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_LEWIS STONE, de la First National; un ie les plus aimés du public. Sa carrière artistique date de longtemps déjà. À l'âge de vingt ans il avait déjà les cheveux gris; depuis, ils sont devenus blancs comme neige.
aux lueurs changeantes, qui passent du gris au brun, puis au vert, selon la lumière, et son allure dégagée et vive de sportsman, c'est une des vedettes favorites du public.
LES SECRETS DE L'OPERATEUR
. “Est-elle réellement aussi bien au naturel qu’à l'écran?” Voilà la première question qui se posent ceux qui se trouvent e nprésence d'une vedette qu'ils ont admirée dans ses films.
Et la réponse, pour ceux et celles qui possèdent encore quelques illusions, est bien souvent décevante; on ne retrouve plus la peau satinée ,la chevelure étincelante, l'éclat du regard, tout le charme en un mot qu'on avait admiré à l’écran.
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C'est un fait que les visages si admirés à l'écran sont rarement beaux de la même beauté que ceux des girls de music-hall, par exemple; et il n’est pas exagéré de dire que la plupart de ces dernières sont souvent plus réellement jolies que les Vénus de l'écran.
MONTREAL, JUILLET 1926
En effet, la girl de music-hall doit posséder une ligne et des traits touchant à la perfection: les seuls artifices auxquels elle peut recourir sont le fard et l'éclat de la rampe. D'autre part, la beauté d'écran a à sa disposition tous les artifices de l'opérateur de prise de vues, plus le maquillage et les lumières.
‘La beauté, au cinéma, est surtout une question d'éclairage”, déclare George Barnes, l’un des meilleurs opérateurs américains, qui collabore actuellement à la réaJisation des films de Marion Davies. Plus un visage est difficile à éclairer, ajoutet-il, moins sa propriétaire a de chances de réussir au cinéma. En outre de la perte de temps — qui est aussi une perte d’argent — causée par la recherche des éclairages appropriés à un sujet ingrat, il devient à peu près impossible de lui faire jouer des scènes d'émotion où, l'harmonie obtenue à grand’peine, sera immanquablement détruite dans le feu de l’action.
Pourtant les opérateurs — les cameramen comme on dit en Amérique — parviennent à réaliser de véritables miracles.
C’est ainsi que George Barnes parvint à faire de la vedette quadragénaire de ‘“’Peg de mon coeur”, Laurette Taylor, une jeune première fort acceptable. Laurette Taylor, grande vedette de théâtre, devait rester à l'écran l’ingénue de seize ans qu’elle paraissait être sur les planches, où elle avait crée le rôle de Peg (qui avait fait son succès douze ans auparavant). Or Laurette Taylor se présenta devant le
Avec ses yeux camera-man avec un visage infiniment
KING VIDOR, le réalisateur de “The Big Parade” et de “La Bohème”, possède à Hollywood, une maison qui est une vraie nouveauté. Construite en ‘‘U””, elle a un foyer en plein air. Une cheminée ainsi placée est sans doute décorative sous le climat de la Californie mais elle ne serait guère utile sous le nôtre, à moins qu'on ne veuille chauffer les moineaux.
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