La Cinématographie Française (1948)

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8 txxxxxxxxixxxxxxxxrrxxu ciines^^r^phie rxxxxxxiTTxxxxrxxxrxYm POUR LES DIRECTEURS LANCEMENT ORIGINAL D’UNIVERSAL Pour le lancement du film Universal L’Œuf et Moi, notre ami Raphaël Bernard, chef de publicité de cette firme, a composé très ingé Universal jHlmJs.A CLAUDETTE COLBERT FRED Mac MURRAY JÏOÉWt sr mo* o'*p»ès te ffoMAtfoe $€77/ ’Mh Oomio yj ! Mise fv W&Wé ce OrCshn Èf&lHtE û. 7/' nieusëment une brochure de présentation originale qui donnera aux exploitants des renseignements très utiles pour attirer l'attention de leur public. La brochure abondamment illustrée de photographies et de caricatures a été coupée en forme d’œuf. Cette nouveauté n’est pas le moindre de ses attraits. — J. L. ♦ PRÉSENTATION DE HERAUT-FILM EN F. R. A BREHAL Le 13 janvier, à 14 h. 30, au Viking de Bréhal, salle de 450 places, Héraut-Film présentait aux ^ombreux exploitants de la Manche et des départements environnants une de ses grandes productions en 16 mm. : Dernière Chance, Grand Prix de la Paix au Festival de Cannes. La salle, ancienne halle aux grains, coquettement décorée, ainsi que la cabine à poste double Hortson, aménagée sur les conseils de M. Lefebvre, technicien, donnent une fois de plus, la preuve que, partant d’un local sans confort et que rien ne paraissait destiner à l’exploitation, on peut arriver à une installation digne d’éloges, avec une acoustique parfaite. Le film a remporté tout le succès qu'il méritait, tant pour son scénario qu’au point de vue images et enregistrement sonore. Et pourtant la copie était prise dans une série ayant déjà tourné. Après la projection, chacun se retrouva devant une coupe de champagne. Le soir, un grand gala eut lieu sous la présidence du Préfet de la Manche, du Maire et des Conseillers municipaux de Bréhal. COMMUNIQUÉS DU CENTRE NATIONAL DE LA CINÉMATOGRAPhIE SANCTIONS POUR NON ENVOI DES BORDEREAUX DE RECETTES La Sous-Direction de la Distribution et de l’Exploitation du Centre National de la Cinématographie, communique : Une fois de plus, l’attention de MM. les Exploitants est attirée sur l’obligation d’envoyer régulièrement les bordereaux d’exploitation au Centre National de la Cinématographie. Le non-envoi de ces pièces comptables est un obstacle à la réunion d’une documentation complète sur la situation de l’Industrie et gêne considérablement la préparation des mesures destinées à redresser la situation de l'Industrie Cinématographique. Le Directeur général du Centre National de la Cinématographie a décidé d’appliquer dorénavant les sanctions suivantes aux exploitants qui n’ont pas encore régularisé leur situation à ce sujet : — Amende de 2 % sur le chiffre d’affaires LES SANCTIONS de l’année précédant la date du procès-verbal de constatation de cette infraction. — Dans le cas de non-régularisation dans le délai de trois mois après la décision des sanctions, une nouvelle amende de 10 % sur le chiffre d'affaires sera prononcée. — Si un nouveau refus était opposé, l’amende serait portée à 20 % du chiffre d’affaires et interdiction serait faite à l’exploitant d’exercer toute activité dans la profession cinématographique jusqu’à régularisation administrative complète de son établissement. Le Centre National de la Cinématographie se fera un devoir, pénible mais nécessaire, d’appliquer de telles mesures afin que les négli ■ gences, ou le mauvais vouloir de certains, ne soient cause d’un retard préjudiciable dans la préparation des mesures économiques souhaitées par l’ensemble de la profession cinématographique. PROFESSIONNELLES La Sous-Direction de la Distribution et de l’Exploitation du Centre National de la Cinématographie, communique : , Dans le courant de l’année 1947, il a été dressé un total de 156 procès-verbaux qui ont fait l’ob • jet d’une constitution de dossiers de sanctions professionnelles au Centre National de la Cinématrographie. D’autre part. 193 procès-verbaux, concernant le non-envoi des bordereaux ont été également dressés. Durant cette même période, il a été pris 25 décisions de sanctions à l’encontre d’exploitants et de distributeurs. Les amendes prononcée; s’échelonnent de 2.000 francs à 280.000 francs. Deux exploitants ont également été frappés d’une interdiction de huit jours d’exercice de la profession et d’une fermeture équivalente de leur établissement. Ces sanctions visent la répression de fraudes nettement caractérisées. ASSEMBLEE GENERALE DU SYNDICAT FRANÇAIS L’Assemblée Générale Ordinaire du Syndicat Français des Directeurs de Théâtres Cinématographiques se tiendra le Mardi 10 Février 1948, à 14 heures, au cinéma « Les Batignolles », 59, rue La Condamine (Métro : Clichy, Rome, La Fourche). ORDRE DU JOUR : 1) Rapport moral ; 2) Rapport financier ; 3) Situation générale de l’Exploitation. La salle devant être libérée à 18 heures, MM. les Directeurs sont invités à être très exacts. En vertu de l’article 70 des statuts, le vote par procuration étant admis, les Directeurs qui ne pourront pas se rendre à l’Assemblée peuvent confier leurs pouvoirs à un autre collègue. Les porteurs de pouvoirs sont invités, en conséquence, à les présenter pour validation avant l’entrée en séance. Le Président du Syndicat Français des Directeurs de Théâtres Cinématographiques, L. TRICKET. BELLES RECETTES DE “MONSIEUR VINCENT” Voici le résultat définitif des quatre semaines d’exclusivité de Monsieur Vincent au TrianonPalace de Toulouse : 4.458.567 fr. (chiffre avec attraction) . Le montant des entrées s’est élevé à : 71.305 entrées. — Y. B. DANS LES AGENCES DE TOULOUSE 4* La Société Nouvelle Diffusion de Spectacles « Sonodis », dont le siège social est à Lyon, 55. place de la République, nous informe de l’ouverture de son agence toulousaine en plein cœur de notre ville: 44, rue Gambetta, téléphone: 254-28. Cette firme compte présenter les 10, 11 et 12 février 1948, au Cine-45, à 10 h. du matin, sa première tranche de productions, qui groupera Cargaison Clandestine, avec : Alfred Rode (10 février) ; C’est arrivé dans la Cinquième Avenue (11 février) ; Fatalité (12 février ). 4» M. Robert Treilles, « Ciné Installation », nous informe que son agence a été transférée du 9, rue SaintAntoine -du-T . au 9, rue Agathoise (même local que « Le Syndicat des Directeurs Centre Sud ») . — Y. B. LE SYNDICAT DES CADRES ET MAITRISE DU CENTRE-SUD ROMPT AVEC LA C.G.T. Au cours de son Assemblée générale du samedi 17 janvier 1948, les adhérents du Syndicat des Cadres ayant manifesté le désir de se tenir en dehors de toutes attaches politiques ont, au cours d’un vote à bulletin secret, décidé, à l’unanimité, de quitter la C.G.T. Il a été procédé ensuite aux élections du nouveau bureau syndical. Ont été réélus : MM. BOSC, secrétaire général ; DUDON, secrétaire adjoint, GIEESSAZ. trésorier. Le siège du Syndicat des Cadres et Maîtrise est 7, place Esquirol, Toulouse. — Y. B.