La Cinématographie Française (1938)

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12 ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ CIIME FR R/\PHIE SE ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ ne faut pas confondre le barème Grande Région Parisienne avec le barème Petite Région Parisienne que nous avons également publié, dans sa prochaine modification, dans notre numéro 1.026 du 1" juillet 1938, page 9. Ce sont deux tarifs différents, adaptés naturellement aux régions différentes auxquels ils sont destinés. « Et les autres régions ? avonsnous demandé à M. de Venloo qui préside avec une remarquable prudence au bon fonctionnement de la Commission Mixte. « Mon cher, chaque chose en son temps. Nous avons déjà fort à faire pour porter aide, sans erreurs et sans secousses, à 29 nouveaux centres d’administrés. « D’ailleurs, il faut bien le spécifier : on ne peut demander tout à Paris. Les cas sont particuliers à chaque ville, non seulement pour ce qui concerne les prix de base, mais aussi pour l’échelonnement des exclusivités et des visions successives. « Ce sont les directeurs et les distributeurs, dans chaque région, Nord, Est, Sud-Ouest, Sud-Est et Midi, qui doivent chercher et trouver leurs éléments d’accord. « Si l’on a besoin de mon expérience acquise, je suis tout disposé à donner mes conseils. Mais il faut, d’abord, que les gens du métier s’entendent sur place. « D’ailleurs le barème Grande Région Parisienne, qui a été longuement examiné et discuté, est une base qui peut s’adapter à la plupart cfes régions. Le barème de Paris peut servir de base, d’autre part, à des grandes villes comme Marseille, Nice, Lyon, Bordeaux, Toulouse. » M. de Venloo parle fort sagement. P. -A. Harié. + Le Bureau des Industries Techniques La Chambre syndicale des Industries Techniques de la cinématographie, dans sa réunion du Conseil d’administration du 15 juin 1938, complétée par celle du 22 juin 1938, a procédé à l’élection des membres de son bureau : Xavier Revenaz, président ; Marc Lauer, vice-président ; Charles de Poix, vice-pré. sident ; Henry Chollat, trésorier ; Marcel Chavet, trésorier-adjoint. Le Gouvernement des Etats-Unis poursuit les Grandes Compagnies Cinématographiques Américaines Les informations que nous avions publiées dans le numéro de La Cinématographie Française du 24 juin dernier au sujet des mesures que le gouvernement américain envisageait pour mettre fin au soi-disant « trust » formé par les huit grandes compagnies cinématographies, se trouvent confirmées. Les huit compagnies en question viennent, en effet, d’être l’objet de poursuites de la part du département de la justice des EtatsUnis, conformément à la loi contre les trusts. Le gouvernement fédéral voudrait promulguer un décret obligeant les dites compagnies à abandonner, soil leurs circuits de salles, soit la production et la distribution des films. « Le 'contrôle actuel de théâtres cinématographiques par les grandes compagnies de production constitue un acte de monopole », comporte l’acte d’accusation. Cette action du gouvernement fédéral contre les huit « Major Gompanies » du cinéma américain est la suite attendue de la campagne menée depuis des années par les exploitants indépendants contre la location en bloc et à l’aveugle. L’assemblée ordinaire du Pathé-Consortium-Cinema Réunis le 20 juillet en assemblée ordinaire, les actionnaires de Pathé Consortium Cinéma ont approuvé les comptes de l’exercice 1937 faisant apparaître une perte de 2.144.156 fr. portant la perte totale à 3 millions 805.742 fr. Ce résultat est imputable, principalement aux provisions pour pertes envisagées sur avances à divers producteurs et dommages-intérêts éventuels sur l’exploitation des films pris en distribution par la Société en 1937 ; les pertes sont également dues à l’insuffisance des conditions de distribution faites par Pathé-Cinéma pour le compartiment rural. L’assemblée a ratifié la nomination comme administrateurs de MM. Liffran Remauge et Verdet-Kléber. ♦ La Société Métropa-Film nous communique: « En réponse à l’avis publié par la Société SODICAN dans « La Cinématographie Française » du 24 juin et à la page de publicité dans laquelle elle invoque un droit de priorité, nous sommes dans l’obligation, pour 'couper court à toute fausse interprétation, de faire connaître qu’après avoiî soumis à notre avocat conseil les prétentions invoquées à tort par Sodican, nous sommes dans l’obligation de faire une rectifieatidh et une protestation formelle : « La Société Sodican n’a pas droit au fdm en question. » Pierre Autre. Tino Rossi et Michèle Alfa dans une scène de Lumières de Paris le seul film de Tino Rossi cette année