La Revue du Cinema (1931)

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M. G. M. Le metteur en scène Sam WOOD montre à Joan CRAWFORD l'essai quotidien qui assure au film une qualité d'éclairage uniforme tout le long de la réalisation de Within the Law. (sauf pour de rares exceptions) ou de faire passer des images accompagnées de sons qui doivent aller avec d autres images. Enfin il faut tenir compte d une certaine harmonie dans la juxtaposition des motifs musicaux, des bruits et aussi des paroles. En principe la continuité musicale doit être prévue aussi en détail que la continuité visuelle, et, plus encore que pour un muet, le monteur doit pouvoir faire le montage d'un parlant d après le découpage. C'est pourquoi, pendant la réalisation même d'un film, monteur ou monteuse peut commencer le montage de ce qui est enregistré, développé et tiré, ne serait-ce que pour établir en synchronisme avec la bande-sons, une ou plusieurs bandes-images composées avec les prises successives et vues sous les différents angles des différentes caméras. Ainsi quelques jours après la fin de la réalisation, on peut projeter la bande dans 1 ordre du scénario. Rien de définitif n'ayant encore été arrêté quant à cet ordre, on projette alors la pellicule-son et la pellicule-image sur deux appareils de projection distincts qui tournent à la même vitesse. Et l'on obtient évidemment le même synchronisme que lorsque le réalisateur aura, parmi les nombreux plans tournés, choisi ceux qu'il désire voir accompagner le son, lorsqu'il les aura coupés à la longueur voulue et se sera arrêté à une continuité définitive des scènes et des vues, — et qu; le son et 1 image auront été tirés sur la même bande de celluloïd. Reprenons une dernière fois la scène de l'arrivée de Duquesnay chez Ar ette. 40