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Est 2, La source du mal
Ces faits ne doivent pas trop nous étonner. Nous en avons du moins, une explication. Le Juif est le maître actuel du cinéma. Il l’est en Angleterre et en France.1 Il l’est surtout aux États-Unis, d’où viennent la plupart des films représentés au Canada. Quatre-vingt-cinq pour cent des entreprises cinématographiques lui appartiennent.? La même situation existe pour les propriétaires de cinémas. Un journal publiait récemment la liste de ceux de Montréal. Cinq ou six seulement sont Canadiens. Presque tous les autres — une cinquantaine — portent des noms à consonance israélite. 3
Or, pour le Juif, l’or prime tout. Il sait qu’à étaler ainsi de la pourriture, il allèchera les foules et les fera se ruer vers l’égoût qu'il exploite. A ses yeux, cela seul compte.
CONCLUSION
Ne nous flattons donc pas que les producteurs de films et les propriétaires de théâtres amélioreront volontiers leur marchandise. Si, pour éviter les foudres de la censure, ils la fardent et la couvrent d’un certain voile, elle restera toujours faisandée et profondément corruptrice.
Ce n’est pas de ces aliments que se nourrit un Canadien français. Les parents qui les offrent ou les permettent à leurs enfants peuvent remonter dans leur passé, si humble soit-il. Ils n’y verront pas l’ombre même de telles ordures, Ils sont de trop noble race morale pour en avoir été nourris dans leur enfance. Ni leur père ni leur mère n’auraient
1. Le Cinéma français aux mains des Juifs. Article paru dans /a Libre Parole de Paris, le 28 avril 1920.
2. M. Harry Bernard a affirmé et amplement prouvé ce fait dans une remarquable étude publiée par l’Action française de Montréal en août 1924. I1 y montre aussi le but de déchristianisation que poursuit le cinéma juif et combien au point de vue religieux et national il peut nous être néfaste. Nous recommandons fortement la lecture de ces pages.
3. Le Devoir, 14 janvier 1927.