La Revue du Cinema (1947)

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L'attente dura quatre années, particulièrement tristes en 1944 et 1945, parce que la maladie éloigna déjà Lubitsch des studios. Le « vieil Emst » confia ses productions à Preminger et à IMankiewicz, avant de tenter de se remettre au travail une dernière fois. Enfin, le 30 novembre 1947, il abandonna subitement la musique d'opérette et le cinéma, le Champagne brut et les veuves joyeuses, les salons illuminés et les grands escaliers, les aventures galantes et les bons cigares. Le ciel avait cessé d'attendre. M.\Rio \'erdoxe. (traduit de l'italien et annote' par a'siablk jauesos) La souveraineté du public. fi Au cours de ma carrière, j'ai toujours pensé qu'un film doit toujours le plus possible éviter des conceptions et situations destinées à être comprises et appréciées seulement par une partie des spectateurs, et qu'il doit au contraire correspondre aux goûts de la majorité des divers publics du monde entier. Cette idée, avant toute autre, explique mon activité de directeur général de la production de grands studios de Hollyitood. » Ernst Lubitsch. (s'Ce Satan qui n'est, en somme, pas mauvais diable... » (Laird Cregar dans Le Ciel peut attendre.) 44