulièrement goûtés. Pour la saison nouvelle, des indiscrélions nous reviennent d’après lesquelles des merveilles nous sont réservées. Le voile qui les recouvre est encore trop épais, nous le soulèverons sans doute la semaine prochaine. Puis-je terminer sans signaler l'ouverture à Aidin (à trois heures de Smyrne à l’intérieur), l'inauguration du nouveau cinéma de MM. Padova frères? C'est un vrai : palais possédant tout le confort et toutes les exigences d’une salle de spectacle modèle. Son avenir s'annonce fort rassurant, vu la faveur extraordinaire que le public aidiniote s’empresse de lui témoigner. Nos meilleurs souhaits de prompte et glorieuse réussite. ISBARD. LP EXHIBITOR'S TIMES, 220, West42ndStreet, NewYork DIRECTEUR : W. A. JOHNSTON Journal hebdomadaire Américain, le plus important de l’industrie cinématographique aux Etats-Unis. Ecrivez pour | numéro specimen. Abonnement 45 francs.