La Cinématographie Française (1946)

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t: ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ C c™im0IîiRAPHIE gXXXirXXXXXXTlTTXTXXTXXX: i>irecte:urs jpère III A, ayant plus de trois mois de •(înce, dont les appointements effectifs 'étaient ;i|x au minimum de la catégorie (coefficient )( devrait désormais percevoir des appointeefs effectifs au moins égaux à 4.340 frs X 0 X 4 = 18.748 fr. 80; Un agent des cadres supérieurs, ayant plus l^ois mois de présence, classé dans le repère 1 (cyefficient 400), dont la situation personîh correspondrait au coefficient 450, devrait >‘rmais bénéficier d’appointements au moins ' X à : 4.340 frsX 1.08x4,5 = 21.092 frs. 40. smunération du personnel des cantines j| d’entreprises ]* Ministre du Travail a fait savoir que le ïfcnnel des cantines était régi par l’arrêté iijiO août 1946 (./. O. du 13/8), y compris les léi de cuisine et gérants de cantine, ceux-ci émt pas considérés comme cadres supérieurs, assimilés aux agents de maîtrise. ! Congés payés des jeunes travailleurs 1 loi du 19 août 1946 (.7. O. 20/8) avait fixé jurée du congé payé des jeunes travailleurs pprentis âgés de moins de 18 ans au 31 mai laque année, à deu.c jours par mois de iraaccomplis au cours de la période de réfé3, sans que la durée totale du congé ble puisse excéder une période de 30 jours, )inrenant 24 jours ouvrables, l'ur les travailleurs et apprentis âgés de 3|ns à 21 ans au 31 mai de chaque année, la lê'e loi avait fixé la durée de leur congé à n our et demi par mois de travail, sans que i Ijirée totale du congé exigible puisse excéder nipériode de 22 jours, soit 18 jours ouvrables, lie circulaire ministérielle du 5 scplembre 94, a donné certaines précisions sur l’appliit n de la loi du 19 août 1946 : [jj: ce qui concerne les jeunes travailleurs gi, de moins de 18 ans, la limite de 3i0 jours jititue un maximum (jui peut ne jias être ttint. Il suffit que le jeune travailleur ou pjenti qui justifie de 12 mois de présence a' une entreprise bénéficie d’un congé couinant 24 jours ouvrables. l'ndemnité de congé est égale au 1/12' de i pmunération perçue au cours de la période ejéférence, mais cette indemnité ne peut être if'ieure au montant de la rémunération qm' a it été perçue par le jeune travailleur s’il vî: continué à travailler. fiant aux travailleurs âgés de 18 à 21 an.s. s énéficieront des dispositions de la loi lorsa s auront atteint ou dépassé l’âge de 18 ans ail mai de l’année au cours de laquelle est ttbué le congé, ainsi que les jeunes travailUi qui n’ont pas à la même date atteint 1 ns révolus. 1 loi n'indiquait pas le mode de calcul de iiemnité de congé ji laquelle peuvent préicre les jeunes travailleurs et apprentis de lij de 18 ans. La circulaire ministérielle présl qu’il convient d’allouer aux intéressés une umnité égale à : 1/24' X 3/2 = 1/16' de i imunération qui est perçue au cours de la éiode de référence. Les jeunes travailleurs et prentis ne pouvant justifier de 12 mois dans e reprise et dont le congé était réduit de ce it à une durée inférieure à 24 jours ou 5 ours ouvrables, peuvent cependant demanetà bénéficier du congé maximum. Dans ce tf les intéressés n’ont droit qu’à l’indemnité U correspond au congé, calculée en fonction u emps de travail effectué dans l’entreprise a îours de la période de référence. L’indemn’est pas dûe pour la période qui excède I urée légale. fl loi du 19 août ne comportait /ms de diso fion rétroactive Elle est donc applicable à ir du 22 août 1946, mais tous les jeunes ailleurs et apprentis âgés de moins de ns au 31 mai 1946 doivent bénéficier des ositions nouvelles s’ils appartenaient à une éprise au moment où la loi est devenue aficable. lins le cas où les jeunes travailleurs ont îilficié de tout ou partie du congé prévu par textes ultérieurs, ils peuvent prétendre à , un congé supplémentaire qui est égal à la différence entre le congé qui résulte de la loi du 19 août 1946 et celui qu’ils ont effectivement obtenu. Lorsque les congés complémentaires entrainent des inconvénients pour la production, les employeurs peuvent demander l’autorisation d’étaler ces congés sur une période plus longue. Il appartient aux inspecteurs divisionnaires du Travail et de la Main-d’Œuvre d’accorder les dérogations sollicitées chaque fois qu’elles leur paraîtront justifiées, après