La Cinématographie Française (1939)

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VIII S1MÉ-SOIVFRANCE 69, BOULEVARD GOUVION-SAINT-CYR, PARIS-XVII* Téléphone : GALVANI 80-07 R. C. SEINE 278.076 B SUPER-IDEAL MONOBLOC VÉRITABLE MACHINE A PROJETER ET A LIRE LE SON ■ Tous les perfectionnements réunis : Lecture sur masse tournante — Axe optique fixe — Graissage automatique — Diminution considérable des efforts demandés au film — Obturateur arrière — Robustesse à toute épreuve. ; ! Le Contrôle des Sons à Densité fixe Le contrôle photographique des sons à densité iixe est pour l’industrie qui emploie ces procédés rendu plus tacite par 1 emploi des essais ue mouulation des hautes fréquences. La nature de ces lests a été décrite précédemment par Baker et Robinson. Là qualité du son à densité tixe dépend beaucoup de la définition de Limage. Les conditions requises pour l’obtention d’une piste parfaite sont que la partie claire doit etre parlanement transparente et tes parties noires complètement opaques, les pointes extrêmement efmées, les bords de ta modulation exactement definis, et, au point de vue reproduction de ta trace lumineuse, le galvanomètre doit en donner un tracé lidèle. Si une de ces conditions n’est pas remplie, la distorsion apparaît dans les hautes fréquences. Aux hautes densités la moyenne de transmission se trouve réduite, et aux très basses densités elle est accrue par la présence des hautes fréquences. La moyenne de transmission est celle comprise pour 50 % de piste exposée sans modulation. Il est possible de trouver une densité aussi petite que possible, laquelle correspond à 1 image la plus parfaite et à la plus faible distorsion. Une haute fréquence enregistrée est un moyen très efficace de détermination des densités correctes des négatifs et positifs. Un oscillateur est connecté avec un modulateur fournissant du 40U périodes. La modulation de ce 4UU est faite pour plusieurs valeurs contrôlées, on obtient ainsi plusieurs densités négatives. Les impressions positives sont alors faites à des valeurs de densités préalablement déterminées et on mesure le 401) cycle à la sortie d’un reproducteur. La combinaison des mesures négatives et positives indique les meilleures conditions de définition et de plus laible distorsion. Cette méthode a été utilisée pour l’établissement de ce qui suit. Dans la production des films à densité fixe, certaines variations de la densité des pistes est inévitable. Ces variations ont des origines multiples, telles : les variations de rapidité des émulsions, celles de l’exposition, du temps de développement, la température des bains, la régression de l image latente, etc... Cependant, on doit tenir la main à ce que ces variations soient réduites au minimum et ne puissent devenir apparentes lorsque le film sera réenregistré. Pour se prémunir contre tout accident extérieur, il est bon d’utiliser un système de fiches où sont mentionnées les diverses variations et les corrections à apporter. Cette méthode n’est pas pratique, elle augmente les manipulations, causes d’accidents, et les pertes de temps. Il est bon de noter que l’utilisation des systèmes dits pushpull élimine toute possibilité d’accident. L’avantage de ce genre de piste est dû à l’élimination d’harmoniques de distorsion, ce qui donne une plus grande sécurité et une qualité plus uniforme. La marge de tolérance est alors beaucoup plus grande pour le négatif et le positif destiné au réenregistrement qu’avec les procédés ordinaires, un changement modéré des conditions sensitométriques n’ayant qu’une influence relative sur le résultat final. Il a été démontré après expériences que les essais faits pour un niveau de 30 décibels donnent pour tous types de matériaux des renseignements satisfaisants, les tests furent, comme référence de niveau, faits à 1.000 périodes et modulés à 9.000 pour l’essai de distorsion et les densités tolérées peuvent être établies de cette manière. Les courbes tracées à la suite de ces essais indiquent que pour un track standard positif de densité 1,59, la tolérance négative est de 1,93 à 2,10, pendant que pour le track push-pull la latitude de densité est presque illimitée. On en déduit que, dans la pratique journalière, pour la piste du son dit push-pull, la densité négative n’a que peu d’importance et que c’est seulement dans le cas d’erreurs très grandes que le temps de développement du négatif joue. Pour le positif à piste ordinaire, la latitude de densité oscille entre 1,53 et 1,70, tandis qu’elle est pour ainsi dire illimitée avec P le procédé push-pull.