Le Courrier Cinématographique (Oct 1913)

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EE al LE COURRIER CINEMATOGRAPHIQUE V EE on que Loisys 1osait «confier :S0n: secret. à is à re lauteur de la Salomé arrivait à Paris, a clé es au seul-de la petite porte dont il avait par 1 Rae donnait sur le jardin du pavillon habité de See oïska et là, surprenait la, danseuse, avec, un noctu admirateurs. Celle-ci, croyant à uno attaque LAS ne réconnaissant pas Méral, tirait un coup per dans la direction de Méral. Celui-ci, touche épaule, S'était réveillé chez lui, sa femme à son hevet. Fi guérison, il comprend enfin le dur calvaire FR Par sa femme et, pieusement,. il s'agenouille sn Pieds de Sa femmé, qui le relève pour le serrer sur Done, d'un geste où se confondent la tendresse Me, épouse et l'indulgence d'une mère. Hop LÉONCE AU CHATEAU D'IF: Comédie rayant constaté qu'il était assez faible en histoire, fai Ce Convint en lui-même que le meilleur moyen de ré connaissance avec elle, était le roman historique. Onte-Cristo lui apparut comme parfaitement adéquat SOh désir. T1 dévora louvrage ét il se dit qu'en visi pd Jes lieux, il retiendra beaucoup plus facilement les qui s'y étaient déroulés. TL s'en alla au Château M0 . jraversée fut pénible. Il se restaurait, quand surjé la femme du gardien, devant laquelle Léonce Êre a immédiatement en admiration. ! 2\près une collation légère, il souhaita visiter la somlà aréneure. La jeune femmes se mit gracieusement à Diva Position de lartiste: Léonce se permit des tas de auautés dont la belle ne se fâchait qu'à moitié. | $ + le! gardien avait vu le manège de loin et il jou croître en lui, grandir et gronder, une colère NOUSE, et, confiant les: visiteurs à Sa femme, °se rs de Léonce qui ne se doutait de rien, et Vena à JANS un cachot. Vers 8 heures du soir; ‘notre al, COMmencait à la trouver mauvaise, ‘et faisait des ent de détresse ; le gardien “est'irréductible ; mais gai lille l'est moins, et elle se porte au secours du pri nier qui mourait de faim. Quand le garde, estimant #8 plaisanterie a assez duré, se présente à! son 0 5 à ; A Les. C g" LÉ d'u É -Cest un spectre affreux qui se présente, chevet ra Tap blanc: : Spectre de l'abbé Faria. nt des bonds désordonnés et par une savante Matédie, accule le garde au cachot de l'abbé Faria et ÿé Précipite à son tour. | 1h cest Léonce ! Il donne un bon tour de Dar et voilà le pêcheur puni! Enfin, tout, se termine une réconciliation et, lé lendemain matin, en stant Ja bouillibaisss Léonce trinquait-en: l’hon£ur, du soleil qui flamboyait. sur la mer et sur Mar Fa il Ta blanche. à: An AT À SOUT DE ZAN ET LE MANNEQUIN : Comique le, Bout .de Zan, Jui ayait. dit, son père, nons allons er direun petit bonjour à ta tante. train chère dame de tante était dans son jardin, en a d'ajuster une robe sur un mannequin d’osier. der vue-du mannequin avait suggéré à notre ami une : Ces idées de génie comme il en à si souvent. : Yofitant de la courte absence des siens, il se glissa Xe robe et attendit.avec patience qu'on voulût bien percevoir de son absence, ce qui ne manqua pas äTriver. La bonne tante, qui connaît bien son neveu, ne s'in Lu iète pas outre mesure, maïs, tout à COUP, elle voit J avec épouvante le mannequin. tourner sur lui-même et se trémousser. Le père. de Bout de Zan survient à C0 moment etune poursuite acharnée commence. Bout de Zan commence à trouver que ça sent l'aigre, il pose : le. mannequin sur un pont. et file comme un “èbre. Le père:et la tante sont, à leur tour, arrivés sur le pont, à. bout: de, souffle. La: bonne tante, croyant vraiment son mannequin hanté, prend un, parti héroïque. Elle le saisit et vlan ! par dessus le parapet,, dans la rivière | L'objet décrit une courbe élégante et vient coiffer unpaisible pècheur qui trempait du fil dans l'eau. Il en. résulte un conflit, vite apaisé d'ailleurs. | Quant à Bout de Zan, gageons qu'il à dû retourner dans le jardin de sa tante. PAUL HODEL "7" 1°" 3 RUE BERGÈRE Paris, | Adr. tél: Mtala-film Paris Tél. 49-11 KAY-BEE LE SCEAU DU SILENCE Grande scène de mœurs américaines Dans. une bourgade du Nord Américain, les ouvriers d'une importants usine ont décidé de,se mettre en grève. L'un de. leurs-chefs, John Owens,. est contraire à 12 grève, mais ne pouvant l'empêcher, il commande aux grévistes de ne pas employer la violence. Mais ses conseils sont mal accueillis par les meneurs et il est lortement houspillé par ces derniers. Le lendemain, C'est plus que là grève, c'est une vraie scène de révolte, les grévistes conduits par quelques agitateurs attaquent les batiments dela mine: les aœuelques défenseurs sont bientôt hors de combat et’ les bâtiments pillés et incendiés. Pientôt les troupes arrivent pour rétablir l’ordre ot desarrestations s'énsuivent. John Owens, dési-’ gné comme ün meneur, ést arrêté et condamné à dix ans de travaux forcés. Sa femmie reste seule et miséable avec deux jeunes enfants, Cyrille et Marie. Un' jour que Mme Owens avait envoyé ses deux enfants ramasser des brindillés de charbon à la gare, le jeune Cyrilie monte se reposer dans un wagon de marchandises ét s'endort. Le wagon est attelé à un convoi et Cyrille, étant passé inaperçu, est emmené malgré lui vors l'Ouest lointain. Là, le convoi est mis sur une voie de rarage et Cyrille, exténué et mourant de faim, peut enfin quitter son wagon pour tomber bientôt d'inanition. Hsétait mort sil n'avait été recueilli par un syrti d'Indiens qui l'emmenèrent et l'adoptèrent par JA guite. Les années ont passé, John Owens va bientôt avoir fini sa peine et il écrit à sa femme de venir ‘» rejoindre ayec sa fille; ils vont s'expatrier pour se refiire une nouvelle vie. ë Cyrille, parmi les Indiens, a grandi et ést maintenant fiancé à Wanda, la fille du grand chef. T1 a oublié son origine et les jeunes gens s’adorent. Le gouvernement américain, sur. Ces entrefaites, par ses mesures vexatoires, oblige les Indiens à se révolter. Ceuxci attaquent les troupes américaines et les extermihent. Poursuivant leurs succès, ‘les Indiens courent attaquer un convoi d'émigrants et ils en sont bientôt