La Cinématographie Française (1947)

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♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ CUVE 27 RAPIUE ISE ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ LES CONTRAINTES DONT EST VICTIME L’EXPLOITATION VONT-ELLES TUER LE CINEMA? Un fait brutal domine l’industrie ci1 natographique, le prix moyen des fiis est passé de 2 millions 6 en 193S à 28 millions pendant le premier setrstre 1947 tandis que les recettes brute de l’exploitation passaient de 45 millins mensuels à 300 millions. C’est-àde que le prix de revient d’un film était nr Itiplié par 11, celui des entrées brut i était multiplié par 6,6. Mais sur ce qffre un peu plus de la moitié seulement ryient à la corporation puisque l’Etat et l<. municipalités prélèvent entre 40 et 5 % de la recette brute. Le Cinéma français est donc bien iiIade. Quels sont les microbes qui ravagent organisme pourtant autrefois si vi. •> En premier lieu, le dirigisme à courte qui, impuissant à stopper l’augmenion des prix de production des films contente de stopper les recettes d’envies par une règlementation trop rig.ide p prix d’entrée dans les salles. I! en résulte un décalage énorme en HAUSSE COMPARÉE DES IDICES SEMESTRIELS, DE DUT DE PRODUCTION, DE MX DE DÉTAIL ET DE PRIX DES PLACES A PARIS (Base 100 en 1938) Coût de Production : 1073 / Prix de détail : 868 Prix de places : 388 En réalité, la hausse des prix de détail atint au moins 1.200 parce que le calcul officiel : tient pas compte des achats au marché noir i tient compte de taxes non appliquées par ; commerçants. tre les débours de l’industrie et ses entrées que le croquis n" I met en valeur. On peut se demander avec sui prise quelles peuvent être les raisons qui incitent l’Etat à interdire si soigneusement l’augmentation du prix des entrées motivé pourtant par la dépréciation générale de la monnaie et la nausse du prix de la vie. Le Cinéma, pour l’immense majorité du public, n’est qu’une distraction, une détente et non un besoin d’ordre pri VARIATION DES RECETTES MENSUELLES ET DES PRIX DE DETAIL à PARIS 1945 ITTDICB DSS PRIX B CBTAII A PARIS Basa 100 an 193»