La Cinématographie Française (1936)

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8 T :zzzz: cii\e R/\PHIE SE A propos de la Saisie d'un rilm fa»»»»»»-»»»»»»»»»»»» réponses à une enqiiêle très ]ioussée qui vient confirnier noire affirmation. La pénurie des films de « complémenis » paralysa leur aelivité, brisa leur élan. 11 est regrettable tpie les « producteurs » ne les aient jias suivies dans leur ellort. Et lorscpie nous lisons dans « Candide » sous la signature C. /i. .• Lu nouvelle tendanee. j)liis ou moins affirmée, est de projeter dans les sidles d'Actiuililés, un ou deux films de lonj/ueur ordinaire, ee (pu léduit au quart du proqramme la place de la Presse filmée, (dusi ramenée éi ee tpi'elle était il 1/ a ai' ans... Il sendde, ét la vérité, qu’on ait choisi la solution la plus facile : l’effort II faire était trop qraiid pour élever ou maintenir le niveau de la Presse filmée. Nous sommes bien obligés de faire rc ! marquer à notre confrère tpie les responsables de cette « solution facile » et de ce « moindre effort » ne sont pas les directeurs des salles d’Aclualités, mais bien les Producteurs. 2°) Pri.v des places. — I.es « .Salles d’Actualités » sont à peu ]uès les seules à lutter, où à tenter de lutter, contre l’avilissement du ])rix des places, cette é])idémie devant laquelle tout le monde s'etlare et contre laquelle on ne réagit que si timidement... Les membres de f « l'nion » ont fixé leurs prix, ils figurent aux statuts, en même temps que la durée des séances et la composition des siicctacles, limitant ainsi leur champ d’activité. Ils sont fermement décidés à maintenir ces jirix à l’échelle actuelle. Mais quelle possibilité ont-il de lutter contre la concurrence tpie leur font certaines exiiloitations qui présentent un ou deux grands films au même prix que les leurs et parfois même à un tarif inférieur'? Ouellc jiossibilité ont-ils de lutter sans l’aide effective des Distributeurs'? C’est de l’intérêt de ces derniers et de l’intérêt général de se jiréoccuper de ces différentes questions. Et il est également du devoir du .Syndicat français des Directeurs de les considérer avec attention. êi ! A Alger, au Majestic, Léon Poirier présente son film L’Appel du Silence Suivant le paragrajihe A’If de l’article Vi des Statuts de ri’nion des Salles d'Aelualilés et Courts métraqes, seuls iieuvent être admis les Directeurs faisant partie déjà du « Syndical Français » ou d’un des Syndicats régionaux groupés dans « L’L’nion des Chambres .Syndicales Françaises des Tliéâtres Cinématograiihiques et Industries Annexes ». Le souci des membres fondateurs de r « l'nion des Salles d’Actualités » ne peut manquer d’être jiris en eonsidéralion jiar àl. Raymond Lussiez qui a constamment lutté en faveur du dévelo])])ement de l’esprit syndical. Reste à étudier la question de la « concurrence déloyale ». (.4 suivre.) René Céi.ier. ♦ L’Union des Salles d’Actualités peut également comprendre des Membres correspondants étrangers. Il serait intéressant de connaître quelles sont les salles qui, dans les différents pays, se livrent à ce mode d’exploitation; les intéressants échanges d’idées qui s’établiront par la suite ne pourront qu’améliorer et développer cette branche de l’activité cinématographique. Le négatif du film X., projeté actuellement en exclusivité a été saisi, sous le prétexte (pie le sujet de ce tllm tiré d’un roman américain, présente une certaine analogie avec un autre scénario lequel, croyons-nous, a déjà été réalisé en Allemagne. Nous rendons justice au Commissaire qui s’est borné à la saisie du négatif pour ne gêner en rien l’exploitation du film. * * * Une fois de plus, la question se pose : Quand donc aurons-nous une loi mettant à l’abri d’une contestation de ce genre l’éditeur et l’exploitant'? Actuellement n’importe qui peut faire saisir n’importe quel film et le faire retirer d’une affiche. * * * Les contrats de distribution et d’exploitation étant signés à l’avance, des à-valoir impoi’tanls ayant été versés, les dommages causés par une pareille action peuvent être très importants. Ce n’est pas la première fois que nos organismes syndicaux se sont préoccupés de la sauvegarder des intérêts de tous ceux qui ne sont en rien responsables d’une faute commise par le producteur. Mais à notre avis,jamais cette action n’a été suivie. Dans l’intérêt de tous, il serait pourtant utile que l’on ne perde pas de vue cette affaire. I * * ♦ ün nous excusera de ne pas donner d’autres précisions sur cette saisie. Nous ne ferions que gêner inutilement un arrangement qu’un jugement en référé aura réglé dans la huitaine. — M. Coiin-Reval. ♦ Will Hays reçu par le Pape M. Will Hays, dont nous avons annoncé le séjour en Italie a été reçu en audience privée par le pape, qui s’entretint avec lui pendant plus d’une demi-heure. En quittant le Vatican, M. Hays a déclaré avoir été surpris par la profonde connaissance des choses du cinéma dont a fait montre Pie XI dans la conversation. — Nous avons parlé, a-it-il ajouté, au sujet des films, de leur techninue, des avantages et des inconvénients moraux qu’ils présentent. Le pape s’est déclaré être très favorable au dévelopjiement du cinéma, tant que celui-ci servira à l’amélioration des conditions générales d’existence de la race humaine. Cette visite a été le moment le plus pathétiipie de ma carrière proclame Will Hays apjielé le Czar du Cinéma. ■ Par suite d’incidents entre Cégétistes et non Cégétistes, les Studios Paramount de Saint-Maurice ont décidé de fermer les portes, les laboratoires exceptés. H Nous remercions notre excellent confrère G. Moiilan qui dans Cinéma-Spectacle de Marseille a commenté d’une façon très favorable un des derniers articles, article de René Célier sur la publicité ^déplacée des piles Wonder. ■ Nous remercions également notre ami Verhglle qui dans Cinædia a approuvé notre suggestion au sujet de la standardisation des billets d’entrée sous le contrôle de nos organisations corporatives. fl ^7/ f/" ° O ^ lancée par L’INTRANSIGEANT assurera a L'OMBRE QUI TUE des recettes sans précédent