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Scénario
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"Me Chante..."
Une réalisation de Christian Stengel — Chansons et musique de Charles Trenet
DISTRIBUTION Charles Trenet …. te — Charles Félix Oudart … Le Roy de la Barre Janine Darcey .… 3 . Denise Joan HDI D: Lee y L'éditeur Nina Slnelglr : . 5." Le LU Lu, tNiecllé
où il perdit au cercle tout l'argent nécessaire à l'administration du Collège féminin de Clairfontaine, dont il es directeur.
Le Roy de la Barre en vient à faire appel à un courtier, dont il a trouvé l'adresse dans les petites annonces de son journal. Ce dernier, bien entendu, se précipite au château. Il vient accompagné de Charles, le neveu de Le Roy de la Barre tenu à l'écart du château depuis quelque temps, car son oncle ne veut pas entendre parler du métier de compositeur dont il veut faire sa carrière. Charles profite de ce subterfuge pour pénétrer à nouveau dans le collège, surtout pour revoir Denise qu'il a connue au temps où, plus jeune, il avait encore la permission d’habiter le château.
Le Roy a fait astiquer, ratisser, préparer et mettre en valeur le collège et ses pensionnaires. Il a annoncé la visite d'un Inspecteur d'Académie et c'est alors, devant son oncle furieux, mais muet, que Charles et le courtier passent en revue le château, les jeunes fillles, les professeurs... Mais hélas, le château est plus qu’hypotéqué et le courtier ne peut rien faire pour Le Roy.
Charles a revu Denise et il est obsédé par la création d'une nouvelle chanson : une chanson de joie, de bonheur ... et au moment où la situation s'embrouille encore davantage, au moment où les domestiques font la grève, où les fournisseurs encerclent le château, où les jeunes filles se révoltent et se préparent à quitter le collège, Charles se met au piano : il joue et, soudain, emportés par le mouvement de sa musique pleine de jeunesse, les fournisseurs oublient leurs factures, les jeunes filles abandonnent leurs valises et alors c'est une joyeuse farandole dans le parc...
Mais, si le niveau moral est remonté, la caisse est toujours vide et les domestiques décident de quitter le collège. Charles, généreux, pour les payer, leur fait don de sa chanson : ils iront la vendre à un éditeur.
Le Roy, devant le premier résultat obtenu par Charles, lui confie la sous-direction du collège et Charles, aidé par la sympathie que toutes les jeunes filles ont pour lui, décide, pour obvier à l'absence des domestiques, de créer des cours pratiques d'art ménager. La question entretien du château est dont réglée. Avec joie, saus sa direction, les héritières des plus grandes fortunes du monde entier se livrent aux travaux du ménage, au jardinage, à la traite des vaches... Mathilde, l'économe, y trouve aussi son compte, car Charles s'est empressé d'envoyer aux parents les notes des frais occasionnés par la création de ces nouveaux cours. Mais il n'a pas oublié la musique. Il donne des leçons à chacune et surtout à Denise ; chaque leçon est le prétexte d'entretiens amoureux. Mais Nicole est aussi amoureuse de Charles, et jalouse de Denise. Elle fait si bien que, par surprise, au cours d'une leçon que lui donne Charles, elle l'embrasse et s'arrange pour que Denise les surprenne.
Déception amoureuse, ennuis pécuniers puisque sa tante n'a pas encore payé sa pension. Denise désespérée décide de
Le comte Le Roy de la Barre fut bien mal inspiré le soir
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LE Fizm
quitter le collège. Elle s'en confie à Clarita, sa meilleurs amie, et celle-ci la recommande à sa cousine, Lynda, artiste-peintre.
Après le départ de Denise, Charles est désespéré. Il menace son oncle de quitter l'école et de tout abandonner si on ne la retrouve pas. Se doutant que Clarita sait quelque chose, il la menace et réussit enfin à obtenir l'adresse de Denise. Celle-ci qui n'a trouvé chez Lynda que noceurs et buveurs, est seule dans l'appartement ; elle a décidé de se suicider : elle ouvre le robinet du gaz, s'étend sur son lit...
Charles arrive devant la maison, monte, frappe, frappe rien ne répond... Il s'en va, descend l'escalier, mais au moment où il va partir, il rencontre un employé qui vient couper le gaz chez Lynda. Charles le supplie de n'en rien faire... sa fiancée ne pourra pas faire cuire ses œufs, sa côtelette ce soir... mais l'employé est intraitable... il a des ordres ... Charles pourra payer demain, mais d'ici là, rien à faire. Charles, désolé, s'en va.
.. Au collège, où tout le monde sait que Charles va ramener Denise on leur prépare une magnifique fête.
... Quelques heures après, Charles revient à la maison de Lynda. Celle-ci rentre justement. Elle va pouvoir ouvrir la porte, et Charles trouvera Denise simplement endormie ...
Ils entrent ... Denise, qui croit rêver, voit Charles lui tendre le bras...
Et c'est le retour au collège où les deux fiancés sont fêtés par tous leurs amis.
Tout irait à merveille si l'Inspecteur d'Académie — un vrai — ne venait pas de retirer à Le Roy de la Barre, pour une durée de deux ans, sa licence de Collège, étant donné ses excentricités. Mais Charles sauve tout encore une fois. On baptise le château Ecole Anormale de Musique. Charles fait la connaissance de l'éditeur de sa première chanson — celle qui lui avait servi à payer les domestiques — qui lui propose un contrat magnifique et il s'éloigne avec Denise, la main dans la main, vers la vie toute souriante qui les attend...
Scénario
7 Pa 4 \\
UN FILM D'ABEL GANCE
d'après le célèbre roman musical en 4 actes de GUSTAVE CHARPENTIER
DISTRIBUTION Grace Moore … _. … _ … — Louise André Pernet … … Le Père Ginette Leclerc .… de … Lucienne Pauline Carton … … … … … … … La Première Georges Till … 2 2. os tr étés Suzanne Desprès … … … … … … . … La Mère LOMME 0. Gaston
Jacqueline Prévot … … … . Une cousette
Orchestre de 120 musiciens composé et dirigé par Eugère Bigot avec le concours des premiers solistes des Grands Spectacles Symphoniques
1900. Montmartre ! Louise est amoureuse de Julien, un compositeur inconnu; jamais les parents ne consentiront à ce mariage. Louise travaille, son esprit est ailleurs. Un jour, l'atelier est envahi par des rapins. Louise disparaît à la faveur du brouhaha. Paris, Montmartre et ses plaisirs ont accapré Louise ! Elle est élue Muse de Montmartre ! Le père s'est alité. La mère parvient à convaincre Louise de retourner à la maison. Un soir, son père ne parvient plus à la retenir : une scène éclate. Le père ne sait s’il doit tuer sa fille ou la chasser ; il ouvre la porte... Louise affolée s'enfuit...