We use Optical Character Recognition (OCR) during our scanning and processing workflow to make the content of each page searchable. You can view the automatically generated text below as well as copy and paste individual pieces of text to quote in your own work.
Text recognition is never 100% accurate. Many parts of the scanned page may not be reflected in the OCR text output, including: images, page layout, certain fonts or handwriting.
6 LE COURRIER CINÉMATOGRAPHIQUE
faut le nommer, seront donc parmi les privilégiés de l'exploitation. Il est même certain, lorsque cette initiative intelligente sera connue, qu'ils seront légion.
Il ne leur en coûtera rien d'essayer. Quand ils auront fait un simple essai, ils ne voudront plus entendre parler d’autres formules d'exploitation.
Au surplus, M. Dupin sera le correspondant naturel, à Paris, de tous ses associés. Par extension, il pourra se charger de leurs multiples intérêts commerciaux.
Le Courrier est particulièrement heureux de porter le fait à la connaissance de ses nombreux lecteurs. Il a l'impression très nette, une fois de plus, de leur être utile et de rester le journal pratique qu'il 4 toujours été.
L'époque est admirablement choisie. Pendant l’entr'acte forcé de la belle saison, où tous les contrats prennent fin, nos amis auront tout loisir d’étudier la question, de se documenter auprès de M. Dupin, et de lui envoyer leur adhésion.
D’ailleurs, nos lecteurs trouveront la semaine prochaine dans notre journal une circulaire détaillée qui leur donnera toute documentation nécessaire. Qu'ils l'examinent avec attention et intérêt; qu'ils se mettent aussitôt en relation avec son auteur pour faire en octobre une brillante reprise. Cette formule est celle de l'avenir. Elle sera adoptée par le plus grand nombre et ils s’en trouveront bien.
Charles LE FRAPER.
————_—_—_—_——…—…——……—…—…—…—…—…—…—.—— CCC TETE EEE CELL TELE EEEO TT EOOTEELELEE DEUTETOET TETE CUT COLE TE TETECTETEOTT UNE E TETE TOEUU TE TELE EITETEUTE TE ITTTTETTUUTE ———————_—_—…—…—…—…—.—…—…—…—…—…"… —"…—"…—…—.—
Les Nouvelles Taxes et leur répercussion sur la Taxe Municipale
De nombreuses lettres nous parviennent de divers côtés, nous demandant des renseignements sur la perception de la taxe municipale que des villes ou des communes n'ont pas réduite, après le vote de la nouvelle loi.
D —
s : it, À CE Voici les renseignements que nous fournit: à
sujet, le Ministère des Finances : ”. pf
n nt
ce que l’on croit généralement, que la taxe mur cipale ne doit pas être supérieure à 50 0/ taxe d'Etat.
Une circulaire ministérielle invite bien les Pis fets à ne pas autoriser les municipalités, sauf die des cas exceptionnels, à dépasser le taux de 50° de la taxe d'Etat, mais les taxes fixées par aff” ont force de loi et sont applicables, quel 4 soit le taux, si l'arrêté est antérieur au vote loi du 1° juillet 1923.
Par suite, la réduction de la taxe d'Etat traîne pas ipso facto une diminution corresP0 dante de la taxe municipale. at
Quant aux communes ou villes qui n'ont pe encore la taxe municipale, si demain elles ‘4 laient l’instituer, les préfets, conformément to circulaire ministérielle, ne devraient les au ja riser que dans la mesure du taux de 50 0,0 de taxe d'Etat, sauf pour des cas exceptionnels:
En résumé, nos collègues doivent continuer payer les taxes fixées par leurs municipalités
Le seul remède, pour le moment, consiste faire des démarches personnelles auprès de jen édiles. ê
L'instant est propice, car les élections appf chent. Qu'ils en profitent.
D'autre part, il appartient aux organisa cinématographiques de faire inscrire dans Ja une disposition imitant le taux de la taxe mt cipale, et même d'en poursuivre la suppressio! Pr
C'est, en ce qui nous concerne, le but ** lequel vont tendre tous nos efforts.
F. DELAUNEil of Président du Syndicat Natio!
12
ue
p'ef
tio!® joi!
* + x
dd N.B.— Nous recevons à l'instant, trop ‘4 pour l’insérer, une lettre de l’'Administratiol
Finances, nous confirmant ce qui précède.
SR SRE UE Re M A ee Qi. sit Léo) e "5; EE
CONCESSIONS RÉGIONALES de Film
aux conditions les plus avantageuses
Établissements L. SUTTG, PARIS, 23, rue Pasquier (8°) Louvre 312
GP or PI M