La Cinématographie Française (1940)

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U ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦♦♦♦♦♦♦ ♦♦♦♦ [33] C1IME Jt FRâfip&isi RAPHIC SE a T? m ♦ ♦ ♦ ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ ♦♦♦♦ Les Cinémas marocains seront-ils autorisés à fermer à Minuit trente comme le demande M. Alfred Sornac, Président de V Association Cinématographique du Maroc Il y a plusieurs années déjà, la Cinémato a présenté à son public un des pionniers du cinéma marocain, M. Alfred Sornac, qui préside avec autant de dévouement que de compétence, l’Association Cinématographique du Maroc. Il nous paraît intéressant de donner l’avis qu’il vient d’émettre sur une question importante. La situation actuelle impose aux cinémas une réglementation particulière. Le « blackout » a ses exigences jusque sur les rivages marocains, et les salles de l’Empire chérilien ont dû modifier, dès septembre dernier, l’horaire de leurs représentations. Mais, avec la belle saison qui arrive, avec l’heure d’été qui est appliquée maintenant dans le Maroc entier, ne pourrait-on reconsidérer certains points de la réglementation en vigueur ? M. Sornac répond affir mativement à cette question dans un article que publie notre confrère L 'Intransigeant Marocain. Il estime que le spectacle 11e doit pas commencer avant neuf heures et que les cinémas doivent être autorisés à fermer à minuit trente. Ainsi, l’exploitant disposera d’un horaire suffisant pour une représentation normale. Il n’aura plus besoin d’écouter la première partie, comme il est obligé de le faire maintenant. D’autre part, les spectateurs pourront aller au café commodément, avant de se rendre au cinéma. Car la meilleure réglementation est celle qui tient compte de tous les intérêts en cause. Et M. Sornac a raison de penser que le cinéma ne peut pas prospérer au détriment d’une autre corporation. Il donne ainsi un exemple de largeur d’esprit et prend une position qui mérite d’être souligné au Maroc et ailleurs. Ch. Penz. Edwige Fruitière et Jean Chevrier dans L’Emigs-ante, film de Joannon. (€. F. C.) CESSIONS DE CINÉMAS MM. les Propriétaires et Directeurs de Salles sont informés que MM. GEORGES GOIFFON & WARET 51, RUE GRIGNAN A MARSEILLE sont spécialisés dans les cessions de Salles cinématographiques dans toute la Région du Midi. Les plus hautes références Renseignements gratuits — Rien à payer d'avance GRAND GALA à ARCACHON L’Union des Femmes de France (Section d’Arcachon) a organisé le mercredi 24 avril 1940, au théâtre Olympia, un grand gala de bienfaisance au profit de la Maison du Permissionnaire du Front sans Famille, ni Soutien; oeuvre remarquable qui reçoit pendant leurs permissions et ce, gratuitement, nos soldats déshérités. L’organisation artistique de ce gala avait été confiée à MM. Jacques Baris et Gérard Coumau, par le Comité de la Croix-Rouge. La soirée fut présidée par M. le Général Bref et par M. Pierre Dignac, député, ancien ministre, vice-président de la Chambre ainsi que par la marquise du Vivier, présidente de l’Union des Femmes de France et Mme et M. Barincou, du Comité directeur. Au programme : Outre la musique militaire du 181e R. I. R., sous la direction du Lieutenant Guérin, de nombreuses vedettes avaient aimablement et gracieusement prêté leurs concours : la grande fantaisiste Marjolaine; Mlle Aurore Sadoine, ex-première danseuse du Grand Théâtre de Bordeaux et son corps de ballet, dans des danses classi ques et modernes; Mlle Liliane Spell, du Trianon-Lyrique de Paris; MM. Maurice Vidal, du Grand Théâtre de Bordeaux; Adrien Adrius de l’A. B. C.; Guy Bor du Trianon de Bordeaux; les Tays et Tys, acrobates de l’Empire de Paris et les Pierrotys, comédiens excentriques des principaux théâtres parisiens. Le spectacle fut spirituellement présenté par M. Gaston Rullier, auteur-acteur du théâtre de la Renaissance et l’orchestre dirigé par M. André Rambaud avec beaucoup d’autorité. En résumé : une brillante soirée qui va assurer à l’œuvre plus de deux cents journées d’hébergement à nos poilus du front, sans famille, — G. C, Betty Stockfeld et Harry Uaur se rencontrent sous l’oeil connaisseur de Numès Fils Une scène de Le Président Haudecœur, film de J. Dréville. Distr. Pagnol. Ce p pensent les Américains d’un contrôle éventuel de l’industrie du Cinéma Français Les Américains ne voient pas d’un bon œil le projel de loi qui donnerait tout le contrôle de l’industrie cinématographique à un groupe n’appartenant pas à cette industrie et sous le contrôle de la Société des Auteurs. On estime que dans ces conditions, il faudrait déduire de 10 à 15 % des recettes avant que les distributeurs ne touchent; en effet, an pourcentage de base de 3 % de la Société des Auteurs et autres taxes diverses, il viendrait s’ajouter un certain pourcentage pour l’encouragement de la production documentaire scientifique et nationale de propagande, ce qui signifierait pour les Américains neutres qu’une partie de leurs recettes devrait servir à la propagande d’une nation belligérante (petite nuance puritaine !). D’autre part, cette taxe aurait pour les distributeurs américains l’inconvénient de rendre leurs bénéfices publics, et d’exposer l’importance de leurs contrats avec les exploitants. Mais les dirigeants du cinéma américain ne croient pas à l’établissement d’un contrôle officiel de l’Etat sur le cinéma français, sous quelque forme que ce soit. ♦ Une nouvelle Salle parisienne Le “CHAMPERRET Dans quelques semaines, sera inaugurée une nouvelle salle parisienne dont le~ derniers travaux d’aménagement se poursuivent activement. Cette salle, située rue Vernier, près de la Porte Champerret s’appellera « Le Champerret ». Elle contiendra 1.300 places. c. Étabts CIKELIINE FOIRE DE PARIS STAKD B — HALL 43 v ... ■ -izzzz