La Cinématographie Française (1946)

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12 ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ CI^EOKTjmRAPHIE rRÆmisc ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦+ U Maurice Cloche a tourné sur la scène du Théâtre Antoine FICHE DE PRODUCTION ON NE MEURT PAS COMME ÇA Production : Distribution : Vente à l’Etranger : ASTRA-VOXFILMS Commencé le 26 mars 1946 Réalisateur : JEAN BOYER. Auteurs : Scénario original tic Ernest Neubach. Dialogue : André Tabet. Interprètes : ERIC VON STRO HEIM, Anne-Marie Blanc, Denise Vernac, Temerson, Georges Tabet, Geongus Lamies, Sylvie. Delbo, Marcel Vallée, Sinoël, Jacqueline Pierreux, Lily Baron Numès Fils. Musique : José Ilajos. Directeur de Production : HENRI B ATM. Assistant-Réalisateur : Jean Bastia. Script-Girl : Cécilia Malbois. Régisseur général : André IIoss. Régie extérieurs : Fluet. Régie intérieurs : Léo Fréniery. Chef Opérateur : CHARLES SUIN. Opérateur : Walter Wotticz. Deuxièmes Opérateurs : Jean Cas tagnier, Francis Nivois. Photographe : Liinot. Décors : AIME BAZIN. Assistant Décorateur : Mary. Maquilleur : Bouban Père, AideMaquilleur : Simone Bernard. Chef Opérateur du Son : Lacharmoise. Assistant du Son : Guy Villettc, Pierre Goumy. Eiuvgistrement : Optiphonc. Montage : Mme Martin. Studios : Photosonor. Sujet : Policier. Cadre-Epoque : Studios de production de films. Moderne Le célèbre metteur en scène-acteur, Eric von Stroheim termine ’e tournage de son nouveau film La Tragédie de la Jungle. Sous son impassibilité, il cache un immense chagrin, car son amie Denise le trompe avec un acteur, Perre Vannier, mari de la douce Marianne Legrand, vedette du li m. Dans a dernière scène du film. Vannier doit mourir. Il meurt mal, sans naturel. « On ne meurt pas comme ça, lui crie le metteur en scène, recommencez ». Mais Vannier es bien mort, mort par empoisonnement, constate le docteur du studio, Fores. ier. Deux policiers a rivent au studio pour découvrir qui a tué, comment et pourquoi, et sept cent dix-neuf personnes sont retenues prisonnières en attendant que l’assassin soit découvert. Le commissaire Marchai et son adjoint Cazenave découvriront qu’un serpent venimeux a piqué Vannier. Quant à l’assassin, il n’est autre que... = Le Club des Régisseurs de Production Cinématographique organise ce soir, samedi 1 1 mai, à 21 heures, à Robinson, une grande soirée artistique et dansante, à l’occasion de l’inauguration du « Grand Arbre », 15, rue c!e Malabry. De nombreuses vedettes du cinéma et du théâtre apporteront leur concours à cette soirée qui se terminera par urj grand bal de nuit. Transport assuré. Départ du siège du C.R.P.C., 25, rue Ger main-Pilon (métro : Pigalle), à 20 h. 30 et 21 h. 30. ENGAGEMENTS = L’excellent acteur Maurice SALAAERT vient d’être engagé par Georges Lacombe pour tourner aux côtés de Mar’ène Diétrich et Jean Gabin, Marti, i Roumaqnac aux studios de SaintMaurice. Maurice Salabert qui incarnera un journaliste, fête avec ce rôle son cinquantième engagement dans une production cinématographique. “PAS UN MOT A A-t-on transporté le Théâtre Antoine dans un studio ou en a-t-on transformé ta scène en studio ? C’est évidemment la seconde hypothèse qui est la bonne. En effet, Maurice Cloche, qui réalise cinématographiquement la pièce d’Yves Mirande et Goudket sur la scène LA REINE-MERE” distribution et exigeant des costumes, des décors et un mobilier