La Cinématographie Française (1938)

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xu • ' ,Ær lxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx? CINEÆ}ttIË£$PHIE exxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx: CHARLES OLIVERES MATÉRIEL DE PROJECTION 72, Avenue Kléber, 72 PARIS (XVIe) Téléphone : KLÉBER 96-40 Groupe convertisseur DELTA-SUPREX pour l'alimentation sans résistances des arcs haute intensité Lanterne automatique ASHCRAFT Miroirs elliptiques américains F/S pour Magnarc, Strong, Brenkert, Roume et Martinet, etc... Charbons CONRADTY nouvelles qualités pour alternatif et continu Transformateurs d’arc Souffleries Lampes à miroir avec avance automatique Prix et Renseignements sur demande reçu la lumière diffuse, la lecture deviendra incorrecte pour le cas de la projection. En outre, les projecteurs varient entre eux et l'effet de densité d’aucun type de projecteurs ne peut être standardisé. Cet effet a comme résultat de changer la courbe caractéristique des densités. La densité effective d’un positif tiré par contact d’un négatif est très près de la réelle densité diffuse. Supposons que nous ayons un film positif dans la porte du projecteur dont nous connaissons la densité dans les conditions de la projection. Cette densité sera-t-elle transmise à l’écran ? Transmission de la densité Brillance sur l’écran La première chose à considérer est l’effet de la lumière diffuse — perdue (pii tombe sur l’écran. Il est démontré que plus cette lumière « perdue » vient frapper l’écran, moins la densité de la projection est grande, et moins il y a de contrastes. La fumée provenant des cigarettes des spectateurs a également l’effet, en traversant le faisceau de projection, de diffuser la lumière, ce cpii diminue le contraste de la photographie. On sait que l’unité de flux lumineux — le lumen — a été défini de la sorte : c’est la quantité de lumière émise par l’unité d’éclairage — la bougie internationale dans un angle solide d’un radian. Mais la lumière émise par le projecteur ne peut mesurer la brillance de l’écran, celui-ci étant à une distance variable du projecteur. La quantité de lumière reçue par l’écran peut être exprimée par des unités différentes : lux, phots, selon que la distance du projecteur à l’écran est exprimée en mètres ou centimètres. Ce qui importe, c’est la brillance de l’écran : celle-ci peut être exprimée en bougies par unité de surface, par m2 ou cm2. L’unité de brillance la plus communément utilisée est le lambert, c’est-à-dire la brillance d’une surface de 1 cm2 réfléchissant un flux de 1 lumen. Un écran diffusant parfaitement la lumière paraîtra également brillant de quelque côté qu’on le regarde. La plupart des écrans en usage ne sont pas aussi parfaits, et leur brillance semble différente, selon les points où. de la salle, on se place pour les regarder. Fonction de l’œil Arrivons maintenant à la question de l'œil lui-même. L’œil ramasse de n’importe quel point de l’écran la lumière émise comprise dans un tout petit angle solide. Cet angle sera de plus en plus petit au fur et à mesure que l’on s’éloignera de l’écran, tandis que la quantité de lumière ramassée par l’œil varie avec I le carré de la distance : — D2 Mais le format de l’image de l’écran sur la rétine varie aussi de la même façon. Plus on s’éloignera de l’écran, moins l’œil recevra de lumière, mais aussi plus le total de lumière reçue par unité de surface sur la rétine sera constante. L’œil a d'autres propriétés : la principale est de s’adapter à l’obscurité. Après une période de 15 à 20 minutes dans le noir, l’œil atteint un stade de très grande sensibilité de perception. Il ne faut pas oublier que cette accommodation est régie non pas par la quantité de lumière qui tombe sur l’écran, mais par la quantité de lumière que reçoit l’œil. Ainsi, si dans un cinéma, on regarde un écran très brillant, l’œil s’accommodera néanmoins à l’obscurité qui entoure l’écran. C’est là une raison supplémentaire pour éviter dans les cinémas toute lumière pouvant venir frapper l’œil des spectateurs. Les Cinémas de l’Office Chérifien des Phosphates Le phosphate est une des principales richesses du Maroc, à la mise en valeur de laquelle préside l’O. C. P., c’est-à-dire l’Office Chérifien des Phosphates. Khouribga et sa cadette, Louis-Gentil, sont les deux villes phosphatières du Maroc, et comme de juste, l’O. C. P. les a dotées chacune d’un cinéma. Celui de Khouribga avait été endommagé il y a quelques mois par un incendie. Il vient d’être entièrement reconstruit et modernisé, et à partir d’octobre sera programmé par les soins de Marocfilms, comme celui de Louis-Gentil. — Ch. P. \ L’Apollo l’une des plus grandes salles d exclusivité de Paris, vient d être équipée avec des projecteurs BâUCr^ce qui confirme une fois de plus la renommée indiscutable de ce matériel de C|K*elll<le ClâSS6* Les établissements L. ROMBOUTS CONCESSIONNAIRES EXCLUSIFS ltt, RUE CHORON, PARIS <9e> — Téléphone : TRUdaine 00-91 , . , =i ■ J