Le Courrier Cinématographique (Oct 1913)

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76 LE COURRIER CINEMATOGRAPHIQUE eV VV VERTE VE NET VU VV une série de tableaux, laissant l'impression de vérité, de RARE RENE ER RE TR EE ER ER poésie que comporte avec lui tout beau paysage. ANA Les vues de « plein air » se prennent soit en restant à point fixe ou en faisant fonctionner l'appareil de dessus un véhicule en mouvement. Le premier mode est usit PI | A N lorsqu'il s’agit de prendre au passage, un cortège, pal exemple, ou de suivre les phases d’un objet qui S£ A A y2y2) WAY 12 y2 2 y, 2 DA DA DA DA DS 2 2 2 2 DA y2 y, y2 y2 2 2 J2) 2 2 2 2 2 2 2) déplace : départ de train, de bateau, d’aéroplanes, etc. Le second permet de saisir les panoramas en cours de route. On obtient ainsi, de l’avant ou de l’arrière d'un & qui K nee le souci train, même d’un express lancé à la vitesse de cent kiloLe ï x mètres, d'excellents films. C’est ainsi que, par ce procéd&® de réussir -nous ont été donnés les détails de la Côte d'Azur, de Ja ‘ai vallée du Nil, des lignes des Alpes, de l’'Ecosse, du Path C— NS fic Railway, etc. vvY vr AA A côté de ces sujets très simples, où le paysage joue le 5 AA plus grand rôle, où les figurants ne peuvent letre ! NN leur insu ou sans aucune préparation, nous devons place! Souvenez-vous AN les « scènes » jouées en plein air, et qui comptent parmi Aa les plus pittoresques : histoires de cow-boys, plutôt pa 3e NA de mode, mais qui firent fureur voici seulement quelqu qu il ne suffit pas Fe années, et ces hilarantes poursuites qui se prêtent aux : : ERA détails les plus divertissants : descentes des nues en casst” de passer des Films Sensationnels AA cou, chutes de voitures ou de passants, étalages saccagés AUR sergents de ville malmenés, et surtout les nouvelles Vic” times de ces mésaventures faisant boule de neige jus? qu’au règlement du compte final. Il n’est guère de jour où l’on ne rencontre, tantôt en voiture, tantôt à pied, une de ces troupes nomades nouvelles en quête du coin propice pour l’action du livret, de longue date établi. « Cherchant à Barbizon, écrit Octave Uzanne, une tra: quillité rendue nécessaire par ma santé, j'eus l’étonnemen de faire, un beau matin, dans un des plus merveilleux sites de la forêt de Fontainebleau, une rencontre al moins inattendue en ce temps et en ce lieu; sous le falx douloureux de la Croix, le Christ s’avançait vers moi, € derrière lui tout le long cortège de la Passion. n’était tout simplement qu'une mise en scène extrêmement soignée et complète pour une grande maison d'éditions cinématographiques! « Je fuis ces lieux qui me rappelaient trop les coulisses d’un théâtre, je cours dans le Midi, dans ce coin exquis te ee leur projection soit AU de Saint-Raphaël. En ouvrant ma fenêtre, j’aperçois, se All + # À À EU dirigeant vers les rochers, toute une troupe singulière : sa irréprochable, agréable à voir AA matelots, douaniers, policemen anglais. Encore une RUE AA troupe de cinéma! » (EU et d’une TA Une autre fois, la forêt de Fontainebleau estenvahie par AA f É EE des Sioux et des Gauchos, tandis que des chevaliers et gen” arfaite netteté aa tilshommes pénètrent avec unecomplicité domestique dans WA A x pÊDe : DAS queen ER RER AA un château voisin de Barbizon. Survient la propriétaire SA Ê NA non prévenue de cette visite importune. Elle s’avane Des DONS CPEPMOMEL CARE Jatigue. aa vers le chef de la troupe, afin de lui demander une explf AA jé Res À RU: calion, mais elle est accueillie par cette exclamati0 A De l'avis même des opérateurs, aa qu'accompagnent les gros mots : « Eh! là-bas, vouleZ" Et A alicé RAS 7 Î 4 ge Vous êtes dans le champ... » VE EN vous bien vous garer! amp RE ces qualités ne sont réalisées que par les A On a beaucoup ri, dans la presse, des épisodes de la AE WA guerre du Transvaal, avec, pour camp stratégique, les FEU } IT | | | } [i IQ AA Buttes-Chaumont. SES . aa L | \ ] L il G BIN Sal II. — SCÈNES PRISES AU TRÉATRE. ms à FR DT A mes La majeure partie des scènes cinématographiques sont 000000 800000060000000090060000060e des compositions fantaisistes; par elles on a excité le goût du public, qui devient de plus en plus exigeant; il es vrai que la concurrence entre éditeurs ne recule devan J. FLEURY HERMAGIS aucun obstacle, et c’est pourquoi l’industrie nouvelle 4 Opticien-Constructeur : 18, rue Rambuteau, PARIS ce Es sur HE snaqué . pe Pe : es sujets pris au théâtre cinématographique compren" Téléphone : ARCHIVES 24:55 nent : a) la représentation de pièces théâtrales ; b) des Livraison immédiate et à l’essai reproductions reconstituées d'événements anciens Où D der Notl d’aclualilé; c) de scènes dites fantastiques, à trucs ou à emanter NOR transformations. AUZAUZ AU A2 AU AU AU, AI AT AU AU AU AU AU AU AU re ANA AN AS AN A0 AW AN AUS AW AW A0 AN AS AS (Traduction el reproduction interdites.)