La Cinématographie Française (1948)

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Danny Kaye dans LE LAITIER DE BROOKLYN Un film de Samuel Goldwyn En Technicolor Une avalanche de gags ! Une pluie d’ahurissantes trouvailles ! Un déluge d’allégresse, de musique, de danses et de chansons ! Et au milieu de ce tourbillon de folle gaîté, voici à nouveau le plus extravagant fantaisiste de l’écran, l’inimitable Danny Kaye ! LE LAITIER DE BROOKLYN, grande production en Technicolor de Samuel Goldwyn, permet à Danny Kaye de faire valoir son registre d’artiste complet et de montrer toute la gamme de ses dons de mime, d’acrobate, de danseur excentrique et de chanteur polyglotte, jamais encore ce prodigieux animateur n’avait réussi une composition plus étourdissante, plus fertile en effets irrésistibles, plus propre à déchaîner les rires. A ses côtés, il convient de citer la ravissante Virginia Mayo dont le charme, le Jeu personnes et la jolie voix constituent autant d’atouts de succès, et la gracieuse VeraEllen, absolument éblouissante dans ses extraordinaires danses à claquettes, sans omettre l’escadron trépidant des Goldwyn Girls. Avec LE LAITIER DE BROOKLYN, intarissable source de joie, vous déchaînerez dans votre Salle des rires dont l’écho se répercutera longtemps encore... Les chefs de service des “ Laiteries Sunflower ” réunissent le personnel, y compris livreurs et chauffeurs, dans un vaste hangar afin d’y écouter une allocution du DirecteurGénéral. A l’issue de ce discours, on leur projette un film qui représente les fameuses Goldwyn Girls dans une crémerie ultra-moderne, et qui dansent au son d’une langoureuse valse viennoise et chantent un hymne de louanges à la gloire des produits laitiers. L’action se déroule ensuite dans un cabaret de nuit où Susie ( Vera-Ellen), sœur du livreur Sullivan (Danny Kaye) fait chaque soir son numéro de danse acro batique. Lorsqu’elle a terminé comme elle quitte l’établissemi elle est accostée par le champ de boxe Speed (Steve Cocht Sullivan qui est venu à la rencor de sa sœur se précipite à sa cousse et, au cours de la baga! qui s’ensuit, met le boxeur knc out. Par ce coup de maître livreur devient du jour au len main un héros. Le manager du boxeur v exploiter ce nouvel espoir du i et le persuade de renoncer à modeste métier pour dev< champion de boxe. Après série de combats plus ou me truqués, Sullivan commence ; prendre au sérieux et à se cr< vraiment un grand boxeur. Tout celà déplaît infmimen sa fiancée Polly (Virginia Ma qui chante dans cette même bc de nuit où danse Susie. Mais match qui doit valoir à Suili le titre de champion approche celui-ci est l’attraction d’i somptueuse soirée donnée en honneur. Durant la soirée, F< essaie de faire entendre raiso son fiancé ; elle lui explique I guement que la boxe est t souvent un métier immoral I que, s’il persiste, il perdra \j tout sens d’honnêteté. Pris remords, notre héros décl alors qu’il renonce à la bo mais son manager parvient à faire revenir sur sa décision lui donnant à entendre que recette de ce match sensation ira à des œuvres de bienfaisan Le combat a donc lieu et Suili' gagne. Toutefois, aussitôt apt il abandonnera la boxe, épous Polly et deviendra associé i “Laiteries Sunflower”. Sur noires machinations du ring, c’ le lait immaculé qui l’emporte son cœur...