La Cinématographie Française (1950)

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12 :ixxiixxxxizixxiiiixmmxxra LA CINEMATOGRAPHiE FRANCAÎSE iAXi**i*xxxxxxxxiiixxxxxTxxxra U| pr^ P ^ „,oHS,'»p'us n pA^S°, cé\èbre lOUELLA ; et la P“ é icoine' te'°(’o"!'e écrit ■ — — """l B^^^n^ui fera tirer leur mouchoir "Voici unfilrn quiter bien, n ayez aux spectateurs sensible et allez °as pour une fois, de tauss ^ ,,actrice voir' cette s1^/C^qTP\vaNTED'' (AVANT DE Ida Lupmo. NO film nous conte raœ. his,oire tin?^lé(.emen, parce «> r^aue^es1 gerandns studios ont nus deux ans pousse décret à ia tournée.. ie ,'ovoue en toute franchise • auX interprètes "Pour choisir ses P de ses débuts Mn Lupino s est souven fait divers d'actrice. Voulant donner a Ç ida de dun0eC Ii9nif'.cation h-aine, , confier les principaux eUe |es inter commença P°r 'nvj ,* bavarda gentim^ prêtes possibles. Elle e| son cho x avec eux en prenant te ^BrasseUe heureuxdeSally Fo^« dis principalement etdeLeoPennestam ^ long du f,|m, dÜ à cette simp'ic e'.nxprorètes restent en ces trois principaux «ntep^ ^ dans|avie, effet aussi nature ^rotTiper en leur Pre<*\, je ne crois pas me inématographique Unt un brillant aven r c,neSaUyForres "Je fais ce mois-ci, P' meilleure intercitation spéciale, cehe de , a , car le prétation par une „„ réalisme aussi rôle qu'elle anime ave difficile poignant, est PartlC^ J honneur aux deux P " je rends également hon ^ réplique, et jeunes gens qui lu' ^ à |da Lupmo, 'enfin, et tou. parliculie-em „ mot wanted) ,NT DE T' A ^0EchE. PRODUCTIONS en France par HOCM LES plLMS " 3 '» "gg. et de 106 ANALYSES DES FILMS 106 xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxixixxxxxxxxxxxxxxxixutxxtï LE PIRATE DE CAPRI (G.) (Il Pirati di Capri) Film d’aventures (90 min.) (V.O.-IL) ASTOKIA FII.MS Origine : Américano-italienne. Prod. : M. S.E. Nieolo Theodoli. 1945. Réal. : G. M. Scotese (version italienne), Edgar Ulmer (version américaine). Auteurs : Scén. de G. Colonna. G. Moser et G.M. Scotese, dial, de V. Bruchi. Chef-Opérateur : Anchisc Brizzi. Musique : Nino Rota. Décors : Fiorini. l)ir. de Prod. : Anna Davini. Montage : Lucidi. Interprètes : Louis Hayward, Mariella Lotti, Massimo Serato, Alan Curtiss, M. Rasumny, B. Barnes, E. Rossi, V. Belmont, J. Morino, E. Spalla, F. Marzi, A. Ambrogi, F. Gentiie. Première représentation (Paris) : 7 juin 1950. « Aubert-Palace », « Gaumont-Théâtre ». EXPLOITATION. — Pirate de Capri. intrépide Capitaine Sirocco, ces deux noms suffisent pour attirer un public nombreux. Galopades, embuscades, fuites très bien menées, tiennent, le spectateur en haleine craignant pour son « héros » sympathique. Spectacle divertissant. SCENARIO. — Naples à la fin du XVIII " siècle. La révolution est imminente. Transportant une cargaison d’armes destinées à la police napolitaine , un navire est attaqué et pillé par des patriotes sous les ordres du Capitaine Sirocco (L. Hayward) . Le chef de la police, Von Holstein (M. Serato), furieux de cet échec, ordonne l’attaque d’un village révolutionnaire. Tous les habitants sont tués. A la cour de la Reine Caroline (B. Barnes), un personnage bouffon, très estimé de cette dernière, le Comte Amalfi (L. Hayward), lui révèle que Sirocco et lui ne sont qu’un seul homme. Il la convainct de signer