La Cinématographie Française (1949)

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12 g-jmxm x xxxxxxxxixxrxxxxxxxxxxxxxm XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXT # ANALYSE CRITIQUE DES FILMS (p^m) sT Un nouveau comique, le comique "actif", celui qui effacera vos soucis, c'est Soldai / ÎWMf Un nouveau "classique" du Rire m a présenté por '® GRAY FILM LA MALADIE DE PARKINSON Documentaire médico-chirurgical 1.100 m. en 35 mm. 450 m. en 16 mm. S.D.A.C. Origine : Française. Prod. : S.D.A.C. Kéal. : Jacques Lemoine. Opérateur : Edmond Séchan. Dir. de Prod. : Jacques Schiltz. Dir. scientifique : Dr Jean Sigwald. Montage : Jacques Lemoine. Première représentation publique : Biennale de Venise 1949. Excellent film de pédagogie médico-chirurgicale, aussi bien par la clarté et la méthode de l’exposé, que par la réalisation cinématographique. Le film retrace, par vues directes et par schémas animés, le tableau complet de la maladie de Parkinson, affection des centres^nerveux du cerveau, qui se traduit cliniquement par des tremblements, suivis d’une paralysie progressive, plus ou moins rapide et récemment encore inexorable. Le film, divisé en sections successives, se termine par l’indication des divers procédés d’atténuation, de ralentissement ou de guérison, grâce à l’emploi de substances nées des développements de la Chimie médicinale de synthèse. Ce film a reçu à la Biennale de Venise 1949, le Prix de la Section Médecine-Chirurgie. — P. M. COPIE DE DÉCOUPAGES LIVRAISON TRÈS RAPIDE copy-bourseI 130, Rue Montmartre GUT. 15-11 LES J3 DES FAUBOURGS (A.) (City across the River) Film social (92 min.) (V.O.-D.) UNIVERSAL FILM Origine : Américaine. Prod. : Maxwell Shane-Universal, 1948. Prod. associé : Ben Colman. Réal. : Maxwell Shane. Auteurs : Scén. de M. Shane et Dennis Cooper, adapt. de Irving Shulman d’après son roman « The Amboy Dukes ». Chef-Opérateur : Maury Gertsman. Effets photographiques spéciaux : David S. Horsley. Musique : Walter Scharf. Dir. artistiques : B. Herzbrun et E. Nicholson. Décors : R.A. Gausman et J. Austin. Montage : Ted J. Kent. Interprètes : Stephen McNally, Luis Van Rooten, Sharon McManus, Barbara Whiting, Th. Ritter, J. Corey, S. England, R. Benedict, P. Fernandez, J. Shelley, M. Knox, A. Ramsen, A. Curtis, R. Jaeckel et la bande des « Dukes ». Première représentation (Paris) : 26 octobre 1949, « Apollo », « Astor », « Napoléon », « Plazza ». EXPLOITATION. — Etude américaine sur un des aspects du problème de la jeunesse délinquante. De tendances réalistes, tourné par des jeunes, ce film B doit plaire à ceux qui aiment les reportages romancés. SCENARIO. — Un groupe d’élèves d’une école professionnelle du « Bronx » jouent aux durs avec des pistolets de leur fabrication et prennent modèle sur des gangsters. Au cours d’une discussion, l’un d’eux tue un pion. Le remords le tenaille et, finalement, ils tombent aux mains de la police. L’assassin tombe et se tue, son camarade va en prison. REALISATION. — Nombreuses scènes en extérieurs réels. L’atmosphère est pesante, malgré des commentaires moralisateurs. Le rythme, bon dans l’ensemble, soutient l’action jusqu’à la bataille finale. INTERPRETATION. — Le jeu des jeunes acteurs est excellent. Stephen McNally, John Shelley et Peter Fernandez sont de véritables révélations. •î» Docteur Laënnec, le film de Maurice Cloche, tourné pour A.I.C., sera présenté à Londres, le 16 novembre, au cours d’un grand gala à l’Institut de France, sous la présidence de notre ambassadeur. •î* Bette Davis, qui a quitté Warner Bros., serait la vedette de l’adaptation cinématographique de la fameuse pièce Un Tramway nommé Désir. EROICA (G.) Biographie de Beethoven (109 min.) (V.O.-D.) DISCINA Origine : Autrichienne. Prod. : Wiener-Kunstfilm Kolmvetee. Réal. : W. Kolm-Veltée et K. Hartl. Auteur : Walter Kolm-Veltée. Chefs-Opérateurs : G. Anders et H. Staudingen. Musique : Beethoven adaptée par A. Melichar, orchestre dirigé par Hans Knappersbusch. Décors : O. Niedermoser et E. Stolbo. Dir. de Prod. : E. Neusser. Montage : J. Ramerstorfer. Interprètes : Ewald Baiser, Marianne Schônauer, Judith Holzmeister, O. Werner, D. Servaes, I. Petrovich. Première représentation (Paris) : 12 octobre 1949, « Studio de l’Etoile ». EXPLOITATION. — Ce film autrichien présenté au Festival de Cannes 1949 y connut un très bon accueil. Il est, en effet, remarquablement construit afin de faire