La Cinématographie Française (1950)

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LAciNÉMATOGRAPHÎE FRANÇAISE IV fiTixrxxTxxxxrxTTTTixxxxixixxxa 35 mm. est appliquée avec la réserve de correspondre aux conditions tcehniques de la fig. n° 5. Ce qui signifie que les haut-parleurs de contrôle auront leurs courbes de réponse réglées pour que l’écoute du mélange corresponde à celle de l’enregistrement, ou bien que l'ingénieur interpole les conditions à l’oreille, c’est-àdire donne aux bruits, à la musique, 1 importance réduite qui permet à la parole de rester audible dans les circonstances les moins favorables du passage dans les salles de 16 mm. Cette technique présente le maximum d’avantages car l’ingénieur réenregistreur peut suivant les besoins, utiliser toutes sortes de filtres, notamment du filtre de présence, lesquels permettent de rémédier à nombre de défauts originaux. Cette façon de procéder a notamment été tentée en France par la firme Universal en liaison avec les techniciens de l’Eclair et les résultats obtenus ont démontré que cette méthode doit être retenue comme donnant le meilleur réenregistrement pour le film de format réduit. La seconde méthode plus fréquemment employée parce que plus économique est le réenregistrement d'après une copie standard de série 35 mm. la courbe de réenregistrement étant approximativement celle de la fig. n° 5. Cette fois, le dosage paroles, bruits, ambiance, musique est moins favorable et le pouvoir d’intervention de l'ingénieur de son beaucoup plus limité que dans le cas précédent. Enfin reste le tirage par réduction optique qui vient de faire un progrès considérable avec la nouvelle tireuse Debrie, dont le principe a été ici-même exposé dans un récent numéro de ce journal. Le tirage optique est de loin le meilleur marché, mais s’il est concevable avec un A son excellent, il n’en est pas moins vrai qu’il ne permet pas de retouche et que, par définition, il se place en dehors des conditions théoriques du réenregistrement. Il y aurait lieu, dans une étude poussée à fond, de développer certains points, tels : Le rapport des dynamiques respectives du format 35 mm. et du 16 mm., celle-ci plus faible, et surtout du rendement théorique et pratique des projecteurs de format réduit. Ces rendements sont d'ailleurs fortement influencés par : lu La qualité des têtes sonores ; 2° La qualité des amplificateurs ; 3° La qualité des haut-parleurs. Nombre de têtes sonores de 16 mm. ne tournent pas rond et la musique a souvent la fâcheuse tendance à des fluctuations incompatibles avec une qualité acceptable. De plus, ou la compensation varie avec le diamètre des bobines, ou le compensateur n’est pas conçu pour répondre aux exigences qu’imposent les grosses bobines qui sont devenues de pratique courante. Dans les bons appareils de projection 35 mm., le dérouleur de tête sonore est une pièce capitale et le compensateur de boucle est conçu de telle manière qu’il n’y a aucune variation de vitesse visible au stroboscope sur le tambour de lecture (double compensation). Cette performance est commune à toutes les têtes sonores de marque et il serait souhaitable que celle-ci soit étendue à tous les projecteurs de format réduit. Il est maintenant facile de construire un amplificateur de projection de haute qualité dans toute l'étendue de la courbe de réponse du format utilisé, mais en format réduit on observe souvent une tendance à négliger ce point, en raison de ce que la construction d'un tel ampli nxxxxxrxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx: ficateur est d’un prix de revient incompatible avec le prix de vente imposé par une concurrence active. Quant à la question du haut-parleur et à son intégration dans la chaîne, lecteur, amplificateur, il y a là beaucoup à retenir de l’examen de contrôle d’une bande test, et l’étude américaine citée plus haut se trouve confirmée. Cette fois encore, le fabricant est limité par le prix de revient, et est excusable de ne fournir, par exemple, qu’un haut-parleur de qualité très moyenne. Circonstance aggravante, nombre d’exploitants d’installations mobiles, projettent dans des salles d’acoustique très défectueuse et ne font pas travailler le haut-parleur dans de bonnes conditions. On trouve fréquemment des hautparleurs mal orientés, d’autres placés à l’endroit le plus réverbérant sans amortissement d’entourage et d’autres placés dans des conditions qui influent gravement sur la qualité finale de l'écoute. Il ne faut pas croire, bien au contraire, que la projection d’un film de format réduit puisse se faire n’importe comment par n’importe qui. Les condiitons de projection étant, et de loin, moins favorables que celles du format 35 mm., l'exploitant en format réduit doit veiller à ce que les meilleures conditions d’exploitation soient remplies, ce qui, hélas ! est souvent difficile à appliquer. Enfin, et les distributeurs sur ce point seront de notre avis, il serait souhaitable que tous les exploitants du format réduit veillent de très près au bon entretien de leur matériel qui conditionne expressément le bon état des copies qui leur sont louées. Sur ce point, il y aurait beaucoup à dire et nous y reviendrons. A. -P. Richard. Carcasse à ressorts “ ôpeda QUALITÉ D’ABORD “Thu* ETS Bertrand FAURE S.A.R.L. au capital de 110 millions 20, rue Hoche PUTEAUX (Seine) Long. 22-04/05 LA FABRICATION DU RUBAN MAGNÉTIQUE La Société Salum, à Ivry-surSeine, fabrique du film ruban magnétique en chlorure de Vynile de 0,04 mm. d’épaisseur. Une des faces est enduite d’oxyde de fer en grains de grosseur infime. L'oxyde utilisé correspond à la formule Fe O'-y. Les grains ont un diamètre inférieur au micron et sont noyés dans un liant. Le support est couché en 32 cm. de largeur. L’enduit a une épaisseur d’environ 0,015 mm. Le séchage s’effectue au rayonnement infra-rouge. 24 lampes paraboliques de 250 watts chaque sont réparties en voûte dans un tunnel. Ces trois lampes sont réparties en trois circuits réglables. Les solvants du support évaporés sont évacués par aspiration. La difficulté est de sécher convenablement le support sans que celui-ci dépasse le point d'environ 80 degrés centigrades, point de ramollissement du support. Le support doit garder une souplesse déterminée pour permettre aux grains d’oxyde de s’orienter dans la masse du liant sous l’influence de l’aimantation. La machine à sécher a été construite par la Compagnie des lampes. Cette sécheuse peut traiter en 10 heures 180 kilomètres de film de 6 mm. 4 de largeur. CINÉ-SIÈGES 45, Rue Henri-Barbusse, 45 AUBERVILLIERS — Tél. : FLA. 01-08 LA PLUS IMPORTANTE MANUFACTURE FRANÇAISE DE SIÈGES DE SPECTACLES ANNONCE Son nouveau système breveté S.G.D.G. PLIDÉAL Adaptable sur tous nos modèles moyennant un léger supplément Confort MAXIMUM — Encombrement MINIMUM jamais atteint Assure un gain important de places UNE VISITE A CINÉ-SIÈGES S'IMPOSE CINELUME 3 RUE DU COLISEE PARIS Ô!-ELY. 44*00-34*ô2 TECHNIQUE & MATÉRIEL APPAREILS DE PROJECTIONS CINEMATOGRAPHIQUES SONORES CINEMECCANICA-MILAN