somptueux, éléments qui ne peu vent pas toujours être réunis en dehors de f'uris. Maurice Cloche, assisté de Claue Boissol et Pierre Courau, mettent un soin tout particulier à la ré.i ON VA COMMENCIt B LE VISITEUR (Majestic-Film Jean Dréville commencera lundi richain 13 mai, aux Studios des Bi esChaumont, la réalisation de ce ni; le scénario original et le dialogue ont de Jean-Bernard Luc. Pierre Frtiay interprète le rôle principal. Prod. ,I i jestic-Fi m distribuée par Sirius. ON ANNONC IDYLLE SENTIMENTALE. — ai mu qui n’e.st pas encore remis du grave accident d’automobile doi il fut victime voici plusieurs sema es, a été à nouveau transporté dans inc clinique où il doit subir une 1 ;n intervention chirurgicale. Mais ses iédecins affirment que ’e grand a un sera rétabli d’ici deux mois. Raimu ferait sa rentrée au si llo pour le début d’août dans un im adapté d’un roman anglais dor le titre provisoire est Idylle Senlii ntaie et qui sera réalisé par P to Billon. CASQUE D’OR. — Jacques Ben oui n’avait pas réalisé de film deiis Falbalas, travai’le actuellement an découpage de Casque d'Or, sujet (u; sera produit par les frères Hakh it qui, d’ailleurs, avait été déjà anmeo par ceux-ci avant la guerre. Ce -ra un film à grande mise en scène jui fera revivre l’atmosphère des iu bourgs parisiens vers 1900. PLUME LA POULE. — Wier Kapps réalisera à partir du 10 iin pour les Films Stellor un grand Im d’extérieurs Plume la Poule dont ution se découlera dans le cadre ftoresque d’un petit village de GasciS Scénario original de Gaston Ri ier et H. Couarraze. Sujet d’humour do jeunesse et d’amour. FANTOMAS. — Jacques Da elNorman (réalisateur de 120, Rm lit la Gare et Monsieur Grégoire s’élle) va entreprendre une nouvelle ad; tation de la célèbre série de ror ns policiers de Marcel Allain. M; ;e) Herrand (Lacenaire des Enfants dn'aradis) incarnerait le personnage de F'antomas. Le film se passera à bloque où le sujet fut écrit, c’est-à rc avant la guerre de 1914. AU POISSON COURONNE. René Chanas, metteur en scène lu Jugement Dernier, réalisera ce ; jet dont il est l’auteur et dont l’aon se déroule dans un grand port i: rnational. L’adaptation est de lao Frank et le dialogue d’Henri Jean n. La distribution réunit les noms de Jean Daw. Ju’es Berry, Robert »1bon et Michèle Martin, qui fit es débuts dans Le Juqement Dernier i îc, dans le personnage principal ic■teur italien Aldo Fabrezzi qui est cvenu célèbre au delà des Alpes ce les films Rome Ville ouverte et iLe Dernier Fiacre. Des scènes d’extéri rs ont déjà été tournées en p’eine ! npête, au large de l’Islande. LA TOURMENTE. — Chf |cs Spaak vient de terminer ce nom lu scénario oui sera réalisé par la tciété belge « Belprano », après te Cocu Magnifique. LES REOUINS DE GIBRALT 1. — On annonce la procJiaine réa ation de ce film d’aventures et < spionnage qui fera suite à Gibrn ir r_ue réalisa avant la guerre F< ;r Ozen, avec Viviane Romance et ic von Stroheim. LES EAUX PRINTANIERES. Claude Renoir réa’isera procha ment cette nouvelle de Tourguei v dont l’adaptation et le dialogue : J écrits par Bernard Zimmer. Ce a une co-production franeo-britanni c S. LS. -John Sutro. Directeur de 1 >duçtion : Pierre Franchi. Chef cm rateur : Alékan. Nombreux extérh s dans la région parisienne et dans s Alpes. Acteurs déià engagés : I a Paréiv, Carette, Catherine Vernon, r ge Andréguv, ainsi que p’usietirs îterprètes anglais, parmi lesquels e Ambers et Howard