Le Courrier Cinématographique (Apr 1920)

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24 LE COURRIER CINÉMATOGRAPHIQUE Mise au Point Le Comité d'organisation du Congrès de Lyon, qui s’est cru pris à partie par notre correspondant régional dans son compte-rendu, nous adresse une petite note explicative. Afin de bien prouver à nos lecteurs notre absolue bonne foi et notre entière impartialité, nous nous faisons un devoir de publier la lettre du Comité d'organisation du Congrès dans lequel nous comptons beaucoup d’amis de vieille date. Nous sommes, comme ces Messieurs, persuadés. que la . Fédération des Spectacles nous donnera plus d'autorité pour nous défendre contre toutes les brimades dont nous sommes l'objet. Nous souhaitons simplement que cette Fédération ne soit pas, dès sa naissance, frappée d’impuissance parce qu’elle sera tombée entre les mains de certains mercantis du Cinéma dont nous avons pu hélas! apprécier en maintes circonstances le singulier civisme. Lyon, le 30 mars 1920. Monsieur Ch. Le Fraper, Directeur du Courrier Cinémalographique, Paris. « Monsieur le Directeur, Le premier devoir d'un correspondant de journal corporatif est, nous croyons, de publier des informations exactes et le plus possible précises; le secend est d'avoir du tact et de chercher par un large esprit d'équité, par une impartialité rigoureuse, à maintenir la bonne harmonie entre les divers groupements dont il est chargé de publier les travaux ou les questions qui les intéressent. Nous sommes fermement convaincus que c’est votre sentiment, et c'est pour cela que nous nous permetions de vous demander l'hospitalité de vos colornes pour le confirmer à vos lecteurs el dans l'intérêt de la vérité. Or, votre correspondant lyonnais qui signe du pseudonyme élégant « St-Jean Bouche d'Or », semble méconnaîlre ou ignorer ces deux vérités et, par cela même, ne pas être la « Bouche d'Or » dont il se qualifie. 1° I écrit, en effet: « À Lyon, nous avons trois syndicats un pour les théâtres et music-halls, un pour les établissements cinématographiques importants du Centre, et un autre nouvellement constitué qui groupe parmi ses adhérents les directeurs de cinémas et music-halls, non seulement de tout Lyon, mais ussi de toute la région. » ZE LE SAGE DL'E : “ NE REMETTONS PAS AU C'est inexact: le premier syndicat nommé, celui des théâtres et music-halls n'existe pas, el le second comprend les établissements importants ef... autres du cenire. et de la périphérie. Ce qui est vrai, c'est qu’il v a à Lyon un syndicat de cinémas et music-halls : l'Union Sundicale des Directeurs de Spectacles de Lyon et de la Région; un syndicat de théâtres, music-halls et cinémas: La Chambre Syndicale du Spectacle de Province, et un sundicat de cinémas — importants ou non — non parliculier à ceux du centre: Le Svndicat patronal de la Cinématographie Lyonnaise. 2° Votre correspondant, au lieu de chercher à dissiper les mésintelligences passagères qui se produisent toujours entre les les différents groupements, vous le savez aussi bien que nous, tend, par des réflexions malheureuses et injusles, à en augmenter l’âpreté. C’est ainsi qu'il accuse les « dirigeants des diverses organisations syndicales » d'avoir &« apporté peu de bonne volonté ». ; . Nous protestons énergiquement contre cette affirmation. Toute la « bonne volonté » possible, au contraire, a élé em plovée par ces « dirigeants » pour amener une bonne entente » entre les trois groupements. Les témoignages abondent pour le prouver. Îl serait oiseux de les citer. Et si SaintJean Bouche d'Or les ignore, c'est qu'il a négligé de s’informer — ce dont il a eu grand tort. Que votre cofrespondant veuille bien nous aider à entretenir cette bonne entente que nous désirons tous el qui existe malgré des divergences de vues, il fera ainsi, par votre organe, de l'excellente besogne et s’attirera la sympathie et la reconnaissance de tous. ns Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, avec nos remerciements pour l'insertion de cette mise au point, l'expression de nos sentiments distingués. Le Comité d'organisation du Congrès: MM. S. Smpey, J. ELIE, J. SoLORE, ANDRÉ CHARLES, GoiFFON, J. DULAAR, AGosint, GRANGE, BERNOUX Fils, SAUVINET, JOURNET, RACLOT: AMIS LECTEURS, Si vous posez, par lettre, une question au « COURRIER », joignez un timbre à 0.25. LENDEMAIN CE QUE NOUS POUVONS FAIRE LE JOUR MÊME ”: MORALETEÉ : Re ne es de LES FRÈRES DU IL S’'ASSURE a —— DE SUITE UN CINÉ ROMAN A SUCCÈS SILENCE Chez AUBERT