La Revue du Cinema (1931)

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P. 418. — Titre : SEULE RESCAPÉE DE LA CATASTROPHE DE CHEMIN DE FER. L'IMPÉRATRICE DOUAIRIERE, TANTE DU PRINCE DE MORAVIE. G. P. de l'impératrice, regardant Moravie et lui répondant avec une expression de méfiance et d'hostilité à peine voilée. P. 419. Titre : PRÉSENTATIONS DE COUR. La petite salle du trône dans le palais impénal. Debout au pied des marches du trône, toujours dans sa tenue de lieutenant de vaisseau, ayant le comte de Longpré auprès de lui, Fletcher, Félicien, Myriamsky, derrière eux, Moravie répond aux saluts des nombreuses personnalités admises à défiler devant lui et à lui présenter leurs respects. Elles sont introduites et nommées par un chambellan. Attitude grave, froide, distante, du jeune homme. Tout à coup, c'est le tour de Pauline. L'attention de Longpré redouble. Il jette un regard vers la jeune femme qui détourne légèrement les yeux en s'avançant. Moravie la reconnaît et s'anime, fait un pas au-devant d'elle, lui tend la main, sourit. Puis il se retourne vers le chancelier et sans lâcher la main de Pauline, dit à celui-ci : Titre : NOUS SOMMES UNE VIEILLE PAIRE D'AMIS. Longpré feint une surprise polie et sourit en s'inclinant. Visiblement ce visage charmant a soulagé Moravie de sa contrainte et lui a causé un plaisir extrême. P. 420. — Titre : AUTOUR DE CE POUVOIR NAISSANT ET DE CET HOMME NOUVEAU, S'OURDISSENT TOUTES SORTES D'INTRIGUES ET DE COMBINAISONS. Pauline dans le cabinet du chancelier. Elle est en toilette de ville, lui, en costume du matin. Il donne visiblement des ordres. Elle 1 écoute d un air un peu rêveur et comme poursuivie par une autre idée. P. 421. — Titre : MYRIAMSKY, AIDE DE CAMP ET HOMME A TOUT FAIRE DU COMTE DE LONGPRÉ, A TROUVÉ DANS L'UN DES AIDES DE CAMP DE L'EMPEREUR, FÉLICIEN, UNE CONSCIENCE AUSSI ÉLASTIQUE QU'IL POUVAIT LE DÉSIRER. Conversation secrète des deux hommes dans 1 appartement de Myriamsky, appartement de jeune hobereau élégant (voir vol., p. 51, 52, 53). On doit comprendre que Myriamsky n'a pas de peine à obtenir la complicité du baron Félicien dans 1 établissement du réseau de surveillance occulte qu'on tisse autour du nouveau souverain. P. 422. — Titre : UN INCORRUPTIBLE. Même conversation entre Myriamsky et Fletcher. Mais Myriamsky a deviné à qui il a à faire. Il y va beaucoup plus prudemment. D'ailleurs, il en est pour ses frais. Le regard ferme et perçant de Fletcher l'intimide passablement. P. 423. — Titre : L'OPINION PUBLIQUE. La façade du journal avec son immense transparent. La proclamation du nouveau souverain est projetée en caractères gigantesques au-dessus de la foule amassée pour la lire. ...JE DEMANDE AU PEUPLE SA FIDELITE ET SA CONFIANCE... P. 424. — G. P. des deux professeurs devant le transparent du journal. Image parallt'.le à la vue 339. Le petit professeur pacifiste et libéral est béat, le grand professeur est furieux (voir vol. p. 42). P. 425. — Sur le transparent : J ASSUME LE POUVOIR, MAIS C EST CELUI DE TRAVAILLER AU BIEN DU PEUPLE... P. 425 bis. — G. P. des deux professeurs. Leur discussion continue (vol. p. 43). Blickpiltz triomphe. P. 426. — Sur le transparent : JE NE LAISSERAI DÉFAILLIR AUCUN DES ÉLÉMENTS SUR LESQUELS S'APPUIE SA FORCE... P. 426 bis. — ■ G. P. des deux professeurs. Rômer triomphe. P. 427. — Sur le transparent : MAIS AUTANT QU'IL DÉPENDRA DE MOI, CETTE FORCE RESTERA LA GARDIENNE ET LA SERVANTE DE LA PAIX. P. 427 bis. Le mot paix, paix. PAIX, PAIX jaillit dans tous les sens et couvre l'écran. P. 427 ter. — G. P. des deux professeurs. Blickpiltz retriomphe. La discussion s'envenime (vol. p. 44 à 47). P. 427 qualir. — ■ Vue générale de cette discussion. Elle se poursuit dans une rue plus tranquille. Rômer, beaucoup plus fougueux que son interlocuteur, finit par l'acculer contre la bordure d un petit square, puis s'éloigne, solennel et satisfait, après l'avoir écrasé de ses arguments et de son mépris injurieux. Différents mouvements de va-et-vient, comme s'il avait chaque fois un nouvel argument et un nouveau mépris à décharger sur le petit crâne de son interlocuteur (voir p. 47 du vol.). Celui-ci, jusqu'à ce moment, plutôt bénin et stupéfait, prend feu tout à coup, rejoint Rômer et lui assène un merveilleux coup de parapluie sur le gibus. Félicien et Myriamsky qui passaient par là éclatent de rire. Rômer va saluer les deux uniformes Des gamins entourent les deux professeurs en criant à la chienlit, produisant une espèce de manifestation que disperse un agent paternel et moustachu. P. 428. Titre : AUTRE ASPECT DE L'OPINION PUBLIQUE. 24