La Cinématographie Française (1952)

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II xxxxixxxttxxixxxxxxxxxxxxxxxjlX % CINÉMATOGRAPHES STENGEL 6, BOULEVARD DE STRASBOURG, PARIS-10" (Métro : Strasbourg-Saint-Denis) Tél. : BOTzaris 19-26 ♦ MATERIEL FOURNITURES et ACCESSOIRES pour CINEMAS MECANIQUE ET REPARATIONS PROJECTEURS 35 mm. Charbons « Lorraine ». Revendeur officiel Toutes les lampes de projection, d’excitation d’amplis Cellules pour 16 et 35 mm. Lampes Redresseur et Panique-Secours 6, 12, 24 volts Miroirs verre H.R.L. et Alu « Mir », toutes courbes et diamètres Objectifs-tubes lecteurs de son Filtre de projection Bobines et boîtes 16 mm. et 35 mm. 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HYGIAPHONE Totalement étanche et transparent, et transmettant le son sons affaiblissement, HYGIAPHONE est une barrière d'une efficacité absolue contre tous germes transmis par l’haleine, et... contre les courants d'air. Partout où il y a du personnel en contact avec le public, il est nécessaire d'utiliser HYGIAPHONE. Adopté par la S.N.C.F., les P.T.T., etc... 40, Av. Montaigne • LE PERREUX (Seine) LACiNÈMATOGRAPHÎE FRANÇAISE XXXXXXXXXXXXXXXXIXXXXXXXXXXXX: 6° Pour tous les procédés des couleurs, la lumière de prédilection est l’arc à haute intensité. 7° La couleur de l’écran entre en ligne de compte. ajlfejii Ces considérations sont valables pour toutes les intensités des couleurs, mais jouent surtout pour les faibles valeurs, où s’inscrivent les couleurs du maquillage. A ceci, s’ajoute le point de vue psychologique et justifie la validité du proverbe : « Des goûts du public, qui, simpliste, considère qu’un homme blanc doit être blanc, pas trop blafard, pas trop coloré, public qui n’admet pas un visage hâlé et des couleurs... » Les techniciens maquilleurs doivent donc s’efforcer d’adopter des maquillages qui puissent ne pas susciter de critiques acerbes du public. En fait, un maquillage est composé par un fond de teint, un fard, une poudre. Théoriquement, il s’agit de répandre sur une surface de couleur donnée (la peau du visage), des pigments colorés. Les pigments sont incorporés à des corps, le plus souvent incolores, qui les tiennent en suspension, graisses animales ou végétales, auxquelles sont incorporés des produits adhésifs. Le fond de teint est donc appliqué sur une surface et, selon l’épaisseur de la couche, s’ajoute ou se retranche. On peut assimiler cette opération à celle qui consisterait à faire une aquarelle, puis à revenir sur celle-ci et à en masquer les effets sous des couleurs de pastel. L’examen au microscope d’une surface recouverte de fond de teint, de fard et de poudre, varie d’un essai à l’autre, suivant l’épaisseur des couches superposées et leur application. En principe, le fond de teint est un fond de ravalement et la texture plus ou moins compacte se superpose à la teinte de la figure. On serait tenté de croire à une addition de couleurs, alors que le plus souvent la teinte de 'a peau, en raison de l’épaisseur du fond de teint, disparaît entièrement. Les fards, suivant leur mode d’application, se fondent, se superposent, ou se juxtaposent, jt les grains solides se répartissent suivant le mode d’application. Les poudres appliquées après ce maquillage, jt qui en font partie, sont destinées à donner à celui-ci la matité nécessaire, et permettent d’accrocher la lumière. Vue au microscope, la poudre forme des petits agglomérats plus ou moins serrés, qui ont leur couleur propre, le maquillage de fond apparaissant aux endroits non recouverts. On se trouve en présence d’effets dits de surface, vus de manières différentes par un observateur et par l’émulsion. En supposant que l’émulsion ait une courbe chromatique invariable suivant les bobines, que le développement soit constant, seul l’essai pratique indiquera comment doit être réalisé le maquillage en tant que document technique et dans quel sens il doit être corrigé. Les ingrédients de maquillage, qui sont constitués avec des éléments bon marché, sont vendus à des prix astronomiques. Les corps gras qui servent de base, les excipients qui s’y trouvent en suspens, sont des produits communs, les colorants sont portés aux index des catalogues de colorants y compris leur nocivité, leur ténacité, etc. Rien dans la fabrication des produits de beauté ne justifie donc leur prix de vente. Pour le maquilleur, ils ne constituent que des éléments de son travail. Leurs caractéristiques lui sont familières. Ce qui l’est moins pour lui, ce sont les réactions de ces corps par rapport à l’éclairage et à l’émulsion. Il serait souhaitable qu’en accord avec les