Le Courrier Cinématographique (Aug 1922)

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14 LE COURRIER CINÉMATOGRAPHIQUE Cette jeune personne est vraiment charmante, et elle paraît posséder un « culot » qui ne sera pas sans lui être utile dans la vie. Mais il y a des correspondantes plus timides, et je demande pardon à Berthe Dagmar, l'interprète de Marie, les fauves et les hommes, d'insérer cette lettre déférente, qui n’a qu'un défaut, celui d’être ornée de quelques fautes d'orthographe. Lisez : Madame, J'ai lu un article vous concernant article qui a provoqué en moi une admiration si grande que je ne pourrai atteindre la fin. Les photographies qui étaient insérées dans le journal mon fait frémir ; de vous voir entre les pattes d'un Lion, luttant contre un ours, un serpent enroulé autour de vous et semblant vous serez bien fort dans ses vilains anneaux. J'ai appri l'accident dont vous avez été victime l'hiver dernier alors que vous tourniez Marie chez les fauves ; et il vous a fallu un bien grand courage pour lutter contre ce fauve qui était tout disposé à vous dévorez. Mais heureusement vous avez conservé votre saag-froid et votre courage ce qui vous «a sauvée. Madame J'ose vous demandez une de vos photographies, je serais si heureuse d'avoir ce souvenir de l'artiste que je préfère. Dans l'espoire d'une bonne réponse. Recevez Madame mes sentiments respectueux et admiratifs. ss Il y aura beaucoup à écrire sur ce sujet, qui, dèveloppé, amènerait l'indiscrète publication de lettres dont la lecture serait fort attrayante. Arrêtons-nous là, cependant, et ne soyons pas trop méchants pour ceux ou celles qui ont pour l'Art muet une admiration et un amour sincères et désintéressés. AUGUSTE NARDY. ROBERT JULIAT 24, RUE DE TRÉVISE, PARIS (9%) Téléph. : Bergère 38-36 Cinéopse : M. Osso et la Presse corporative « Sans vous, Messieurs, sans la presse corporative. nous ne pouvons rien. » Ainsi s'exprimait, coupe de champagne en main, devant un groupe de confrères invités à une présentation privée, le très accueillant M. Osso, directeur de la PARAMOUNT. Or, dans l'espace de quelques semaines, l'opinion de M. Osso s’est transformée; peut-être même regrette-t-il les paroles que nous avions rapportées dans notre précédent numéro. En effet, le sympathique chef de la publicité, M. Maurice Simon, qui s’étonnait ce soir-là que nous ne fussions pas encore venu solliciter ses faveurs, et nous faisait espérer une place dans le budget de publicité de la Paramounr, nous écrit : « Mon directeur et moi avions le plus grand désir de vous être agréables ; malheureusement les directives venues de plus loin, nous obligent à faire notre publicité sous une forme nouvelle. Il serait beaucoup trop long de m'étendre ladessus. « La nouvelle publicité de PARAMOUNT pour lu saison prochaine, consistera presque exclusivement en bulletins eten magazines, qui, par conséquent, feront double emploi avec les corporatifs déjà existants. » Voilà qui est net. M. Simon veut bien « espérer que nos relations n'en seront pas moins bonnes »; nous voulons lui en donner l'assurance : il suffira au Cinéopse d'ignorer la PArAMoUNT, comme la Paramouxr veut ignorer la presse professionnelle. Mais, ainsi que l'écrit notre confrère de La Borie, comment expliquer que les grosses firmes étrangères, habituées à faire dans leur pays beaucoup d’affaires, grâce à une coûteuse publicité dans les journaux corporatifs, se mettent subitement à distiller leur publicité au compte-goutte dès qu'elles créent un centre d'affaires en France ?.… LE MEILLEUR DES APPAREILS DE PROJECTION “LE VERDUN” Poste complet dernier modèle 1922 :: @ :: Poste Portatif pour l'Enseignement et la Petite Exploitation INSTALLATION DE SALLES — ENTRETIEN DE CABINES — LOCATION