entendre la musique de Beethoven et, de ce fait, particulièrement prisé des mélomanes. SCENARIO. — Ludwig Van Beethoven (Ewald Baiser), quand Napoléon marche sur Vienne, compose une nouvelle symphonie « L’Héroïque ». Mais, déçu, il part pour la Hongrie auprès de la Comtesse de Brunswick. Il fait la connaissance et s’éprend de Julietta Guiccardi, puis il retourne à sa solitude. Sa surdité s’aggrave, il ne peut plus diriger un orchestre. Il surmonte sa souffrance. Il n’entend plus, mais il sent l’harmonie et il compose sa IX° Symphonie. REALISATION. — Les recherches du réalisateur sont moins techniques que visuelles. En effet, les éclairages contrastés, les demi-jours, les effets d’ombres sont pratiquement les seules recherches. Si elles sont parfois bien à leur place, elles lassent un peu à la longue. C’est le seul léger reproche que l’on peut faire. INTERPRETATION. — La composition d’Ewald Baiser est absolument étonnante. II a réussi grâce à un maquillage savant à montrer ce qui nous semble le vrai visage du génial compositeur Beethoven. Il domine toute la distribution qui, toutefois, est homogène et non surclassée. — L. O. “MACBETH” à Paris •î» Nous apprenons que les copies de Macbeth, réalisé et interprété par Orson Welles, seront en France dans quelques semaines, et que le film sortira en exclusivité dans une salle parisienne au début de l’année m'acharne. HISTOIRES EXTRAORDINAIRES (A.) Tragi-comédie (90 min.) A.I.C. Origine : Française. Prod. Armor Films-Interfrance Films, 1949. Réal. : Jean Faurez. Auteurs : Scén. de J. Faurez sur des thèmes d’Edgar Allan Poë et Th. de Quincey, adapt. de G. Decomble et J. Faurez, dial, de G. Decomble. Chef-Opérateur : Louis Page. Musique : Georges Van Parys. Décors : Moulaërt et H. Schmitt. Dir. de Prod. : F. Orain assisté de de Martine. Montage : Suzanne de Troyes. Chef-Opérateur du Son : R. Cosson. Interprètes : Fernand Ledoux, Suzy Carrier, Jules Berry, G. Decomble, P. Frankoeur, M. de Berg, Jandeline, R. Blin, O. Hussenot, J. -F. Laley, P. Collet, R. Rafal, Dufilho, M. Schutz, F. Gilbert, M. Rebé. Présentation corporative (Paris) : 27 octobre 1949, « Colisée ». EXPLOITATION. — Film d’humour noir composé de sketches à fond dramatique, du genre épouvante, traité cependant sur un ton badin. Ces « histoires » sont empruntées aux abondantes oeuvres d’Edgar Poë et de Thomas de Quincey. L’interprétation groupe des comédiens de talent dont Jules Berry, Fernand Ledoux, Suzy Carrier, etc. SCENARIO. — Trois sergents de ville et leur jeune collègue Cottin (P. Collet) sont entraînés dans quelques aventures qui vont se dérouler d’une façon imprévue. Celle de Guillaume l’Egorgeur (R. Blin) qui a essayé de trancher la gorge de deux jeunes filles (S. Carrier et M. de Berg). Celle d’un jeune homme (G. Decomble) qui a tué un vieillard (M. Schutz) et d’un homme (F. Ledoux) qui a emmuré, vivant, son ami. Enfin, la disparition d’un homme et la découverte de l’assassin. REALISATION. — Bien que l’esprit de Poë et de Quincey ne soit pas toujours bien restitué, les « histoires » dont ils sont les auteurs présentent chacune, dans la forme que leur a imposée Jean Faurez, un réel intérêt. La mise en scène est bonne et la technique bien adaptée. INTERPRETATION. — Tous les acteurs de ce film sont des comédiens au talent reconnu. Ils paraissent chacun dans un sketch et composent leur personnage avec un réel effort d’adaptation qui est des plus louables, dans l’ensemble. — P. R. EA SOIF DES HOMMES •i» Le Gouverneur Général de l’Algérie, M. Naegelen, en visite officielle à Relizane (département d’Oran), a invité les principaux collaborateurs et vedettes du film, La Soif des Hommes. que Serge de Poligny tourne actuellement en Afrique du Nord, à un banquet au cours duquel il n’a pas manqué de souligner tout l’intérêt qu’il prenait à un effort aussi considérable que celui fourni par la Société L.P.C., en faveur du prestige du film français et algérien. Une grande fantasia eut lieu en présence de son Excellence, et de nombreuses personnalités locales. COPIE DE DÉCOUPAGES LIVRAISON TRÈS RAPIDE COPY-BOURSE 130, Rue Montmartre GUT. 15-11 AGENCEMENT GENERAL DE THÉÂTRE ET DE CINÉMA Société de Représentation de l'Industrie Moderne R. GALLAY GÉRANT 22 bis, rue Lafitiez, Paris (17°) Téléphone : MARcadet 49-40 FAUTEUILS, STRAPONTINS, CHAISES DE LOGE, RIDEAUX, TRANSFORMATIONS RÉPARATIONS R. C. Seine 256.863 B ENTRETIEN DE SALLES