La Cinématographie Française (1938)

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18 ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ cK"ifePHiE mxxxxmmrxzxTTTTTT ATTENTION... AUX ÉTOUFFOIRSl II peut se produire une rayure légèrement ondulée avec des passages plus profondément gravés qui, dus à la tension irrégulière du déroulement ou du dandinement d'une bobine voilée : — Si les rouleaux sont sales et ne tournent pas librement, il faut les démonter fréquemment pour enlever les poussières qui se déposent dans le logement de ces galets et les empêchent de tourner. — Une vis a pu tomber d’une bobine se coincer à l'entrée de l’étouffoir ou simplement bloquer un galet. Une particule de film a pu se détacher d'une amorce de fin déchirée ou pliée et se coincer à l’entrée de l’étouffoir, obligeant la bande à porter au fond de l'évidement du galet. Pour éviter ce danger, maintenir en bon état les amorces de fin, les remplacer dès qu’elles sont pliées ou déchirées. Au moment du réenroulement, éviter de prendre l'extrémité de l’amorce dans la fente du noyau, la bande tient aussi bien après un tour à la main, et c’est un entretien de supprimé. — Un dépôt de saleté ou d'émulsion a pu se produire dans l’étouffoir après le passage d’un film neuf ou sale. Bien surveiller les glissières ou les galets du coulo ir-étouffo i r. Se méfier des rouleaux nickelés, dont le nickel peut s’arracher par plaque à la suite d’un choc. L’Opérateur, v; , = — ... y La Fédération ouvrière du Spectacle demande la Révision de la Convention collective de travail des Spectacles de la Région Parisienne La Fédération du Spectacle et les différents Syndicats de Travailleurs du Spectacle demandent la révision de la Convention collective, issue de l’arbitrage Mistler (15 avril 1937). Au cours d'une séance qui s’est tenue jeudi 24 février au Ministère du Travail et à laquelle assistaient du côté patronal les représentants des Théâtres, Cinémas, MusicHalls, Concerts, Bals, etc., Raymond Lussiez, au nom de la Délégation patronale, a indiqué ([lie l’article 46 de la Convention collective précisait nettement que « à défaut de dénonciation, elle (la Convention) se renouvellera par tacite reconduction pour une nouvelle période de même durée aux mêmes conditions de travaux et de traitements, salaires et indemnités ». M. R. Lussiez a indiqué que dans ces conditions la Délégation patronale ne pouvait envisager une révision qui serait en contradiction absolue avec les termes mêmes de la Convention régissant les rapports des employeurs et des employés du Spectacle de la Région parisienne. Au nom des organisations ouvrières, M. Cebron a présenté un certain nombre d’arguments susceptibles, d’après lui, d’établir le bien-fondé de la demande de révision présentée par ses mandants. La Délégation patronale, prenant acte de ces déclarations, a indiqué que, dans son souci constant de maintenir une heureuse collaboration entre les Associations ouvrières et patronales, elle allait examiner l’argumentation développée par M. Cebron et qu’elle rendrait à ce dernier une prompte réponse, après avoir procédé aux consultations nécessaires. Façade des Variétés à Libourne pour Les Perles de la Couronne LÉGIONS D’HONNEUR a été présenté en séance spéciale à M. Le Beau, Gouverneur général de l’Algérie Il vient d’être organisé à Alger, avec un plein succès, une présentation spéciale aux autorités gouvernementales locales du beau film Légions d’Honneur, Grand Prix du Cinéma Français. Le producteur de Légions d' Honneur a tenu à offrir la primeur de cette réalisation, distribuée en Afrique du Nord par Islyfilm, à M. G. Le Beau, Gouverneur général de l’Algérie, pour le remercier de tous les importants et efficaces concours mis