La Cinématographie Française (1946)

1-4 CXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX1 CI1WÉf®RAPIIIE CXXXXXXXXXXXXXXXXXXTTTTln LES PORTES DE LA NUIT Production Pathé-Cinéma — Distribution Pathé-Consortium-Cinéma PETRUS Production : Films Imperia Réalisateur i MARC ALLEGRET. Auteurs : Marcel Achard. Adaptation : Marcel Rivet et Marc Allegret. Dialogue : Marcel Achard. Interprètes i FERNANDEL, SIMONE SIMON, PIERRE BRASSEUR, Dalio, Abel Jacquin, Simone Sylvestre, Corinne Calvct. Musique : JOSEPH KOSMA. Directeur de Production : MAURICE REFREGIER. Assistant-Réalisateur : Pernelie, Forgea. Seript-Girl : Yvette Vérité. Régisseur général : Eugène Nase. Régie extérieurs : Albert Volper. Chef Opérateur : MICHEL KEL BER. Opérateur : Raymond Clunie. Deuxième Opérateur : Fellous. Photographe : Sam Levin. Décors : MAX DOUY. Assistants-Décorateurs : Jean André et Roger Perron. Costumes : Maquettes de Ray BretKoch. Maquilleur : Albino. Chef Opérateur du Son : Tony Leenhardt. Assistant du Son : Demmer. Montage s Henry Taverna. Studios : Bâle (Suisse). Extérieurs : Paris. Commencé en extérieurs : le 26 janvier 1946. Sujet : Comédie dramatique. Cadre : Moderne, Montmartre. Pétrus, (Fernandel), photographe de quartier, passant rue Pigalle est blessé d'une balle de revolver, oui était destinée à Rodriguez (Pierre Brasseur), mauvais garçon, danseur professionnel et fabricant de fausse monnaie, par Migo, (Simone Simon), danseuse de cabaret qui aime le jeune voyou. Pétrus est conquis par Migo, mais n’espérant pas s’en faire aimer, il veut la rendre heureuse et il oblige Rodriguez à jouer la comédie de l’amour à la jeune femme. Migo est heureuse, mais peu de temps. Rodriguez est tué par des voyous comme lui et Migo, abandonnée, se réfuqie auprès de Pétrus qu’elle finit par aimer et tous deux connaissent enfin le bonheur. LE CABARET DU GRAND LARGE Production : « Codo-Cinéma » Réalisateur : RENE JAYET. Auteur : Scénario original de Jacques Chabannes. Adaptation et dialogué : J. Chabannes. Interprètes : SESSUE HAYAIiAWA, SUZY PRIM, BERVAL, Fernand Fabre, Charles Lemontier, Claude Bany, Talmès, Georges Aminci, René Hell, Ai.drc Dumas. Musique : Vincent Scotto. Assistant-Réalisateur : Serge d’Artec. Script-Girl : Lucienne Gérassi Pumont. Régisseur général : Harris. Régie extérieurs : Auvergne. Régie intérieurs : Marcel Jaffé, Polios. Chef Opérateur : LUCAS. Opérateur : Marius Roger. Deuxièmes Opérateurs : Ripouroux et Bénézech. Photographe : Lamy. Décors : BAZIN. Assistants-Décorateurs : Mary et Gaillard. Maquilleur : Ulysse. Chef Opérateur du Son : René Longuet. Assistants du Son : Boisselier et Legrand. Enregistrement : Blue Seal. Montage : Renée Guérin. Studios : Eclair-Epinay. Commencé le : 25 février 1946 tn intérieurs. Sujet : Policier. Réalisateur : MARCEL CARNE. Auteurs : Ballet de JACQUES PREVERT et JOSEPH KOSMA. Adaptation: Jacques Prévert en collaboration avec Marcel Carné. Découpage technique: M. Camé. Dialogue: Jacques Prévert. Interprètes: PIERRE BRASSEUR, YVES MONTAND, NATHALIE NATTIER, Serge Reggiani, Saturnin Fabre, Carette, Raymond Bussières, Jean Vilar, Mady Berry, Sylvja Bataille, Jane Marken. Musique: JOSEPH KOSMA. Directeur de Production: Pierre Laurent. Assistants-Réalisateurs : Maurice Blanc, Georges Baudoin. Script-Girl : Jeanne Wîtta. Régisseur général : Louis Théron. Régisseur Adjoint: Marc Hélin. Régie extérieurs : Lagneau. Régie plateau: Ronsin, Barnathan. Chef Opérateur : PHILIPPE AGOSTINI. Opérateur : Maurioe Bac. Photographe: Aldo. Décors: TRAUNER. Assistants-Décorateurs: Morin, de Capelier. Costumes : Mayo. Habilleuse : Micheline Bonnet. Maquilleur : Arakelian. Chef Opérateur du Son ■ Ar chimbaud. Montage: Jean Feyte. Production Compagnie Franco Coloniale Cinématographique Distribution : Corona Flms Vente à l’Etranger : Régina Distribution Réalisateur : CHRISTIAN-JAQUE. Auteur : Scénario original de Henri Jeanson. Adaptation : Henri Jeanson, Christion Jaque, Louis Chavance. Dialogue : Henri Jeanson. Interprètes : LOUIS JOUVET, GABY MORLAY, FRANÇOIS P£RIER, Ludmilla Tchérina, Jean Brochardi, Louis Seigner, Mar guerite Moréno. Musique : ARTHUR HONEGGER. Directeur de Production : J. MUGELI. Assistant-Réalisateur : Raymond Villette. Script-Girl : Simone Bourdarias. Régisseur général : Genty. Régie extérieurs : Jumeau. Chef Opérateur : LOUIS PAGE. Opérateur : Arignon. Deuxièmes Opérateurs : Guillois, Duhamel. Photographe : Lucienne Chevert. Décors : MARQUET. Assistant-Décorateur : Gabutti. Costumes : Germaine Lecomte. Maquilleur : Gleboff. Chef Opérateur du Son : Rieul. Montage : Desagneaux. Studios : Radio-Cinéma, ButO-s Chaumont. Extérieurs : Lyon. Commencé le : 16 février 1946 en extérieurs. Sujet : Comédie satirique. Cadre : Moderne. Un lyonnais (Louis Jouvet), qui a quitté sa ville après vingt ans, par suite d'une faillite paternelle, revient à Lyon pour présenter son spectacle de ballets à la réputation mondiale. Il revoit les représentants de sa famille, les juge odieux, les laisse s’empêtrer dans leurs petites tragédies, mais sauve di suicide un jeune cousin (F. Périer) en qui il retrouve sa propre jeunesse. Studios: Pathé (Joinville et Fraicœur). Extérieurs: Paris. Commencé le 11 janvier 1946 en extérieurs à Paris. Sujet : Drame. Cadre : Une nuit de l’hiver qui suivit le magnifique® été de la Libération de Paris. Un ouvrier parisien, Jean (Yves Montand), fait connaissance dans le métro du « Destin » sous la forme d'un clochard qui lui raconte les heures qu’il va vivre : Jean rencontre un camarade de la résistance. Ce dernier l'emmène dans un restaurant de marché noir. Là, il voit entrer une femme magnifique, Malou (Nathalie Nattier) qui, mariée à un homme qu’eLe n’aime pas, Georges (Pierre Brasseur), a voulu revoir, ce soir-là, le cadre de son enfance. Sup te champ Jean et Malou s’aiment. Le père de Malou (Saturnin Fabre) et son frère (Serge Reggiani) sont des « collaborateurs » à qui Jean a dit leur fait et il a même corrigé le jeune homme. Pour se venger du jeune ouvrier, ils ouvrent les yeux au mari de Malou qui, voulant tuer Jean , blesse mortellement sa femme qui meurt sur un lit d'hôpital. Le Destin avait tout priva et nul n’échappe à ce qu’il a décidé. Production : Sirius Distribution : Sirius Réalisateur : ROBERT BIBAL. Auteur : Scénario original de René Jolivet. Adaptation : René Jolivet. Dialogue : René Jolivet. Interprètes : RENE I) ARY, MADELEINE ROBINSON, Dinar), Georges Lannes, Pierre Dudan, Philippe Hersent, Arlette Merry, Alfred Adam. Musique : HENRY VERDUN. Directeur de Production: GRANGER. Assistant -Réalisateur : Bernard. Script-Girl : Perrin. Régisseur général : Raskin, Dupont. Régie extérieurs : Gentil. Chef Opérateur : L. N. BURF.L. Opérateur : Raichi. Deuxièmes Opérateurs : Juliard, Lapetrussa. Photographe : Karquel. Décors : KRAUSS. Assistant-Décorateur : Le Poitevin. Costumes : AUiod. Maquilleurs : Ulysse, Tedesco. Montage : Mlles Mazin et Marcoglou Studios : Eclair-Epinay Extérieurs : Contamines-Mont j°ye Commencé en extérieurs le : 4 février 1946. Sujet : Film d’aventures. Cadre : Epoque' moderne Canada et Grand Nord. Fred Simon (René Dary), s’évade de prison pour retrouver Simone (Madeleine Robinson). Mais celleci est mariée au docteur du pays. Elle présente Fred comme son frère, mais il doit se sauver une fois de plus et il rejoint une expédition de trappeurs. Le chef de cette expédition, bandit sans scrupule, veut s’approprier toutes les fourrures. Au campement, ses complices attaquent les trappeurs. Fred est blessé, mais Simone est prévenue. Elle arrive escortée de policiers qui arrêtent le chef et ses complices. Fred, mortellement atteint, fait promettre à Simone de retourner, après sa mort, auprès de son mari. LE PÈRE TRANQUILLE Production : B.C.M. Réalisateur : RENE CLEMENT. Auteur : Scénario' original de NOEL-NOEL. Dialogue : NOEL-NOEL, Interprètes : NOEL-NOEL, Jean Varas, Paul Frankœur, Dieudonné, José Artur, Claire Olivier, Nadine Alari, Lemontier, Dclaitre, Jeanne Herviale. Musique : RENE CLOEREC. Directeur de Production : JEAN JEANNIN. Assistante de Production : F. Luce. Assistant-Réalisateur : Pierre Chevalier, Claude Clément. Script-Girl : Lucile Costa. Régisseur général : A. Bègue. Régie extérieurs : Turlure. Chef Opérateur : CLAUDE RENOIR. Régie intérieurs : Caudrelier. Opérateur : Jean Mousselle. Deuxièmes Opérateurs : Gilbert Chain, Apesteguy. Décors : Carré. Photographe : Roger Poutrel. Assistant Décorateur : Gal'audBettex. Maquilleur : Paule Déan. Chef Opérateur du Son : RENE LOUGE. Assistant du Son : Soler Landin. Enregistrement : Cottet. Montage : Mme Wurtzer. Studios : Radio-Cinéma. Extérieurs : Les Sables-d’Olonne. Commencé le 15 février 1946 en studio. Sujet : Comédie dramatique. Cadre-Epoque : Petite sous-préfecture moderne (Résistance). Un brave homme très calme, surnommé le Père Tranquille (NoëlNoël), vit de ses rentes en compagnie de sa femme. Jamais un mot contre l’occupant, jamais une plainte contre les méthodes d’occupation Au moment où les événements se précipitent en France pour chasser l'ennemi, il se révèle un grand patriote. LA DAME DE HAUT LE BOIS Production : Rhodiafilms Réalisateur : JACQUES DAROY. Auteurs : Roman de Jean-José Frappa. Adaptation et dialogue : Alexandre Arnoux et Maurice Kéroul. Interprètes: FRANÇOISE ROSAï, Madeleine Rousset, Raymond Loyer, Léon Bélières, le petit Valois, Annie Hémery, Clarel, René Blancard. Directeur de Production : ALEXIS PLUMET. Assistant-Réqlisateur : Roger Maxime. Script-Girl : Régina Badia. Régisseur général : Albertos. Chef Opérateur : M. LUCIEN. Photographe : Moiroud. Décors : CLAUDE BOUXIN. Costumes : Muelle. Chef Opérateur diu Son : M. Biard. Assistant du Son : René Privât. Enregistrement : Westeçn Electric. Studios : Marseille (Gaumont). Extérieurs : Côte d’Azur. Commencé le : 26 février 1946. Sujet : Drame. Cadre : Fin xix° siècle. Pour sauver son petit-fils, Gabriel (le petit Valois), d’une menace de folie héréditaire, la Comtesse Irène de Bréviane (Françoise Rosay), s’engage comme gouvernante chez sa belle-fille, Jeannine (Madeleine Rousset). Le petit Gabriel tombe gravement malade et le ■ deux femmes luttent ensemble pour le sauver. Quand la comtesse Irène apprendra que le petit Gabriel est né d’un autre père que son fils, elle pardonnera pour que le nom des Bréviane ne s’éteigne pas. LE REVENANT LE FUGITIF il 11 : II