un décret accordant des droits équitables à son peuple. Survient Von Holstein. Au cours du duel qui s’ensuit, Von Holstein est tué. Amalfi peut alors épouser la jeune Comtesse Mercédès (M. Lotti) . REALISATION. — Bonne. Les scènes de mouvement, et elles sont nombreuses, se succèdent avec dynamisme. De somptueux décors sont agréables, ainsi que certaines photographies d'extérieurs. INTERPRETATION. — Dans un double rôle, Louis Hayward est excellent. Il a su rendre Sirocco sympathique et crispant. Amalfi. Ce dernier personnage tout à l’encontre de ses précédentes interprétations demandait de louables efforts. Binnie Barnes et Mariella Lotti sont ravissantes. Massimo Serato représente bien le fourbe et arriviste Von Holstein. — S. I). KISMET (G.) Comédie (107 min.) Technicolor) (V.O.) M.G.M. Origine : Américaine. Prod. : M.G.M., 1944. Réal. : William Dieterle. Auteurs : D’après la pièce de Ed. Knoblock, dial, de John Meehan. Chef-Opérateur : Charles Rosher. Effets spéciaux : Warren Newcombe. Musique : Herbert Stothart. I)ir. artistique : Cedric Gibbons. Décors : Edwin B. Willis. I)ir. de Prod. : Everett Riskin. Chef-Opérateur du son : Douglas Shearer. Interprètes : Ronald Colman, Marlène Dietrich, James Craig. Edward Arnold. H. Herbert, J. Ann Page. F. Bâtes, H. Davenport, H. Cavanaugh. Première représentation (Paris) : 7 juillet 1950, « Olympia ». EXPLOITATION. — Marlène Die(rich, dans un rôle où elle peut donner la pleine mesure de son talent et dans une production que le Technicolor rend particulièrement spectaculaire, tel est le principal intérêt du film, qui, par ailleurs, constitue un agréable divertissement pour tous. SCENARIO. — Le roi des mendiants de Bagdad (Ronald Colman), se fait passer pour le prince de Kassir et séduit une princesse dv. harem du Grand Vizir (Marlène Dietrich). Très ambitieux, ce mendiant veut marier sa fille à un riche personnage et se fait l’instrument d’un complot pour tuer le Calife de Bagdad. Mais sa fille est amoureuse d’un jardinier. Après une bataille avec les gardes du palais, il découvre que le jardinier et le Calife sont une seule et même personne. Tout finira donc bien et il partira avec sa princesse pour Kassir. REALISATION. — Un Orient de fantaisie est reconstitué, très spectaculaire, avec danseuses. Technicolor, garde noire, jardins embaumés, harem. etc. La mise en scène fastueuse est très adroite. INTERPRETATION.— Marlène Dietrich, la grande attraction du film, danse, joue et vampirise avec un brio étonnant. Ronald Colman, au talent très nuancé, paraît un peu effacé auprès de sa partenaire dorée comme une châsse. — J. L. o Le dernier film de John FORD au “Paris" •F C’est au cinéma « Le Paris » qu’est sorti, vendredi dernier, Le Planqué malgré lui (When Willie cornes marehing heme), le dernier film de John Ford. Avec Le Planqué malgré lui, John Ford revient à un genre qu’il avait abandonné depuis plus de quinze ans : celui de la comédie satirique. Dan Dailey, Colleen Townsend et notre compatriote Corinne Calvet sont les principales vedettes de ce film. CINÉ-SIÈGES 45, Rue Henri-Barbusse, 45 AUBERVILLIERS Tél. : FLA. 01-08 LA PLUS IMPORTANTE MANUFACTURE FRANÇAISE DE SIÈGES DE SPECTACLES ANNONCE Son nouveau système breveté S.G.D.G. 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