travailleurs de cette branche, des essais soient entrepris pour montrer comment les produits employés, pris isolément ou associés, sont représentés : 1 lumière du jour, lu A : pour le noir 1 mière à incandescence, B : pour la couleur ) lumière à arc type 3 I ’ | 1 | " i t Mole-Richardson. Les corps essayés seraient photographiés en même temps qu’une charte des couleurs, telle que celle de la section couleur de la C.S.T. (charte qui comprend une planche de gris). Ces essais ne manqueraient pas de surprendre nombre de techniciens. Ils ne seraient valables, scientifiquement parlant, que pour un procédé considéré. Le seul procédé actuellement appliqué industriellement en prise de vues directes étant, pour la France, le procédé Gevaert, les essais pourraient être effectués avec ce procédé. Tout développement a une latitude. En noir et blanc, la latitude est assez grande. Elle l’est moins par exemple pour les procédés des couleurs par copulants ; mais elle existe, ce qui permet de corriger de légères erreurs d’exposition sans nuire au rendu des couleurs de faible intensité. Toute erreur grave dans le temps d’exposition et la variation de la couleur de la lumière éclairante (température de couleur mesurée en degrés Kelvin), nuirait donc au maquillage. Sur ce point, le maquilleur est donc solidaire de l'opérateur et du laboratoire. A. -P. Richard. Procédé Gevaert ÉCLAIREMENT ET TIRAGE DES FILMS EN COULEURS On trouve dans une récente communication d’un ingénieur des Laboratoires Gevaert des renseignements qui corroborent ceux qui ont été ici-même indiqués à diverses reprises. Il est recommandé dans la manière d’éclairer le sujet cinématographique de ne pas dépasser des écarts allant de 1 à 3, de préférence 1 à 2. Cette recommandation est d’ordre scientifique, c’est-à-dire que, si l’on veut une représentation correcte des couleurs dans les ombres, cet écart 1 à 3 constitue un critère à observer. Cependant nous ferons remarquer qu’il y a une latitude plus grande que celle annoncée, latitude qui dépend essentiellement de facteurs qui sont d’ordre artistique et non technique. Il est certain qu’un physico-chimiste se pose pour but la représentation correcte des couleurs, alors que l’artiste recherche la représentation subjective d’un sujet. L’expérience montre que si, dans les grandes lumières les couleurs restent semblables à ellesmêmes par rapport à un éclairage de température de couleur choisi, il n’est pas grave qu’il y ait variation dans les ombres. Il est bon de considérer qu’en peinture les écarts sont plus grands que ceux autorisés : environ 1 à 6, et que cet écart donne satisfaction. L’auteur note que la projection en salle obscure augmente les contrastes, fait exact dont il faut tenir compte dans certaines limites lorsqu’on envisage les pertes de saturation que présentent tous les procédés copulants, négatifpositif désaturation accrue lors de la reproduction par contretype. La mesure d’éclairement en lux fournie par l’auteur est de 5.000 à F 1 : 2 ce qui signifie, si l’on travaille à F : 5, fait commun, que la valeur en lux de l’éclairement passe à 31.250. En bref, le temps de pose comparé à celui du noir pour une émulsion type Plus X Kodak est au minimum trois fois supérieur à celui employé sur les plateaux. Ceci, ajouté à ce qu’il est dit plus haut sur la question écarts d’éclairement, impose, ce qu’ont fait les Américains, la révision de la conception de l’éclairage par les seules petites unités. L’indication dans le mémoire des raisons pour lesquelles le temps de pose est forcément allongé est que chacune des trois émulsions couchées l’une sur l’autre est d’une sensibilité qui s’étend seulement à 1/3 du spectre et que la troisième émulsion ne reçoit de lumière qu’après passage au travers des deux premières. Il serait, à notre avis, intéressant de savoir si à ces motifs ne s’en ajoutent pas d’autres. Ainsi il est connu qu’un grain d’argent copulé augmente de diamètre et ce dans des proportions telles que le pouvoir résolvant approche de la limite permise pour des images cinématographiques, compte tenu de l’agrandissement nécessaire. Enfin des grains d’argent, rares il est vrai, ne sont pas copulés, c’est-à-dire ne forment pas de colorant. Toutes ces causes font donc que le pouvoir résolvant d’une émulsion de ce genre est relativement faible. De l’étude citée : Le tirage doit être fait en lumière dirigée, ceci pour que les images les plus éloigées de la surface de l’émulsion, puissent avoir le maximum de netteté compatible avec ï: ci dir: if 1 cie de toi ai i < ( th1 de de lé lit le dé li! se B « C î TECHNIQUE ET MATÉRIEL