Start Over

La Cinématographie Française (1952)

Record Details:

Something wrong or inaccurate about this page? Let us Know!

Thanks for helping us continually improve the quality of the Lantern search engine for all of our users! We have millions of scanned pages, so user reports are incredibly helpful for us to identify places where we can improve and update the metadata.

Please describe the issue below, and click "Submit" to send your comments to our team! If you'd prefer, you can also send us an email to mhdl@commarts.wisc.edu with your comments.




We use Optical Character Recognition (OCR) during our scanning and processing workflow to make the content of each page searchable. You can view the automatically generated text below as well as copy and paste individual pieces of text to quote in your own work.

Text recognition is never 100% accurate. Many parts of the scanned page may not be reflected in the OCR text output, including: images, page layout, certain fonts or handwriting.

22 xxxxrxxxxxxxxxxxxxxxxx xxxoxxx XXXXXXXXXXXXTXYXXTXXXT XXXXMX *k LA eÎNÉMATOGRAPHiE FRANÇAISE g. , 48 CRITIQUES DES FILMS rT*gTTTV*rTgXTlITTXXYXTXTYir;rYXXXXXTTXXXZXXTTXXXXXXXXXXXXXXEXXXXXXXXXXgXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXZXXXXXXX LA VALLEE DES GEANTS (G.) (The big Trees) Film d’aventures (88 min.) Technicolor (V.O.-D.) Origine : Américaine. Prod. : Louis F. Edelman, 1951. Réal. : Félix Feist. Auteurs : Scén. de J. Twist et J. R. Webb, d’après l’œuvre de K. Earl. Chef-Opérateur : Bert Glennon. Conseiller pour le Technicolor : M. Kovaleski. Dir. musicale : Ray Heindorf. Musique : Heinz Roemheld. Dir. artistique : Edward Carrere. Décors : G. W. Berntsen. Montage : Clarence Kolster. Interprètes : Kick Douglas, Eve Miller, Patrice Wymore, Présentation corporative (Paris) : 5 juin 1952. CARACTERE. — Très agréable film d’action sur les magnifiques forêts américaines et sur les batailles qui durent être livrées pour protéger les séquoias millénaires contre des bûcherons sans scrupules. Ce sujet, qui avait déjà été tourné en pariant et en couleurs, bénéficie ici d’un Technicolor très au point et de l'interprétation du solide Kirk Douglas, entouré de deux jolies fiiles. SCENARIO. — Menacé par ses ouvriers, qu’il n’a pas payés depuis longtemps, Jim (K. Douglas) est sauvé par Yukon (E. Buchanan). Il l’envoie en Californie s’assurer d’une concession forestière. Celle-ci trouvée à Redwood, Jim s’y installe avec ses bûcherons. Mais, contrairement aux promesses faites à Yukon et aux habitants, Jim se propose d’abattre les superbes séquoias. Son associé, Frenchie (J. Archer), provoque la mort d’un habitant de Redwood, père de la jolie Alicia (E. Miller), dont Jim est amoureux. Frenchie tue Yukon et Jim prend définitivement le parti d’Alicia et de ses amis. Il parviendra à débarrasser la contrée de Frenchie et de tous les ennemis des séquoias. REALISATION. — Film très enlevé, constituant une suite prenante de scènes d’action. Les effets spéciaux sont fort bien réussis dans les séquences principales (déraillement du train, destruction du barrage), très passionnantes. Photographies excellentes et Technicolor bien employé mettent en valeur de magnifiques paysages. INTERPRETATION. — Kirk Douglas campe avec beaucoup de puissance et de vérité un garçon rude, âpre au gain, mais finalement humain. La belle Patrice Wymore joue intelligemment, mais ne possède pas encore la personnalité qui fait les grandes vedettes, ce qui est également le cas d'Eve Miller. — C. B. -f Jean-Marc TEMBERf. devient vedette Max Glass, le metteur en scène du Chemin de Damas, le film, qu’il vient de commencer aux studios de Joinville, vient d’engager Jean-Marc Tennberg pour interpréter, aux côtés de Michel Simon, l’un des rôles les plus importants de cette superproduction. Ce jeune acteur plein de talent s’était déjà fait remarquer dans plusieurs films et, dernièrement, dans La Vérité sur Bébé Donge et surtout dans Fanfan la Tulipe. CET AGE EST SANS PITIE (G.) Comédie gaie (85 min.) Gevacolor Origine : Française. Prod. : Pafico, 1950. Réal. : Marcel Blistène. Auteurs : Scén. orig. de P. Apesteguy, adapt. de P. Apesteguy et M. Blistène, dial, de P. Apesteguy. Chef-Opérateur : Raymond Clunie. Musique : Georges Van Parys. Dir. de Prod. : Jean Lefait. Chef-Opérateur du Son : L. Lacharmoise. Interprètes : Colette Darfeuil, Alerme, José Noguéro, Jean Tissier, J. Famery, J. Vinci, F. Degand, C. Deréal, P. Démangé, G. Tissier. Présentation corporative (Paris) : 4 juin 1952. CARACTERE. — Le sujet, empreint de jeunesse et de gaieté, amuse et fait passer un moment très agréable. Ce film est un compromis entre la comédie et l'opérette grâce aux nombreuses chansons qui lémaillent. Deux charmants jeunes couples mènent le jeu. SCENARIO. — Deux couples d’amoureux, élèves du Conservatoire, Monique et Léon, Christiane et André, partent en vacances à bord d’une vieille auto pour atteindre la Côte d’Azur. A leur arrivée, une panne les oblige à travailler pour payer la