La Cinématographie française (May - Aug 1937)

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IV fXXXXXYyïTTXgXTXXXITSX^ CINE R/VPHIE SE rxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxs L'OCTAVE ET LE DÉCIBEL N = Ig w2 ou 10 N RÉSUMÉ SUCCINCT D'UNE ÉTUDE DE R. VERMEULEN PARUE DANS LA REVUE TECHNIQUE PHILIPS, FÉVRIER 1937 L'auteur étudie dans cette communication fort complète différentes données de la technique sonore, surtout en ce qui concerne l'emploi des mesures logarithmiques l'Octave et le Décibel. En prenant comme nombre de base le chiffre 2, on trouve comme valeur I d'un intervalle, avec l'octave comme unité fl fl ! _ 2 log. = 3,320 10 log. — f2 f2 La plus usuelle manière de subdiviser les instruments à clavier fixe réside dans l'obligation, où on est dans la pratique, de n'employer qu'un nombre restreint de touches.' Dans ce système les intervalles principaux sont portés à l'échelle db +20 25 50 m 200 -5 -4 -3 -2 500 1000 2000 5000 10000 H 2 -I 0 + 1 +2 + 3 + 4 octaaf Fig. A logarithmique en partant d'un son fondamental « do ». La division de l'octave en 12 parties égales rend les intervalles principaux de façon satisfaisante et entre « mi et fa et entre la et si » s'intercalent de nouveaux tons, une telle gamme est dite diatonique tempérée, son avantage sur celle dite naturelle est que les écarts sur les intervalles d'un son restent toujours égaux quel que soit le son qui ait servi de base. Les orchestres s'accordent sur le la dont la fréquence est prise à 435 périodes alors nue la « notation physique est faite sur 430,5, dans ce cas, il y a lieu de remarquer que le rfor', a la fréquence 1024, soit 10 octaves au-dessus de une période. Les américains emploient comme fondamental un son de 1.000 périodes. L'auteur publie à la page 49 un tableau très complet de l'étendue sonore des divers instruments musicaux connus, à cordes, à vent, ou métalliques de choc (cymbales), cuivre, voix chantées, consonnes, voyelles, diphtongues. Le tableau est établi suivant les deux bases : échelle physique, échelle internationale. Pour les instruments de musique l'auteur a indiqué l'étendue du domaine des fréquences du son fondamental particulier à chaque instrument, et pour certains d'entre eux l'étendue des sons harmoniques correspondant. Pour la voie humaine il a indiqué les fréquences articulantes. On voit aussi la progression de l'étendue sonore de la voix d'un enfant 0 an 345 à 435, 5 ans 300 à 480, 15 ans 213 à 690, alors que le même personnage devenu ténor aura une !/>) 1 n s V / \ / \ A , —^ — i 2000 4000 6000 8000 10000 12000 14000 Hz Wi Wi Le Décibel mesure de pratique courante est donc la différence en niveau entre deux puissances ou intensités. Il y a n décibels lorsqu'on a : w2 w" n N = 10 1g ou = 10 w, w, 10 Quant au Néper une différence en niveau de deux amplitudes vaut M népers lorsque: Fig. B voix qui s'étendra de 120 à 490 et en mezzoso^rano de 218 à environ 800. Le système du Bel est basé sur le choix du système logarithmique de Briggs de base 10, pour le Néper la base e est de 2,718, ces deux systèmes différent surtout dans leur application. Le Bel doit servir à la mesure des énergies ou des puissances, le Néper par contre est utilisé pour la mesure des amplitudes, pression acoustique, vitesse des particules d'air, des courants électriques, tensions. Vermeulen donne page 51 un tableau des ranports d'amplitude entre népers, décibels et rapports d'intensité. L'amplitude étant comprise entre 1 et 10L ce qui donne pour le maximum : 2,3 néper,'; 20 d.c.b., 100 intensité. |j L'écart en niveau de deux puissances ouf intensités est de X. Bels, lorsque on a : '• M Ln ou — eM aj a, Ces deux définitions permettent d'exprimer en bels ou décibels (10""" partie) la différence en niveau de 2 puissances ou énergie, tandis que la différence en tensions ou vitesses s'exprimera en Népers. Dans le calcul des différence de niveau i, les vitesses v, les surpressions p, sont utilisables à la condition que la résistance de 2 puissances, les tensions e, les courants du récepteur soit la même dans les deux cas. Dans ce cas le passage des népers au décibels peut se faire sur la base. 1 d.c.b. = 0,115 néper; 1 néper = 8,7 d. c.b. Loe2 — 0,3 et 1 d.c.b. correspondant à une augmentation énergétique de 25 %, on peut facilement déterminer le rapport des intensités pour n décibel, Décibels o Rapport 1 1 2 3 4 5 6 7 8 9 1,26 1,6 V 2.5 3,2 40 50 6.3 7,9 10 10 Pour le rapport des amplitudes, on prend le nombre correspondant à la moitié de la valeur en d.c.b. L'intensité d'un haut-parleur donnée par exemple pour 80 d.c.b. ne signifie quelque chose que si on spécifie quelle est l'intensité utilisée comme niveau zéro, ainsi que la distance à laquelle cette intensité a été déterminée. L'indication d'intensité ci-dessus peut signifier : l'intensité sur l'axe du hautparleur à 2 mètres de distance est de 80 d.c.b. au-dessus de 10,r> watts/cm2; ou encore, que la puissance totale du haut-parleur considérée est de 80 d.c.b. au-dessus de 1 watt. Aux Etats-Unis le niveau zéro est à une intensité de 10,c watts erm; ce qui est voisin du seuil d'audibilité. en Allemagne le niveau d'intensité de 70 d.c.b. correspond à la pression acoustique de dyne c/m2 dans une onde plane. Le niveau zéro correspond a une pression égale à 0.32. 103 dvne c/nr et une intensité de 2,5.1 0ie watt c/m2. Il est comme on voit très, regrettable que les physiciens acousticiens n'aient pu encore se mettre d'accord sur la standardisation de ces mesures. A la page 53 de l'opuscule, l'auteur a fait figurer un tableau des courbes d'inten FOURNITURES GENERALES CINEMATOGRAPHIQUES E. STENGEL Téléphone! BOTZARIS 19-26 Chèques Postaux 396.38 11-13. 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