Le Courrier Cinématographique (Nov 1913)

dus LE COURRIER CINÉMATOGRAPHQUE 4 A 2 D EL 2 % ITALA-FILN Paul HODEL S — Rue Bergère — 3 PARIS Hier Aujourd'hui Demain \ ne Que la publicité soit l’âme du commerce et de li dustrie, voilà qui ne fait de doute pour personne Il est certaines firmes qui y consacrent annue un qe fantastique, jus Que la presse en ait été la meïlleure forme, la us productrice — parce que la plus répandue et la Pde persuavive — c’est encore une vérité que tout che maison ne contestera pas, elle est notoire ! Nous disons : la presse « était », en effet, « était » n’est plus. Ceci a vu venir cela. je Le cinématographe est né, et le GE qui Temp” tout... Mais oui ! tout. este Enfant timide, il grandit, sans bruit — en M — inais voici ‘que ou adulte il se révèle, ts oÿeTS mn jiement +, ce qui ace Pour la BELGIQUE et la HOLLANDE MM. Albert FOVENYESY et BOCQUEL Concessionnaires aux yeux RÉ de ui < qu 55, Rue du Lombard, BRUXELLES Il devient le grand reporter international ! miew es, Fespéranto, il parle la même langue à à tous les per tes car son œil de cyclope fixe et livre à l’univers les 8 ne des hommes et l’attitude des choses, Le ement oit blables en leur diversité, compris de chacun, qu'il du nord ou du sud, de lorient ou de l'occident. oc ._ La voilà bien, la puissance incomparable, 1 En Adresse vitale inégalable du cinématographe!.. du « Cin RE : comme on a l'habitude de dire. £ se télégraphique : Téléphone : Ayant la nature pour théâtre : ayant ses auteuts ur: ITALAFILM artistes, et non des moindres ; drames, cons ne cès PARIS 1449-11 suites et pièces à trucs lui préparèrent son actue 7 y et forcèrent l'intérêt financier. Aujourd’hui, Île ( cer nal. cinématographique » est fondé, et fait dé devant nos regards étonnés ce que notre esprit ? ridiens peine à concevoir par la seule lecture des quoti imprimés. Ja presse est handicapée ! Les gouvernements se préoccupent de ce nouvei qui s'implante en nos mœurs et devient de jour € indispensable, le lendemain plus que la veille. Suspect hier, le voici favori de l’époque. Les pédagogues, un instant émus de cett nouvelle d'instruction et d'éducation, qui échappA le 4 leur contrôle, s’en emparent à leur tour et en font mel auxiliaire, instrument docile et précieux qui va se du partout ja leçon de choses, mettre l’élève en acé fait, convier le monde à l'examen des techniques ce l’initiant, comblant du coup l’immense fossé qui $ rait la théorie de l’action. on Donc, l’œuvre du cinéma est ‘immense! Il © ent: mence par uniquement nous distraire, puis il 1 devié l’éducateur, et voici qu’il va nous instruire. ÿ Avec ui, nous avons fait connaître à l’étrang t taines de nos œuvres théâtrales, de notre littératuf ja Ja majorité de nos grands artistes, dont, sans ul 1 renommée n’eût probablement jamais passé les tières. Combien de gens intéressants, mais de a modestes, lui doivent d’avoir pu éprouver devant { fait inagique écran, l'émotion saine qui attendrit : et ITA LAFILM : TORINO»> féala > PF Tr fl jour 2 sour®, cé Nouveauté à paraître le 28 Novembre : On Faisan ? Comique, 253 mètres Nouveauté à paraître le 5 Décembre : er cel Vaincre ou Mourir Drame, 1295 ihéires m3350098. VJISPENARUE SOUUSUORERS OUR CNCNENNANARARLALTONUR A NOIGAUNIENT .ATVSPEAELRETOUT ÉEDENTEE PRERAANDESONCOCRC AA TTTE ROSE ETNAANE AOL S CNE UT ES ANNEN NU CÉTRONAENNNILLSATTUTCOITERAMALSEISELAUEE ES à + & D AAAAAA TARA ORNE OURS DURS DURE LES ANS QU ARRNAN LODOUDEPEEEUIEDI SERNAIOANELÉAAN 2 INOSLSSOULLASS UT TADSELNTANLEENINNNENTANCAULLAUNELLLLENNALEAAALLL CRAN TLULUTMNE NOTE TAENITABATONCEEE LÉ (| = NE ES 2 CC D CE