Le Courrier Cinématographique (February 1918)

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Ÿ Année N° 8. (Édition de guerre). Le N°: 350 centimes 23 Février 191$. Doooo00000000000000000000E Le Courrier CINÉMATOGRAPHIQUE MOD o0u0oo LOGE CO: 0 ORGANE HEBDOMADAIRE INDÉPENDANT DE LA CINÉMATOGRAPHIE DES ARTS. SCIENCES ET INDUSTRIES QUI S'Y RATTACHENT ABONNEMENTS : Directeur : Un an. FRANCE 15 fc Un à ÉTRANGER 20 f n 0 . . . # + r CH. LE FRAPER Rédaction et Administration : 28, Boulevard Saint-Denis, PARIS. TÉLÉPHONE : | Direction : Nord 56-33 Imprimerie : Central 66-64 ADRESSE TÉLÉGRAPHIQUE : COURCINÉ-PARIS —— AVIS : Les bureaux du “ Courrier Cinématographique *” sont réinstallés au siège du Journal, 8, Boulevard Saint-Denis, Paris (Téléph. : Nord 56-33), depuis le lundi 48 février. Nos lecteurs sont priés de vouloir bien en prendre bonne note et de nous adresser 28, Boule y ee ; rd Saint-Denis toute la correspondance destinée au Courrier. RE Des galons! Des décorations !! Ce tuant ne m’appartient pas. C’est celui d’un très ant article que publiait la semaine dernière Sit Kim. Mais, comme il définit exactement la line on privilégiée de ceux qui président aux desPS de la Section Photographique de l'Armée, je Sep Prunte à mon excellent confrère qui m’en excu1 € serait-ce qu’en raison de l'intention. Qui D arcel Lévi n’est pas le seul, en effet, à Suis ! été les faveurs d'avancement dont je me Dora là étonné si souvent. Nombre de ses collatütrepes ont recu à leur tour ce qu'on dénommait, np. "01S, « l’épaulette » et pas plus que lui n’ont puits cet insigne honneur sur la Marne ou V'agi 4 Cela leur est venu tout seul, comme s’il | SSait d’un droit... | & © Ce fait, la Section Photographique se classe | D. service le plus avantageux de toute l’arSens “x suis surpris à bon droit que tant de braves entêtent à courir les risques des combats et éCtionner des blessures en vue d'une hypothélb È récompense, quand il est si facile, dans les àe ki 01] QUES aloires de la rue de Valois, de devenir officier À 1 Là . %alier de la Légion d'honneur. iépathra aux candidats de l'avenir, que cet avis fra et qui aspireraient à devenir réciplen daires de la Section Photographique, de n'être ni cinématographistes, ni photographes À cette condition expresse, le galon de sous-lieutenant leur est, par avance, acquis. En veulent-ils la preuve? Qu'ils méditent, en ce cas, l’'énumération qui va suivre : elle constitue, à cet égard, un précieux enseignement. On sait déjà comment M. Pierre-Marcel Lévi, simple soldat, engagé spécial en mai 1915, a gagné sa situation d’officier et sa croix : je n’y reviendrai pas pour l'instant. Mais je citerai le cas de M, Croze, simple soldat, tout comme son chef de file, qui fut, lui aussi, et à la même époque, promu souslieutenant. M. Croze s’affirmait, par excellence, ignorant de tout ce qui devait, pendant la guerre, capter sa dévorante activité. Sa profession reconnue était, rédacteur théâtral au journal L’Eclair. On voit tout de suite le bénéfice matériel que la photographie et la cinématographie officielles devaient retirer de sa collaboration... M. Croze a, depuis quelque temps, quitté la Section Photographique; il villégiature maintenant dans la zone des armées. Certes, on ne la point décoré, car, dans le voisinage du front, il ne fait pas bon d’arborer des croix que l’on n’a point conquises par sa bravoure. Seulement, pa