Le Courrier Cinématographique (May 1919)

EE SA 9e R& GS RAnée Ne 21, (tin de gere) Le N°: 90 centimes 24 Mait3 © 0 0000000000000000000000000&,e7 Courrier CINÉMATOGRAPHIQUE SES Hemanese Le 00 O0 0 D ORGANE HEBDOMADAIRE INDÉPENDANT DE LA CINÉMATOGRAPHIE DES ARTS, SCIENCES ET INDUSTRIES QUI S'Y RATTACHENT — ABONN TÉLÉPHONE : | Direction : Nord 56-33 U NT j | Directeur: CH. LE FRAPER Imprimerie : Central 66-64 À n an. NCE ' Æ f : LS Rédaction et Administration : ADRESSE TÉLÉGRAPHIQUE : COURCINÉ-PARIS Un an. ÉTRANGER < INTER RERE 90 fr. 28, Boulevard Saint-Denis, PARIS. Vers le progrès (Par Ch. LE FRAPER) On sai "s Sat que l'avenir du film français est fonction | victoires, car un élément exceptionnel de succès favoom à Ge P] re de salles nationales où il pourra passer. risera la floraison de nombreux écrans dans des ls | Be égions qui nt été privées jusqu’à ] à dutont à Aura de salles en France, plus les éditeurs | TESIONS Eure Ro Le _. d FR eue en doubl] € clients, et mieux les loueurs réussiront à comme parto EP or prestigieux. Nul n’ignore maintenant que le principal obstacle à la multiplication des éinémas ‘a toujours été la difficulté de la projection. La grande question à résou FE a = L1 . . Qous “du Cap fatidique de l'amortissement. Aussi, | AoYen q erchons inlassablement, depuis des mois, le | ché.” COnner un peu plus d’étendue à nos débou Commerc; De l'ayo, MErciaux intérieurs qui sont, il faut bien de Par trop étriqués. Nous n’avons pas dans dre était, hier encore, celle de éclairage gran iSmmeNt de salles de spectacle ue De nombreuses sources de lumière sont connues bhobes. Paque, quoi qu'en pensent MM. les Cinéet employées. Entre toutes celles-ci, l'arc électrique Uinze * UT nos trente-six millions d'habitants, tient le premier rang. Aucun éclairage, jusqu'à ce otre 4 écrans seulement sont dressés, alors que jour, ne permettait de faire des projections aussi & compt £ Voisine, et vaillante alliée; la Belgique, nettes, aussi brillantes, donnant autant de relief, surPle mille. tout d'opérer à grandes distances, dans des salles de vastes proportions. Mais l'arc est un grand consommateur de courant quil faut alimenter coûte que coûte. Or, il existe encore beaucoup de villes qui n'ont pas de secteur électrique. Le directeur de cinéma doit se pourvoir d’un groupe électrogène lourd, coûteux et encombrant, pour assurer son spectacle. Cette complication, ajoutée à tant d’autres, effraye plus entreprenants et décourage les meilleures e Sete qu ensement des villes dépourvues de salles préPoursuis : Un très réel intérêt. C’est pourquoi je le “tons pic tivement depuis quelques semaines. Nous “es, Dot quelles sont les régions les moins favo*éder ù %$ Qui ne connaissent point les joies de posPique, rs une salle de spectacle cinématogra Ne Pourrai. €S Qui en comptent une ou deux, mais Mentap,. "1t en accueillir plusieurs. Notre docu “ on Q , u e . = ? ue Es Ste aux meilleures sources, sera PréRD e £ : Patie °Specteurs du cinéma qui attendent, avec [1 est vrai qu'il existe d’autres lumières. Sans pré . Ehce | RERO Ne ne Dattir LEE Publication de nos premières listes pour senter autant de difficultés que l'arc électrique, tout en D. Pagne étant plus accessibles, financièrement parlant, elles ne uffisamment généralisées. Peu d'opérateurs les bonnes volontés. es et 2x £ déjà, je puis leur prédire de nombreuses * sont pas S