réparation. Ils sont engagés comme figurants par Boniface (Alerme), metteur en scène tournant en extérieurs. Christiane flirte avec la vedette masculine, Toccata (Noguéro), tandis qu’ André prend sa revanche avec l’interprète principale, Barbara Glamour (Colette Darfeuil) . L’infortuné assistant passe sa vie à la recherche des vedettes, que Monique et Léon s’ingénient à éloigner de leurs jeunes camarades. Finalement tout s’arrangera, le jeune couple réconcilié ayant reçu de Boniface la promesse d’un contrat important dans son prochain film. REALISATION. — Il existe un contraste voulu entre l'intrigue sentimentale des jeunes gens, traitée avec finesse, et le côté burlesque des scènes de prise de vues, véritable satire de la production cinématographique. Cette opposition donne d'heureux effets et allège le film. La grande majorité des scènes a été tournée en extérieurs, ce qui a permis d'obtenir de très jolies images aux cadres variés. Bons enregistrements des chansons, dont l’une revient en leitmotiv d un bout à l'autre du film. INTERPRETATION. — A côté de la truculence d’Alerme, de la drôlerie de Jean Tissier, de la fantaisie de Colette Darfeuil et de l’entrain de José Noguéro, quatre jeunes interprètes : J. Vinci, J. Degand, C. Deréal et J. Famery font preuve de dons pleins de promesse et donnent la réplique avec justesse aux artistes bien connus que nous venons de citer. G. T. A Alger, E.-T. Gréville tourne “LE TAPIS VOLANT” (titre provisoire) avec Jacques Sernas •î» Depuis quelques jours, le réalisateur E.-T. Gréville est à Alger avec le producteur du film Le Tapis Volant, l’éditeur Henri Fasquelle. Les prises de vues en Technicolor se déroulent actuellement dans le port d’Alger. La vedette du film est Jacques Sernas, dont la majeure partie de la carrière s’est déroulée dans les studios d’Italie. Les prises de vues terminées à Alger, la troupe s’acheminera vers le Maroc et ensuite à Marseille, où les principales scènes seront enregistrées. — F. Mari. LA BAGARRE DE SANTA FE (G.) (Santa Fé) Western (83 min.) Technicolor (V.O.-D.) Origine : Américaine. Prod. : Scott Brown, 1951. Réal. : Irving Pichel. Auteurs : Scen. de K. Gamet, d'après un roman de J. Marshall et un récit de L. Stevens. Chef-Opérateur : Charles Lawton Jr. Technicolor : Francis Cugat. Dir. musicale : Morris Stoloff. Musique : Paul Sawteil. Dir. artistique : Walter Holscher. Décors : Frank Tuttle. Interprètes : Rsndolph Scott, Janis Carter, Jerome Courtland, P. Thompson, J. Archer, W. Anderson, R. Roberts, B. House, O. Howlin. Présentation corporative (Paris) : G juin 1952. CARACTERE. — L’intrigue se déroule dans l'ouest américain, peu de temps après la fin de la guerre de Sécession. La construction du chemin de fer de Santa Fé, les rivalité et les difficultés que suscita cette entreprise, menée à une aliure rapide, sont décrites dans ce film et font corps avec l’histoire des quatre frères Caufield, militaires de l'armée du Sud, dont un seul peut se résigner à la défaite et travailler avec ses anciens ennemis. SCENARIO. — La guerre civile terminée, les quatre frères Caufield vont tenter leur chance dans l’Ouest. Britt (R. Scott), devient l’assistant d’un directeur des chemins de fer de Santa Fé, tandis que ses trois frères se joignent à une bande d’individus peu recommandables. Pillages et attaques des trains se succèdent, opposant les jeunes frères à leur aîné : deux Caufield y trouvent la mort. La ligne achevée et le calme revenu, Britt pourra songer enfin à lui et former des projets d’avenir avec la charmante trésorière de l’entreprise, Judith Chandler. REALISATION. — La couleur donne beaucoup de vie à cette réalisation, qui contient de très bonnes scènes, où les class.ques cavaliers sont parfois remplacés par la locomotive. Les corps à corps brutaux, les incidents périlleux sont rendus avec une sûre technique et l’enchaînement des séquences est bien conçu à un rythme rapide. INTERPRETATION. — Randolph Scott mène le jeu avec autorité, en homme fort au cœur droit. Ses nombreuses qualités artistiques en font une très attachante vedette. L’élément féminin est représenté par Jan; s Carter, au jeu intelligent et au charme certain. Le reste de l’interprétation est fort bien choisi, chaque artiste ayant une personnalité mise en valeur. — G. T. •î» Republic Picture dépense actuellement un million de dollars pour améliorer son procédé Trucolor à l’aide duquel une portion plus imimportante de ses productions va être réalisée. Herbert Yates, président de cette société, a exposé que si les films en couleurs coûtaient 30 % de plus, les recettes en étaient accrues dans des proportions très importantes. Vingt-sept des trentetrois films projetés seront donc tournés en couleurs. “L'APPEL DU SANG” Une scène de L’APPEL DU SANG présenté par le Groupe Cinématographique Français, 79, Champs-Elysées, Paris. Elysées 08-98. EANGAIiLET ^ cL&to l&éc£ouïYt& SnjUaf&yllûTi/i cUfacUam: <&Scè^&&vnjdc07!/n^^ I7&I9 RUE PAULSOUDAY LE. HAVRE Ta*EUGNEs(; BUREAUX ET ATELIERS 60*06 60*69