La Revue du Cinema (1947)

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pas !'« Art »; aussi n'avons-nous pas résisté à la joie de citer cette espèce de manifeste, — en même temps éloigné du vide de la théorie de l'a art pour l'art » et des duperies de celle de l'art moralisateur. Son application dépasse également le cadre de la production italienne et peut avoir des répercussions dans tous les pays. En montrant la nécessité de ne plus distinguer l'art du métier, grâce à la connaissance et au libre usage d'une technique enfin aimée avec passion et non plus épousée par raison, cette déclaration révèle enfin le désir de mettre un instrument chaque année plus souple et plus riche au service de l'esprit, pour aider l'homme à avoir plus grande connaissance de l'homme. A la vitesse à laquelle tout se développe, de nos jours, il est évident qu'une religion nouvelle se propagerait immédiatement par le moyen du cinéma et de la télévision, et l'on peut même penser que c'est parmi les cinéastes qu'un nouveau prophète se manifesterait. Ainsi soit-il!.. Jean George xA.uriol. « La diva du cinéma italien s'ejjorça de découvrir un style cinématographique d'interprétation. » [Voir page 71.) Quelle que soit la valeur des films éroticolittéraire i qu'elle tourna, la « fatalissime » Francesca Bertini fut toujours également fascinante et demeure un des plus beaux personnages de femme du cinéma muet. On la voit ici dans Le Sphinx. 66