Vernon. L’AMANT DE PAILLE. — Sim = Renant et François Périer. qui fui it les vedettes de La Tentation de Ifbizom, seront à nouveau partons s dans L’Amant de Paille, pièce de Mc Gilbert Sauva ion et André Bost. d s les rôles que créèrent Jean Paquf 1 Monique Roland. L’équipe des techniciens et les artistes de Pas un mot à la Reine Mère réunis au « Studio » du Théâtre Antoine autour de Mme Simone Berriau, de Maurice Cloche et du directeur de production Midlarski. même du Théâtre Antoine où le oublie peut chaque soir applaudir Pas un mot à la Reine Mère, a transformé le plateau en un studio très complet. Rien n’y manque, ni les sunlights, ni les passerelles, ni les rails permettant les travellings, ni la cabine du son, ni même les lampes rouges et les . silences impératijs. La scène ellemême a été fermée de tous les côtés, ce qui la transforme en un véritable décor de studio. Ce décor, d’ailleurs particulièrement riche de nombreuses pièces de collée fions i prêtées au producteur, ont permis au décorateur Bertin de reconstituer la chambre d’un palace londonien — l'Hôtel Ritz, pour être précis — dans laquelle Yves Mirande et Goudket ont situé l’action de leur comédie. M. Braudel, directeur de la Société Eden-Productions, qui reprend son activité après cinq années complètes d’interruption, a décidé de produire Pas un mot à la Reine Mère en complet accord avec Yves Mirande, parce qu’il s’agissait là d’une pièce de théâtre comprenant une très nombreuse Henri Calef prépare M. Georges Legrand qui reprend son activité de producteur après plusieurs années d’interruption avec Les Chouans, a réuni, samedi dernier ses nombreux amis avant le premier tour de manivelle de cette nouvelle grande réalisation du cinéma français. Le metteur en scène de Jéricho, Henri Calef, à qui a été confiée la réalisation, a précisé que ce film sera uniquement une adaptation du célèbre roman de Balzac. Le dialogue a été écrit par Charle.-, 1 Spaak. ] lisalion de cette œuvre et Willq , chef opérateur, apporte toute sa technique à la netteté et à la beauté des photos. D'autre part, le réalisateur et Yves Mirande qui ont écrit l'adaptation cinématographique de cette pièce et ont engage, en plus des interprètes de la pièce, en tête desquels se trouvent Suzanne Dehelly. Daniel Clérice, A»mandu, une débutante dont on vante le talent, Liliane Bert et enfin Maurice Baquet qui prêtera sa verve, son entrain à un personnage de journaliste. Quelques scènes d’extérieurs seront tournées à Paris, mais l’intérêt de cette réalisation réside surtout dans la gageure qu’a acceptée Maurice Cloche de n’avoir à sa disposition qu’un seul décor. S’il est possible, dans ce seul décor, de « meubler », si l'on peut dire, un film d’une heure et demie sans lasser, cet essai aura été concluant el permettra à de très nombreux chefs-d’œuvre de notre théâtre ■ forcément inconnus en province, de toucher un nombre toujours plus grand d ? spectateurs L. O. “LES CHOUANS” Les principaux interprètes des Chouans étaient présents à cette sympathique réception, à l'exception de Louis Jouvet qui tourne actuellement Un Revenant et de Jean Marais en tournée. Mmes Madeleine Lebeau, MM. Brochard, A;montel. Howard Vernon se déclarent tous enchantés de leurs rôles et feront revivre à l’écran avec tout leu/r talent les personnages de Balzac. M. Georges Legrand était assisté de M. Jaspar, directeur de production, et de M. de Paloméra. directeur de publicité.