La Revue du Cinema (1947)

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♦ Un nouveau visage paraît dans ce film, celui de Lizabeth Scott. Elle fait partie de ce nouveau groupe d'actrices qu'Hollywood nous propose depuis peu et qui comprend déjà les Dorothy Me Guire, les Jennifer Jones et même les Bergman : ces stars laides mais intelligentes et émouvantes » {page 6i). rien à craindre puisqu'il sera à son tour éclaboussé de sang. L'attitude, le geste, le regard de Stanwyck en quelques secondes nous font comprendre toute la duplicité du personnage, qu'avec une admirable intelligence dramatique, elle n'hésite à aucun moment à mener jusqu'au maximum d'intensité. A côté d'elle, un nouveau visage paraît dans ce film, celui de Lizabeth Scott. Elle fait partie de ce nouveau groupe d'actrices que Hollywood nous propose depuis peu et qui comprend déjà les Dorothy Me Guire, les Jennifer Jones et même les Bergman : ces stars Icudes, mais intelligentes et émouvantes. Lizabeth Scott interprète dans Martha Ivers, une fille sortant de prison dont Sam fera connaissance en quittant le garage où il laisse sa voiture à réparer; 6i