La Cinématographie Française (1939)

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LE PETIT FORMAT XIX De haut en bas : (1) Stand Ericsson.— (2) Stand de l’O. G. C. F. — (3) MM. Cantarel, de Cerjat.Dumillac, collaborateurs des maisons françaises Debrie et Ericsson et notre collaborateur Jean Turquan. (4) Le Stand Emel. De gauche à droite : (1) Stand Kodak Pathé. — (2) Stand Eurnig. — (3) Stand Agfa. ( Reportage photographique Pierre Autré) teurs muets 9 mm. 5, le junior et le senior. Ce dernier présente une grande simplicité. Le corps est en aluminium; Fntraînement se fait par un mécanisme qui comprend deux débiteurs et une double griffe. Il utilise une lampe de 250 ou de 400 watts; objectif interchangeable de 40 mm. de foyer. Voigtlânder expose une gamme de trois caméras Nizo : 8 mm., 9 mm. 5 et 10 mm., et deux projecteurs Nizo muets, un 8 mm. et un tous formats. La caméra Nizo 16 mm. est dotée de tous les dispositifs indispensables : marche arrière, déclenchement automatique et à distance. Un viseur opti que du type lunette de Galilée donne une image précise et claire. Le moteur, très puissant, donne six vitesses de 8, 16, 24, 32, 48 images seconde. Un compteur donne le métrage de film exposé. Emel expose cinq modèles dont trois nouveaux. Ce ne sont que des caméras 8 mm. La nouveauté consiste en un viseur télescopique donnant tous les champs des objectifs, qui est monté de manière à permettre la correction du parallaxe, de l’infini jusqu’à 26 centimètres (à cette distance, on peut cadrer un carton 6 1/2-9). Ce viseur n'existe que sur les modèles à tourelle. Emel a un modèle de caméra à trois vitesses et une à cinq vitesses qui possède, en plus, un dispositif image par image pour 1? dessin animé. Citons, enfin, que la maison Fred Jeannot expose un matériel cinématographique varié : une petite lampe à arc de 80-100 ampères adaptable à tous projecteurs de film étroit, un ensemble d'enregistrement de disques et les enrouleuses et colleuses. Des maisons très importantes n'ont pas de stand au Salon. Telle Pathé-Cinéma. Nos lecteurs connaissent bien les trois excellents projecteurs de cette firme, le 16 mm., le super 16 mm. et le 17 mm. 5 que nous avons décrits antérieurement. De même, les marques américaines Bell Howell et Ampro ne sont pas représentées; la description de leurs projecteurs de précision 16 mm. a été faite dans nos colonnes précédemment. Jean Turquan. SITION £T DU CINEMA qu’une gamme de projecteurs muets 16 mm., 9 mm. 5 et 8 mm. En 16 mm. deux modèles l’un très bon marché, l’autre plus cher. Paillard présente une nouveauté, son Paillard G sonore, trifilm en muet, bifilm en sonore (16 mm. et 9 mm. 5). Il comprend trois groupes d’organes : Le projecteur avec son bras sonore ; L’ampli, servant de socle pour le projecteur; Le haut-parleur. Le projecteur utilisé dans le modèle sonore est le même, à quelques organes près, que le projecteur muet. L’exécution normale comprend l’obturateur 2-4 obturations étant donné son utilisation à la cadence de 24 images pour la projection sonore, n’assurant aucune gène de scintillement avec deux obturations par image. Les autres caractères du projecteur muet subsistent, c’est-à-dire arrêt sur l’image, marche arrière pour film muet, rebobinage au moteur. La mesure de vitesse par le moyen stroboscopique, c’est-à-dire utilisant les variations de lumière provenant de la fréquence du coulant alternatif éclairant un disque, est un moyen de mesure très précis. Ditmar présente des 8 mm., 9 mm. 5 et 16 mm. muets, tous bifilms. Il nous a montré son innovation, la sonorisation du projecteur, même en 8 mm.; c’est un bloc système sonore ajouté au projecteur (dérouleur continu de 30 mètres avec arrêt automatique en cas de rupture du film). Il expose, en outre, ses caméras à posemètre optique, dans les trois formats; matériel signalé l’année dernière. Ciné-Gel. — Voici un nouveau constructeur qui présente trois projecteurs muets; en monofilm ; un 8 mm., un 9 mm. 5 et un 16 mm.; en bifilm : un 9 mm. 5 et un 16 mm. Ces projecteurs sont d’une conception mécanique remarquable par leur simplicité; de grande luminosité grâce au condensateur de 40 min., ils assurent un rendement maximum de la lampe employée Il en existe trois modèles. Le modèle courant est équipé avec un objectif Roussel. L’entraînement du film est assuré par un débiteur continu supérieur et un débiteur inférieur. Une double griffe en acier trempé sur excentrique permet, au passage du film, une grande sûreté et la stabilité de l’image. Le couloir est facilement accessible, une seule vis à dévisser; cet appareil comporte un repère de position de griffe. La lampe employée peut être de 250 à 500 watts. Le mécanisme est amovible, il est fixé dans le bâti par trois vis, la came en celoron, les paliers en bronze. Le réglage de la lampe se fait extérieurement. Le deuxième modèle est le même du point de vue mécanique, mais possède, en plus, un allumage progressif de la lampe, c’est-à-dire que, suivant la lampe employée, on anime l’aiguille du wattmètre à la tension d’utilisation de la lampe; cela présente des avantages lorsque les courants sont survoltés, ce qui arrive fréquemment en banlieue, par exemple. Le troisième modèle, semblable mécaniquement, possède un lampe bas-voltage 300 watts de 10 ampères 30 volts. On a un filament plus groupé, plus gros et un rendement lumineux meilleur. Ces lampes, alimentées par un transformateur, durent cent heures. Ercsam. — Autre nouveau constructeur. Deux modèles de projec