consultation des organisations syndicales correspondantes. Toutefois, ces dérogations ne devront pas dépasser la limite du 31 décembre 1946. iD’autre part, il est précisé que la loi du 19 août s’applique aux jeunes travailleurs et apprentis dont le contrat de travail serait résilié postérieurement à la date à la quelle la loi est devenue applicable, tant pour une indemnité de congé acquise au titre de 1946 que pour celle correspondant aux périodes de travail depuis le 1'" juin 1946. Mais sous réserve de l’appréciation des tribunaux, les jeunes travailleurs dont le contrat de travail a été résilié antérieurement à la date d’application de la loi, ne peuvent se pi’évaloir des dispositions de cette loi. Enfin, le cumul des congés institués en faveur des jeunes travailleurs et du congé complémcn taire d’ancienneté demeure possible. Emploi des pensionnés de g;uerre et des pères de famille Le Service Centralisateur des déclarations pour l’emploi des pensionnés de guerre et des chefs de famille, précédemment installé 2 bis, rue de la Jussienne à Paris, vient d’être transféré : 2. passage des Petits-Pères, Paris (2'). (Tel. : Gut. 86 22). “Vedettes et Rîtournenes’’ est une Société de Production En raison du nombre important de lettres des directeurs de Paris et de province demandant les conditions de location des courts métrages de « Vedettes et Ri tournelles », cette Société informe MM. le Directeurs qu’elle se trouve dans l’impossibilité de répondre à tous, et s’en excuse. La Société « Vedettes et Ritournelles » n’étant qu’une firme de production ne distribue pas elle-même ses films. Le choix de la maison distributrice pour la France n’étant pas encore fixé, MM. les Directeurs ne peuvent donc traiter pour l’instant la location de ces films pour Paris ou la province. Ils seront informés dès qu’une décision sera prise. I Cf à m". %w. le Une belle façade réalisée pour la sortie du Livre de la Jungle, au Majestic de Lyon. IRégiiia-Distribution.) Une scène du film Hitler ei sa Clique qui sort cette semaine à Paris. {Distr. ; Paramoiint.) Louis Cuny tourne “le Beau Voyage" Le 7 octobre, au Cap-Martin, a dé donné le premier tour de manivelle de la nouvelle production Gaumont Le Beau Vogage dont les extérieurs seront tournés successivement sur la Côte d’Azur, au Havre et à .Anvers, en Belgiciue. Le 4 novembre commenceront aux Buttes-Chaumont les prises de vues en studio. Le Beau Vogage est une comédie dramatique sentimentale réalisée par Louis Cunj% l’excellent metteur en scène de L’Etrange Destin et La Femme en Rouge. Le Beau Vogage aura pour vedettes Pierre Bichard-Willm et Renée Saint-Cyr. L’excellent interprète de tant de héros romantiques et la charmante et fine comédienne formeront, pour la première fois à l’écran, un couple fort sympathique. A ces deux vedettes, s’ajoute André Valmy, jeune acteur de talent, dont on se rappelle la création du rôle de Serge dans Les Démons de l’Aube. LE BUREAU DE LA CONFÉDÉRATION NATIONALE La Confédération Nationale du Cinéma Français groupant : Le Sj'iidicat général de la Production, le Syndicat général des Industries Techniques du Cinéma Français, la Fédération Nationale des Distributeurs de Films, la Fédération Nationale des Cinémas Français, nous communique la composition de son Bureau : Président : M. Remaugé. Vice-Présidents : MM. Barrière, Frogerais, Métayer. {Trésorier : M. de Hubsch. Secrétaire général : M. Roger Weil-Lorac Secrétaire général adjoint : M. Roger Fournier. Siège social : 92, avenue des Champs-Elgsées, Paris. Tél. : Balzac 59-00, Elysées 86-98, Balzac 37-96, Elysées 02-01. Postes 25, 32, 54, 55. 56. Le Bureau du Comité Français du Cinéma pour les Nations Unies est constitué comme suit : Président : M. Georges Huissman, Conseiller d’Etat. Secrétaire général : M. de Hubsch, Syndicat du Film Documentaire. Secrétaire adjoint : M. Charles Chézeau, Branche Nationale du Cinéma (C.G.T.) . Membres du Comité : Sgndicat des Scénaristes : M. Pierre Bost. Sgndicat des l’echniciens de la Production Cinématographique : M. Jean Grémillon. Association des Auteurs de Films : M. Raymond Bernard. Sgndicat National des Artistes : M. André Luguet. Sgndicat de la Presse Filmée : M. Roger Weil-Lorac. Sgndicat Français des Producteurs de Grands Films : M. Frogerais. Sgndicat Ncdional des Auteurs et des Compositeurs de Musique ; MM. Armand Salacrou et Auric.