Le Courrier Cinématographique (Dec 1921)

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LE COURRIER CINÉMATOGRAPHIQUE 25 peinture, il doit être avant tout une expression saisissante de la psychologie : «Quand Faivre déjà malade sentses idées diminuer de puissance (se rapetisser, pourrait-on dire) et de générales se fixer sur un sujet ou un point — «Tout ceci n’est pas de l'esthétique mais un aboutissement logique de l'étude approfondie des caractères essentiels du décor et des personnages et des moyens susceptibles de leur donner leur pleine valeur. op Me GERMAINE DULAC particulier, je « décale » le personnage et à l'aide de caches, je diminue la portée de sa vision. « J'utilise ainsi le vitrail pour absorber davantage la vie intérieure de la pensée. « La synthèse peut et doit s'appliquer également au paysage: la vague est plus expressive que la portion large de l'horizon. « La mise en scène au studio n’est rien. Tout est dans le travail de la pensée préparatoire. «Ilest d'abord nécessaire de se bien pénétrer des réactions provoquées par le drame sur les diférents caractères des personnages afin de les éclairer suffisamment par leurs dominantes psychologiques dans le travail final de réalisation, » MARCEL YONNET.