La Cinématographie Française (1947)

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22 exxxxxxxx; ♦♦♦♦♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦♦ ♦ ♦ ♦ QUELQUES FILMS LE QUAI DES ORFÈVRES Drame social (105 min.) CORONA CINE RAPHIE SE PRESENTES HORS FESTIVA „ — " """"""" * — — — " |L LES FRÈRES BOUQUINQUAI MONSIEUR VINCENT Biographie romancée (110 min.) A. G D.C. Drame policier et social (99 min.) RADIO-CINEMA-U.G.C. Origine : Française. Prod. : MajesUe-Films. Réal. : H. -G. Ciouzot. Auteurs : Adapt. et dial, de H. -G. Clouzot et Jean Ferry, d’après le roman de Steeman. Dir. de Prod. : Louis Wipt. Prises de vues : Armand Thirard. Décors : Max Douy. Musique : Francis Lopez. Son : Sivel. Montage : Charly Bretonneiche. Interprètes : BERNARD BLIER, SUZY DELAIR, LOUIS JOUVET, SIMONE RENANT, Claudine Dupuis, Gilberte Géniat, Jeanne Fusier-Gir, Charles Dullin, Pierre Larquey. Commencé le : 3 février 1947. Terminé le : 10 mai 1947. Film présenté au Festival de Venise 1947. Prix International pour la meilleure mise en scène : H. -G. Clouzot. Première représentation (Paris) : 3 octo bre 1947, Maricnan Marivaux. Simone Renant et Bernard Blier dans Quai des Orfèvres. (Prod. : Majestic Films. Dist. : Corona). Cette réalisation de Henri-Georges Clouzot marque la rentrée dan\ nos studios de l’auteur du Corbeau. La « manière » de Clouzot est aussi parfaite ici que dans son précédent film et il est certain que li réalisateur ne voit pas ses contemporains d’une façon très optimiste. Il n’en demeure pas moins que Quai des Orfèvres est un film remarquable et mérite amplement le prix de la meilleure réalisation remporté à la Biennale de Venise. Sur une intrigue policière assez mince, Louis Jouvet, Suzy Delair, Bernard Blier, Simone Renant, Charles Dullin, d’autres encore, ont su donner un relief particulier à leurs personnages et en faire des « types » notamment Louis Jouvet qui a campé un policier subtil, bonhomme, tout en étant implacable. Photos, décors, musioue, montage, dialogues, éclairages, rien n’a été laissé au hasard mais, au contraire, tout a été minutieusement réglé, prévu, minuté, cadré avant la réalisation et par cela même donne des résultats précis et remarquablement artistiques. Origine : Française. Prod. : E.D.I.C.-U.G.C. Réal. : Maurice Cloche. Auteurs : Scén. orig. de Bernard Luc et Jean Une scène du film Monsieur Vincent avec Pierre Fresnay. (Prod. : U.G.C.-E.D.I.C. Dist. : A.G.D.C.). Anouilh; adapt. de Jean Anouilh, Bernard Luc et M. Cloche; dial, de Jean Anouilh. Dir. de Prod. • L. Carré. Prises de vues : Claude Renoir. Décors : René Renoux. Son : J. Rieul. Montage : Feyte. Interprètes : PIERRE FRESNAY, AIME CLARIOND, JEAN DEBUCOURT, LISE DELAMARE, Y. Gaudeau G. Dorziat, G. Dermoz. G. Fontan, Vitré, de la Comédie-Française, Carmet, R. Murzeau, Pierre Dux, Véra Norman, Ginette Gaubert. Commencé le . 17 mars 1947. Terminé le ; 20 juin 1947. Film présenté au Fest;val de Venise 1947. Prix International pour la meilleure interprétation : Pierre Fresnay. Il est indéniable que Maurice Cloche a réussi là non seulement son meilleur film, mais encore une œuvre qui porte, qui a des résonnances profondes. Le dialogue de Jean Anouilh, direct, parfois brutal, toujours sans concession au public, accentue puissamment la vigueur très réelle de l’action dramatique. Ce film, qui est une biographie, tient l’intérêt du spectateur de la première à la dernière image et on n’oubliera pas la tête et les expressions de Pierre Fresnay dans les derniers mètres de cette réalisation qui lui a valu la distinction méritée de la meilleure interprétation masculine à la Biennale de Venise. Pierre Fresnay est entouré d’artistes dont la valeur s’est affirmée maintes fois, tels que Lise Delamare, Aimé Clariond, Jean Debucourt, etc. Origine : Française. Prod. : Sté des Films Àikam et Radio-Ciné Réal. : Louis Daquin. Auteurs : Adapt. de Louis Daquin et An Cerf; dial, de Roger Vaillant, d’après roman de Jean Pré /ost. Dir. de Prod. . Sacha Kamenka. Prises de vues : Louis Page. Décors : Paul Bertrand. Musique ; Jean Wiener. Son ; Lucien Legrand. Montage : Claude Nicole. Interprètes : ALBERT PREJEAN, MAI LEINE ROBINSON ROGER PIGAUT. A Jacquin, Jean Villar, Mona Dol, Louis gner, Lavialle, Frankœur. Commencé le • 11 mars 1947. Terminé le : 10 mai 1947. Madeleine Robinson dans Les Frères Bouquinqua >i (Prod. : Alkam-Radio-Ciné: I Dist. : Radio Cinéma-U.G.C ï Film présenté à la Biennale de Venise 19 Le film de Louis Daquin montre la vie 1 tous les jours illustrée de très belles photos dcl l’ensemble compose un film très prenant et pu! fondément. émouvant. Dans cette réalisati I adaptée du roman de Jean Prévost, l’amc I triomphe de toutes les embûches de la vie, I toutes les convictions. Louis Daquin, le réa I sateur de Patrie, a su s’entourer d’une équi I de techniciens te’s que Louis Page pour les p ;1 ses de vues, Paul Bertrand pour les décors 1 Jean Wiener pour la musique, etc. Quant à l’i il terprétation des Frères Bouquinquant, e 1 1 groupe Madeleine Robinson qui fait là la me il leure de ses créations, Albert Préjean dont j'fl est inutile de souligner le talent et le méb ! I très sûr et Roger Pigaut qui est simple, discr i humain, toutes qualités d’un excellent artis 1 1 AU CŒUR DE L’ORAGE Prod. : Coopérative Générale du Cinéma. | Réal. : Jean-Paul Lechanois. Présenté à Cannes le 24 septembre, sous I présidence de M. Fourré-Cormeray, Directe I général du Centre National du Cinéma, assis I de MM. le Docteur P’caud, Maire de Cann I et Marian, Secrétaire général de la Fédérât! i Nationale du Spectacle, Au Cœur de l'Ora | remporte un vif succès d’affluence. C’est un document émouvant et implacal sur la guerre et l’occupation. L’immense int ! rêt de ce film est de nous restituer la vie d partisans dans le maquis du Ver cors, à l’ai ! de vues authentiques tournées en 1943 et 19