La Cinématographie Française (1939)

♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦-♦♦ RAPHIE ISE, 25 □ Barreaux Blancs Drame de l’enfance doublé (G) Réalisateur : Sam Wood. Interprètes : Freddie Bartholomew, Michel) Rooney, Charles Coburn, Herbert Mnndin, Gale Sondergaard. Edition : Metro-Goldwyn-Mayer. Postsynchronisé aux studios Metro-Goldwyn-Mayer cle Paris. Le scénario, quelque peu na'if et légèrement confus à son début, montre un orphelin élevé par des -escrocs, iqui le ifonl passer pour le fils d’un authentique pair d’Angleterre. Ces aventuriers arrêtés, le jeune Geoffroy est envoyé à RussellCotes pour y apprendre le métier de marin. D’abord réfractaire à la discipline, il deviendra un excellent matelot grâce à l’influence de ses maîtres et d’un de ses camarades. Compromis à nouveau par les escrocs, qui ont recouvré la liberté, son innocence pourra être établie juste à temps pour qu’il embarque comme matelot. Les deux jeunes vedettes du film, Freddie Bartholomew et Miekey Rooney, jouent avec une sincérité parfaite au milieu de garçons de leur âge, tous très naturels; les autres interprètes n’ont que des rôles très effacés. C’est un sujet qui plaira surtout aux enfants, qui s’intéresseront certainement aux aventures d’un groupe de garçons dans le cadre d’une école exceptionnellement sympathique. Un très bon doublage conserve aux jeunes voix toute leur fraîcheur. rrxm ciine FR ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ Lettre d'introduction Comédie dramatique doublée (G) Origine : Américaine. Réalisation : John M. Stahl. Interprétation : Andrea Leeds, Adolphe Menjou, Edgar Bergen et Richard Mac Carthy, Edition : Universal Films. Lettre d' Introduction est un film excellent à lous les points de vue, qui débute comme une production sentimentale et humoristique, qui se poursuit comme une comédie de caractère et qui se termine de la façon la plus dramatique par la mort de l’un des principaux personnages de l’histoire. Mais ces -différentes sautes de « climat » ne nuisent aucunement à l’ensemble de l’œuvre qui garde constamment cette unité de ton, ce lien entre les divers épisodes, cet habileté de dosage d’humour et d’émotion qui permettent toujours de reconnaître les films de classe. L’histoire est celle d’un grand acteur à l’apogée de sa gloire qui se découvre un jour une fille, Kay, qu’il ne se connaissait pas. John est ravi de cette paternité, mais, par vanité, il n’ose pas présenter Kay comme sa fille. Le monde jase et Bery, le fiancé de Kay, se détourne de la jeune fille. Et un soir, après diverses péripéties dramatiques, John est grièvement blessé par un taxi et il meurt sans avoir pu révéler aux journalistes l’identité de Kay, comme il en avait eu la tardive intention. La jeune fille sc taira, mais elle dévoilera cependant la vérité à son fiancé. Ce film de tout premier ordre est animé par Adolphe Menjou, qui est excellent, par une jeune actrice pleine de sensibilité, Andrea Leeds, et par le ventriloque Edgar Bergen et ses mannequins Mac Carthy et Mortimer. Maurice Baquet dans Place de la Concorde îndieF iGTm\ BÊruBtnw msçasR. télégramme. E T 0 I L F:l L M L V 0 N POSTES, TÉLÉGIUPiSES ET T0.t;t«8, J'E'nî nc.\ soumis fi ancu ntfrespi mmm. LElWf piikta dfliuet m rfefei à A DÉCHIRER =.1539 TOULON 5 8 1 0 1 2 0 1 1 1 6 4 5 TRES HEUREUX .PRESENTER REVOLTE CLIENTELE TOULON ‘IMMENSE SUCCES AVONS DEPASSE CENTMlLLE FRANCS S I XJ E ME JOUR F EL I C I T A T'I ON S AUX REALISATEURS = UMMKUIUUUUI CASINO ««» UUMMamw PREMIER RÉSULTAT EN PROVINCE DU GRAND FILM “Le Révolté 9* Production C. I. C. C.