à sa disposition lors de la réalisation de ce film dans le Tassili des Ajjers. Le chef de la colonie s’est montré très touché de cette attention et a exprimé sa vive satisfaction quant à la tenue et la qualité de cette production. Les généraux Pénès et de SaintMaurice, l’Amiral Motet, M. Grégoire, secrétaire général du Gouvernement général de l’Algérie, le Commandant de Vitrol, M. Rivière, chef de cabinet, le colonel Rignot, ainsi que d’autres importantes personnalités civiles et militaires assistaient à cette séance toute officielle. Paul Saffar. Façade du Pathé Palace à Lyon où Regain a obtenu un succès complet et qui compte parmi les plus grands films qui aient été présentes dans la région lyonnaise L’ACTION FRANÇAISE A LUXEMBO U RG Une période de grande intensité se manifeste dans le groupe des théâtres cinématographiques de la ville de Luxembourg, qui, par voie de conséquence, rebondit dans les centres moins importants du pays. C’est que les films français s’imposent de plus en plus au public e-t ils jouissent d’une excellente réputation. Il est vrai que nos directeurs ne reculent devant aucun frais et sont à l’affût des beaux films français, dont le nombre se multiplie de plus en plus. Nous devons donc féliciter nos exploitants et le public luxembourgeois qui encouragent l’action française dans le GrandDuché, ce qui permet de lutter avantageusement contre les films allemands dans notre pays bilingue. Une chose curieuse qui mérite d’être relevée à Luxembourg : l’absence de tout affichage aux coins des rues (sauf aux entrées et halls des établissements). Par eonIre, la propagande s’effectue le vendredi matin par la distribution postale de jolis prospectus dans toutes les maisons, ce qui crée une atmosphère plus élégante et plus éducative que les placards au caractère forain qui détruisent l’illusion. Voici, pour terminer, la liste de films français que M. Reckinger, directeur du Capitole, annonce dans sa salle : Les Bois du sport. Les Deux Gosses, Le Mensonge de Nina Petrovna, l’Affaire du Courrier de Lyon, Le Fauteuil 47, La Citadelle du silence, Gueule d’ Amour, La Fille de la Madelon, ainsi qu’une série de films Paramount. — N. Liez. ♦ A TOULOUSE Sous l’impulsion de MM. Siritzky, actuels propriétaires des « Variétés » et de son actif directeur M. Victor Perrot, cette Salle fait, cette saison, des efforts dignes de tous éloges, pour ne présenter à sa clientèle que des programmes de choix et de haute tenue artistique. Après : Feu, qui a réalisé, en une semaine, plus de 106.000 francs ; La Chaste Suzanne, plus de 85.000 francs ; Ignace, en deux semaines, plus de 223.000 francs ; Un Carnet de bal, en deux semaines, plus de 188.000 francs ; Le Fauteuil 47, plus de 75.000 francs ; L’Habit Vert, en deux semaines, plus de 171.000 francs ; La Grande Illusion, en deux semaines, plus de 212.000 francs ; Regain, en deux semaines, plus de 158.000 francs ; Les Rois du Sport, en deux semaines, plus de 165.000 francs ; Naples au baiser de feu, en deux semaines, plus de 137.000 francs ; Désiré, en une semaine, plus de 95.000 fr. ; Quadrille, en une semaine, plus de 71.000 francs. Nous allons voir bientôt en exclusivités : Ramuntcho, Mollenard et la Marseillaise. Roger Bruguière. ♦ EN AFRIQUE DU NORD Tiaret, ville du département d’Oran, comprendra sous peu une salle de films, le « Cinéma-Théâtre Scala », dirigé par M. Egon Hecht. — A Djidjelli, le cinéma « Variétés » a fermé ses portes, cependant que s’érige rue de Marsan, dans ce même centre, le « Rio Cinéma », dont Mme Ch. Scordine est la propriétaire. M. Connesson en assurera la programmation. — « Ok Cinéma », telle est la dénomination nouvelle du cinéma « Odéon » d’Oran, dont MM. Benamou et Josten sont les directeurs ,