La Cinématographie Française (1939)

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III txxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx: c,NEr"^^ft§p,,,E ixx La Technique dans les Films La Fin du Jour (film français de Julien Duvivier). Nous tenons à dire tout le plaisir que nous avons éprouvé en retrouvant avec La Fin du Jour, « notre » Duvivier, le vrai, celui de Un Carnet de Bal, l’artiste sensible et délicat qui, connaissant son métier à fond et possédant une connaissance rarement dépassés du cinéma, nous a donné à nouveau une oeuvre magistrale, dont toute l’industrie du film français peut n’enorgueillir. Il nous faudrait des pages pour parler de la qualité et de la beauté technique de La Fin du Jour. Un film comme celui-là ne peut êtres fait que dans un studio français. Quel beau travail ! Un travail d’ensemble dans lequel il est difficile d’analyser les détails en une seule vision. Rythme français, qui peut paraître lent aux étrangers habitués aux comédies américaines, mais quelle maîtrise de l’expression cinématographique ! Duvivier a été secondé par une excellente équipe technique bien entraînée, comprenant les noms de Christian Matras, assisté de Julliard, Bourraud et Robin, responsable de l’admirable photographie; de Jacques Krauss pour les décors; de Robert Vernay et P. Duvivier, assistants metteurs en scène; de Tony Leenhardt, Philippe, Lemaître et Archambaut pour le son et enfin de Marc Poncin pour le montage. Un film à voir et à revoir (Madeleine Cinéma). Ersterte cordiale (film français de Marcel L’Herbier). Voici — dans un genre tout différent une autre réussite du film français. On hésite souvent, en France, à aborder le genre du film historique oui nécessite une grande mise en scène et des reconstitutions coûteuses et difficiles. Félicitons le producteur Max Glass d’avoir eu le courage d’aborder ce genre. Félicitons le réalisateur Marcel L’Herbier d’avoir mené cette tâche au succès. Entente cordiale nous fait revivre vingt ans d’histoire contemporaine et le fait fort bien. Des décors immenses, dus à Guy de Gastvne et à Kainer oui été construits sur les plateaux des studios de Saint-Maurice. Les scènes de Buckingham Palace, de Windsor, du Château d’Osborne, n’offrent au point de vue mise en scène aucune critique. De même celles de Paris. L’épisode de la Comédie Française, qui est l’un des meilleurs du film, est d’une vérité criante. Rarement dans un film tourné en France peut-être depuis Mayerling nous n’avions vu une telle richesse et un lel luxe de réalisation. Rien n’a été épargné pour faire de ce film une œuvre grande et prestigieuse. La réalisation de Marcel L’Herbier est très bonne, quelquefois excellente. Hors de doute que, techniquement, cette production est l’une des plus grandes réussites du cinéma français. Films iNlErttSSMUS A Vülfi au point de vue Technique FILMS FRANÇAIS LA FIN DU JOUR (Madeleine). ENTENTE CORDIALE (Marignan). | FILMS AMERICAINS JESSE JAMES (Le Brigand Bien-aimé) (en couleurs) (Le Paris). MADE FOR EAGH OTHER (bientôt aux Portiques). REVES DE JEUNESSE (Quartiers). TRADE WINDS (La Femrtie aux Cigarettes blondes) (Quartiers). VOUS NE L’EMPORTEREZ PAS AVEC VOUS (Helder). TAIE SPIN (Descente en Vrille) (Normandie). FILMS ANGLAIS PYGMALION (Biarritz). PRISONNIERS DE LA BRUME (Mer du Nord) (Quartiers). Belle photographie de Ted Pahle, quelquefois entachée d’inégalités. Très beaux costumes de Bilinski. Son impeccable de Marc Fossard. * * * Production américaine : deux très « gros morceaux », Giinga Din, de George Stevens; Les Anges à Figures sales, de Michael Curliz. Gunga Din est une splendide épopée dans DANS VOTRE CABINE LES VOLETS AUTOMATIQUES ^SVj CjpG SONT REGLEMENTAIRES QUELQUES INSTALLATIONS RECENTES SECURITE ABSOLUE Chez votre R vendeur habituel ou à : R. AY LM E R I ngénieur-Constructeur 22, Rue Château-Landon, PARIS X' Téléphoné : NORD 98-59 PARIS ACTUAL. CHAMPS-ELYSEES. ACTUALITES SAINT-LAZARE. AMBIGU. ATLANTIC. BOUL’MICH’. BRASSERIE SUISSE. CAIP. CL SOIR PIGALLE. 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