Le Courrier Cinématographique (March 1918)

Record Details:

Something wrong or inaccurate about this page? Let us Know!

Thanks for helping us continually improve the quality of the Lantern search engine for all of our users! We have millions of scanned pages, so user reports are incredibly helpful for us to identify places where we can improve and update the metadata.

Please describe the issue below, and click "Submit" to send your comments to our team! If you'd prefer, you can also send us an email to mhdl@commarts.wisc.edu with your comments.




We use Optical Character Recognition (OCR) during our scanning and processing workflow to make the content of each page searchable. You can view the automatically generated text below as well as copy and paste individual pieces of text to quote in your own work.

Text recognition is never 100% accurate. Many parts of the scanned page may not be reflected in the OCR text output, including: images, page layout, certain fonts or handwriting.

LE COURRIER CINÉMATOGRAPHIQUE # ( a Photographie fut publiée dans le Monde ; « Ces deux officiers % ee le texte suivant . pe ; :208 Sntorinoir avec une évidente CRUE Len tireront-ils pour améliorer leur position ?» Los Die de gauche est M. FieueMacé né. à de la Section Photographique de l’Ard& | “te Section possède un assez grand nombre be, n et de films de cinéma, faits pour les Ë U la Propagande française et qui représentent 1 dans les poses les plus belliqueuses. EE — Le personnage que l’on aperçoit victorieusement campé devant cet ancien poste de commandement ennemi, et qui commande les poilus qui l'entourent, est encore M. Pierre-Marcel Levi. Cet officier qui verse le vin de sa gourde à des prisonniers boches, qui semblent accepter ce don comme un hommage, est toujours M. Pierre-Marcel Levi. Le Cinéma Gril ci à là suite d’un avatar qu’il est inutile de rappeler ici, le était à à piétiné sur place pendant quelques années, mais il Perd top vivace pour ne pas récupérer au centuple le temps ui. ie c'est avec une joie bien légitime que les cinématiers Cern Exploitants) français, ont vu établir des règlements con énér la réduction des risques d incendie. Dans l'intérêt LE se tous se sont soumis et adaptés à cette bienfaisante Mentation. Cinéma le Président du Syndicat Français des Pere de bor hatographes devrait (toujours dans l'intérêt de la corAüon), demander à tous les cinés de France et de Navarre communication de leurs polices d'assurances, à titre obligatoire. Il apprendrait ainsi qu'il existe en France, au moins un cinéma, non assuré, parce que les Compagnies n’ont pas voulu assurer un établissement dont le plafond de la cabine est en bois, et quel bois! tout simplement le plancher de l’unique galerie pouvant contenir environ 300 spectateurs. On accède à cette galerie par deux escaliers en bois, dits échelles de meunier, qui sont situés à hauteur de la cabine, l’un à droite, l’autre à gauche. Est-ce bien là ce que prescrivent les règlements sur l'installation des salles de spectacle cinématographique? Qu'en pense M. le Président ? Il est bon de remarquer, en passant, que la cabine reculée de trois mètres pourrait ‘recevoir son casque métallique et tous ses services de protection contre l'incendie.