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VI
CINE
RAPHIE
ISE
C
TÉLÉCINÉMA
Projection des Films pour la Télévisior
de Zurich. D;ms ce système complexe une pel i licule d’huile d’un dixième de millimètre d’épaisseur, sur un disque de verre, est halayé par un faisceau électronique qui fait varier sa transparence. Le tout est à l’intérieur d’un tube à vide.
Le conférencier termina en parlant de l’importance du contraste pour la valeur pratique de l’image. Il montra que le rapport du noir au blanc peut aller pour un même négatif de 5 pour 1 à f>25 pour 1. II faut que le contraste soit au moins de 50 pour 1, pour qu’un document soit reproduit correctement.
DES AVIONS ANTENNES
(Atlantique-Pacifique)
Le plan sensationnel, révélé l’été dernier, d’émissions de télévision relayée à travers les Etats-Unis par des avions tournant en rond à Une altitude de 10.000 mètres est à la veille d’entrer dans la voie des réalisations. La Westinghouse Electric Corporation a fait les plans détaillés de l’équipement de télévision de ces avions. La Glenn L. Martin Company a de son côté complété ces plans en ce qui concerne les avions qui seront utilisés. Et les principaux réseaux de télévision ont commencé à composer les programmes qui utiliseront ce système de relai.
Chaque avion portera au moins cinq émetteurs de telle façon que plusieurs programmes différents soient relayés à la fois. Les promoteurs de ce plan insistent sur le fait que, non seulement ce système sera plus économique que les câbles coaxiaux mais que la réception sera très supérieure en qualité.
Il s’agit d’utiliser des avions volant en cercle à 10.000 mètres et qui remplaceraient les tours de relai de télévision. La portée de l’émission sera naturellement beaucoup plus grande. Deux avions voleront de conserve de façon que si l’un est en panne l’autre reprendra automatiquement le relai.
★ ★ ★
Des émissions télévisées sont faites actuellement cinq fois par semaine par DuMont, sur le gros câble co-axial qui relie Washington et New York. L’une de ces émissions est réservée aux questions gouvernementales.
Pour la projection sur la mosaïque du tube analysateur, les projecteurs à mouvement continu, ?enre Continsouza-Combes ou Mecchaü, précédemment décrits dans ce journal, sont immédiatement utilisables.
Avec les projecteurs à croix de Malte, dont le déroulement est discontinu, deux problèmes sont à résoudre :
1° La cadence de synchronisation de changement d’image.
Le balayage par le faisceau analysateur est réglé à 50 images par seconde. Le film doit donc se dérouler à 25 images et non 24 par seconde.
2" Réglage du temps de projection < d’obturation.
Voir schéma 14 où : AA’ = temps d’ouvejl turc; BB’ = temps de fermeture; A’B’ le temj de projection.
Le balayage de l’image donne une surfai | uniformément éclairée mais, en plus, si l’écran apparaissent une bande blanche a’ i une bande noire b’ qui prennent naissant J pendant les temps AA’ et lili' .
Ces bandes proviennent du fait que les ce Iules élémentaires de la mosaïque formel J avec la plaque signal une infinité de peti condensateurs, qui transmettent à cette plaqu non seulement les variations de potentiel t fonction de l’éclairement, mais aussi, en plu la dérivée du signal rupté.
Il faut donc que ce signal rupté soit invisibll Pour ce faire, deux solutions sont à envisager i
ri) Le temps d’obturation et d’escamotage c film doit être égal à la durée de retour ( balayage de l’image, pour que ce signal i produise pendant le noir de l’image, ce q le rendra imperceptible.
Le temps de retour serait alors de 5 lll % de l’aller, c’est-à-dire de 1/1.000 I 1/5.000 de seconde. On comprend que pr tiquement cette solution, qui exigerait q pendant l’escamotage un effort considérai soit exercé sur la pellicule, n’est pas réa sable, bien que cette solution soit la me 1 leure des deux.
b) Le temps de projection est égal au tem de retour. Dans ce cas le signal parasite ! place dans le noir de l’image.
Le rendement optique est alors malheure sèment très abaissé. Mais cette solution pra
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