La Revue du Cinema (1931)

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Revue des Programmes CIRCUIT PATHE-NATAN. — Le Juif Polo nais, mise en scène de Jean Kemm, conventionnelle, mais correcte. Un film que les admirateurs d'HarryBaur ne doivent pas manquer. Tout ça ne vaut pas l'amour, comédie médiocre el vulgaire. CIRCUIT GAUMONT-AUBERT. — Le Bal, sur un scénario qui suit de loin et en très étiré la nouvelle d'Irène Nemirovsky. Interprétation, adaptation et mise en scène plutôt déplaisantes. Photographie digne d'éloge. Pas sur la Bouche, une opérette bien connue; et pas la meilleure, loin de là. DIAMANT. — The Finger Points, encore une histoire de gangsters et journalistes. Celle-là, adroitement découpée et dialoguée, finit mal. La mise en scène de J. F. Dillon, est propre, plus que propre même : simple, rapide et agréable. Barthelmess, qui vieillit, Fay Wray et Régis Toomey jouent cette aventure où vous remarquerez aussi Clark Gable, — Clark Gable qui, au bout de trois ou quatre rôles, vient de tourner comme « leading-man » des « stars » de la M. G. M. : Norma Shearer, Greta Garbo; un bel homme dans la force de l'âge, acteur habile et intéressant d'ailleurs, qui est en train de conquérir 1 admiration fanatique du public américain. PARAMOUNT. — Marius, pièce de Marcel Pagnol, mise en scène avec soin par Alex. Korda. Long mais agréable à voir : très bonne interprétation de Raimu et de Pierre Fresnay. Son médiocre. ELYSEE-GAUMONT. — Bought {Achetée), production sotte et prétentieuse qui brille plus par la réelle beauté des toilettes que porte l'élégante Constance Bennett que par la qualité de l'histoire et de l'adaptation. L'interprétation comprend aussi les noms de Richard Bennett, vieil acteur grotesque, et de Ben Lyon. Malgré la présence de ce très sympathique garçon, nous sommes loin cYlndiscreet et de Gloria Swanson que Miss Bennett n'arrive à copier que très superficiellement. Nous reparlerons en détail du dernier Stemberg, An American Tragedy, film à voir de toutes façons. PANTHEON. — Il n'est pas .nécessaire de savoir beaucoup d'anglais pour rire au nouveau programme tout entier et pour apprécier l'admirable absurdité de la nouvelle farce des Marx Brothers : Monfcey Business. Parmi les shorts, signalons un petit film où l'on peut voir Lee Morse chanter trois chansons. WASHINGTON. — Joan Crawford dans Our Blushing Brides. A. J. 54