Le Film (juin 1926)

/ priés natale aime nimes a emnemegennmercéenégiééonntnnmneingis ÈS es Le ongle } + HE D SES E GEO ET CES Peer rt à Per 4 mm D MoNTREAL, JUIN 1926 DEUX étoiles, l’une de mer et l'autre. de terre. CHARLES RA YŸ, qui est un pêcheur émérite est fier. ‘d'ajouter au nombre de ses captures ce curieux z00phyte, d’ailleurs de’belle taille, que l’on appelle étoile de mer (star-fish) à cause de sa forme étrange. les parents et amis de la prisonnière essayent continuellement de forcer l'entrée de la maison afin de s'emparer de la femme déte nue. Entre ces deux groupes ad verses, un archer fantôme fait son apparition; il est toujours vêtu d'un manteau et d'un masque verts, et armé d’un arc et de flèCette figure mystérieuse avertit tous ches de même couleur. ceux qui essayent de pénétrer le mystère enveloppant le château et tire ses flèches mortelles sur ceux qui ne l’écoutent pas. La mise en scène est tellement au point que pendant toute la durée du film, chacun des artistes est soupçonné d'être l’'Archer Fantôme, et ce n’est pas avant la scène finale que le voile est levé, de sorte qu'après avoir vu le premier épisode, l'intérêt et la curiosité sont immenses, et la tension à tout temps extrême. “Ce film se déroule parmi des extérieurs d’une beauté sans égale, la photographie en est super ’ EFTLM Il a du chagrin le pauvre petit chien-chien de LOUISE FAZENDA... Il pleure.en nègre. des larmes toutes noires. Ce genre de quadrupède... artificiel est en grande vogue à Hollywood. Pas besoin de muselières pour ces toutous-là: Et puïs, ils sont très propres el ne s’ou blient pas dans les coins... GRETA CARBO dans une scène de “Ibanez Torrent”, production qui vient d’être terminée aux studios de la Cosmopolitan. À remarquer la tête typique de Lucien Littlefield que l'on voit également dans cette photo et qui joue un des rôles importants dans la production. be, et l'interprétation des meil leures, tout s’unissant ainsi pour faire de “l’Archer Fantôme”’ le meilleur én épisodes à ce jour.’ O UN bonhomme de St. Louis, dans les Sfates, regardait tranquillement ce qui se passait sur la toile blanche de l'écran quand un radiateur eut la mauvaise idée de dégringoler sur lui. ‘Résultat, pour les blessures reçues, il a empoché vingt mille beaux dollars : que les propriétaires du théâtre ont été condamnés à lui payer. Voilà un radiateur qui a réchauffé la victime mais singulièrement refroidi ceux qui ont dû ‘payer. F % ENCORE un changement de titre. “La Duchesse de Buffalo”, prochaine vue de Constance Talmadge devient “Sybil”. Peutêtre que cela remplira mieux la ‘’sébille”” "pour [les recettes.