Le Courrier Cinématographique (Nov 1913)

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î LÉ 1 FRE DL: 3 lancé a \ ( evient V'h . Mant: l +) S Expat PAT €. doter | nvbable More LE COURRIER CINEMATOGRAPHIQUE III DES Chez LAN { Planterose, pour y reprendre les pièces compromet 1 4 î “nan pour lui. suffoqué par les gaz délétères, tombe Manjin touché » Secouru par ses victimes, Villebrun, enfin bar le remords, répare le passé. << BELGE CINÉMA FILM (Pathécolor) 2% à DIAMANT NOIR : Grande Scène dramatique, en 3 parties, de M. Alfred Machin ier, secrétaire du baron Van der Malen, est ch a jolie Linke. Profitant de leur congé du diman Co »Euc et Linke se promènent, les yeux dans les yeux, $ dans \ ne A ne A ui Pie, la donne au château pour tranquilliser Linke, me q ra eux amoureux, très épris, le long des rivières, grasses prairies des polders. Luc qui a trouvé RU RAE È à u MERE est Superstitieuse, et bientôt, la pic apprivoisée, Pte et Ôte aimé du grand parc. VAE le r ma Linke voient approcher avec bonheur la date de Entrave 1 8€ lorsqu'un événement imprévu et douloureux x eurs projets : une bague ornée d’un précieux diaLo 0ir a été volée à Mile Van der Malen. Tout accuse bijou Lens et une perquisition fait découvrir chez lui le AS 4 (à È ù Yaïne sens du village, durs comme le sont les foules aux bable met pour qui un accusé ne peut être qu'un couCon Le écartent avec mépris de Luc Ogier : l'amour et la ns di. de sa fiancée soutiennent seuls le malheureux à, e épreuve douloureuse. Mais pour ne pas traîner "ee Ce pays son déshonneur immérilé, il décide de Les Si et part au Congo avec l’explorateur Santher. Sible : O1s s’écoulent, Luc Ogier, aguerri, devenu insenAronte + rigueurs du climat, familiarisé avec la mort qu'il brou € journellement, chasse les hôtes redoutables de la Ù n jour, un léopard blessé se retourne contre s ui, lacéré par les griffes puissantes du fauve, ne enda Salut qû'au courage du jeune Belge. ; Van ferai ce temps, le jour s’est fait sur le vol du château an Le voleur F ou RSS la voleuse, ce ù est autre que la pie Jacqueline — ayant de lan dérobé le diamant qu Fues fait surprendre en Ogier v, délit, et la télégraphie sans fil apprend à Luc Son SA réhabilitation. Il revient au pays où, müri par 0 4 Mieny Périence des hommes et des choses, il apprécie ue jadis son bonheur reconquis. + PRINCE Le RIGADIN NE FAIT RIEN . “OMME TOUT LE MONDE : Scène comique de M. Millot, jouée par Prince. Rigad: % ranger ayant à son actif nombre d'aventures, songe à dune et à se marier... Il a remarqué une charmante ille, Alice Soury, et la demande en mariage. Le pe à by préesé Sans doute sur les fantaisies de sa fille, invite endant à s'adresser directement à l'intéressée et Celle. ci f; de la ne ses conditions : « Je veux vivre le contraire nt VI et je n’épouserai qu'un homme original, ne fai Tien comme tout le monde. À vous de trouver le ii Pour de Mme plaire ». ln bou Conquérir cette jeune fille bizarre, Rigadin arrive, Quet de chardons à la main; dans un attelage com l posé d’une automobile remorquée par un âne et se livre à mille excentricités. Ravie, la jeune fille pousse l'audace jusqu’à embrasser son prétendant. Mais ce geste lui vaut une gifle bien sentie, et Alice, stupéfaite, s'en va bouder dans un Coin. Rigadin lui représente alors que son geste un peu vif n'avait qu'un but de démonstration : prouver que valait, mieux reprendre la vie à l’endroit. La jeune fille en convient et tout finit par un bon mariage. 3 ANDRÉ DEED BOIREAU ET LES DEUX POLICEMEN Scène ultra comique, jouée par André Deed Boireau, recordman du rire en largeur, est recherché par la police sous inculpation d’avoir déclaré, parmi les citoyens de la libre Amérique, une épidémie de dilatation, derate. Pris au lasso par deux policemen, ficelé comme une momie égyptienne, Boireau parvient en roule, à se débarrasser de ses liens, cherche un refuge à la cime d'un arbre, retombe aux mains des agents, reprend la fuite et donne tant de fil à retordre aux braves représentants de l'autorité que ceux-ci finissent par le clouer sur une table. Mais Boireau en réchappe encore, saute par dessus le bord d’un bateau et salue ironiquement les policemen yankees, restés sur le ponton, et furieux de leur déconvenue. Je AMERICAN KINEMA LA GOÉLETTE « SANAWITTS » La goélette Sanawilis, chargée secrètement d'une cargaison de dynamite, quitte le port;le patron de la goélette a accep'é par charité de prendre à son bord un, marin du nom de Carter, qui passe pour être un ivrogne invétéré. : Peu après le départ de la goélette, Carter apprend, par le hasard, la nature de la cargaison ; il prévient les marins, les excite à là révolte et, pour maintenir l’ordre, le capitaine Hart doit user de force et de violence. ï Carter, déjà sous l'empire de la boisson, passe derrière le capitaine, le frappe et le jette à la mer. PU Désormais livrés à eux-mêmes, les hommes de l'équipage font fête et boivent et dans le désordre qui s'ensuit;: une lampe est renversée, la flamme communique le teu aux poudres, et la goélette saute. ARTE Réfugiés sur des épaves, les marins sont sauvés; à l’exception de Carter. Mais un jeune mousse, fils du disparu, prend la mer sur une barque de sauvetage, et ramène Son, père sain et sauf au rivage. D Il aété dit que les gens très pauvres ne lisent pas les ANNONCES. Peutêtre. En tout cas, il est exact de dire qu'ils ne demeurent pas pauvres longpr in après avoir LU LES ANNON