Le Courrier Cinématographique (October 1917)

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12 LE COURRIER CINÉMATOGRAPHIQUE SUR L'ÉCRAN Ceux de l'avant. Un de nos amis, M. Gauban, dont nous avions signalé la disparition, voici quelque temps, vient de donner de ses nouvelles. 4] #6) M. Gauban a été fait prisonnier sur le champ de bataille. Il n'est pas blessé. Il informe sa famille que sa santé est aussi bonne que possible. Nous souhaitons à ce brave ami tout le courage qu'il faut pour supporter la douloureuse captivité. = C’est pour les orphelins. Le Courrier prie ses lecteurs de vouloir bien lui signaler toutes les infortunes intéressantes, toutes les familles de cinématographistes qui pleurent la perte de l’un des leurs tombé au champ d’honneur. Il s’agit de dresser une liste sincère et complète des ayants droit, en vue de la répartition éventuelle des fonds disponibles du Film de Bienfaisance. Les bonnes volontés qui ont présidé à cette œuvre de haute portée morale ont besoin d’être éclairées. La guerre se prolonge, le moment est venu de passer des paroles aux actes. ; se L'Interpellation ! CENSURÉ . . . . . . . . . PA Alliance féconde. De même qu’on ne fait pas un bon gigot sans ail, il faut un bon scénario pour faire un film amusant. En demandant des idées à notre ami Arnac, Rigadin a été bien inspiré. Déjà, Rigadin trouve un bouton était drôle, Rigadin n'aime pas le cinéma! plus drôle encore... Le Fluide de R'gadin, qu’on vierft de donner, dépasse, en fantaisie, les précédents. et on nous annonce, pour bientôt : Rigadin aimé de “sa dactylo et L’Astucieux Rigadin, qui, d’après les derniers tuyaux, sont deux folles aventures, propres à dilater les rates les plus réfractaires. Le gigot, c’est Rigadin, et l’ail, c’est Arnac! Communiqués. $ Les Etablissements L. Aubert présenteront le mercredi 24 octobre, à 10 h. 30, dans la coquette salle de l’Aubert Palace, 24, boulevard des Italiens, le beau film français : Paraître, adaptation cinématographique du chef-d'œuvre de Maurice Donnay, de l’Académie française. * « + Les Cinématographes Harry, 61, rue de Chabrol, Paris, présenteront le samedi 27 octobre 1917, à 3 heures de l’aprèsmidi, au Palais-Rochechouart, 56, boulevard Rochechouart, les films : La Perle des Caraïbes, comédie dramatique interprétée par la célèbre comédienne américaine miss Margaret Fischer; Scènes de la vie de Bohème, tiré du célèbre roman d'Henri Murger. Mise en scène de M. Albert Capellanr interprété par Mile Alice Brady et M. Paul Capellani. N. B. — Toute personne n'ayant pas recu d'invitation est priée de considérer le présent avis comme en tenant lieu: x x L'Agence Générale Cinématographique présentera le mer credi 24 octobre, à 2 heures et demie, à Majestic-Cinéma 33, boulevard du Temple, les trois premiers épisodes de : Suzie l’Américaine, grand cinéma-feuilleton en 16 épisodes de M. G. Le Faure, publié dans le Pays de France, et Une drôle d'affaire, film cocasse de M. Harry Mass, d’après les procédés Parolini, grâce à l’ingéniosité et à la nouveauté des quels le public a une vision amusante, étrange et bizarre, des personnages et des choses. ; Ce film, dit-on, provoquerait dans le cinéma une petite révolution appelée à un grand retentissement. ; + Toujours plus fort. Le légendaire succès du Cirque de la mort, le célèbre film de la Maison Armand Vay, de Milan, va-t-il se trouve’ dépassé? Les privilégiés qui ont pu voir La Course à la mort, le nou” veau film de cet éditeur, dont les Etablissements L. Aubert se sont assuré le privilège exclusif, affirment n'avoir Jamais vu de « clous » d’une hardiesse aussi saisissante. Je A la ligue Maritime. Retenez bien ce titre, chers lecteurs du Courrier, et n€ confondez pas avec le Syndicat Rivelli (alias Ligue Navale) : Donc, à La Ligue Maritime, on travaille avec ardeur la bonne propagande en faveur de l'extension de notre puis” sance sur les mers. On sait que le cinéma retient particulé” rement l’attention des membres du Conseil d'administration et que notre confrère Paul Féval dirige la confection de plusieurs films dont nous aurons l’occasion de parler prochal nement. : Nous ne perdrons pas de vue cette œuvre d’excellent patriotisme à laquelle tous les Français ont le devoir prêter leur concours.